Canadian Tire publie ses résultats du deuxième trimestre - Hausse de 8,8 pour cent du bénéfice net ajusté; Dividende trimestriel stable à 21 cents
TORONTO, le 13 août /CNW/ - La Société Canadian Tire Limitée (CTC, CTC.a) a publié aujourd'hui ses résultats pour le deuxième trimestre. Malgré le ralentissement des ventes au détail en raison des conditions difficiles du marché et des conditions météorologiques inhabituelles, la Société a constaté une hausse de 8,8 pour cent du bénéfice net ajusté comparativement au trimestre correspondant de l'exercice précédent. La croissance du bénéfice sur 12 mois reflète les marges bénéficiaires saines dans toutes les activités de détail et la diminution des charges d'exploitation. "L'attention que nous accordons au maintien de nos marges bénéficiaires brutes et à la gestion de nos charges d'exploitation nous a permis de réaliser une croissance modeste du bénéfice au cours du trimestre comparativement à 2008 malgré un marché de détail difficile, a commenté Stephen Wetmore, président et chef de l'administration de Canadian Tire. Cependant, une part importante de nos bénéfices annuels sont réalisés aux troisième et quatrième trimestres, et notre rendement pour le reste de l'exercice sera en très grande partie influencé par l'économie et, bien sûr, les conditions météorologiques saisonnières."------------------------------------------------------ Deuxième Deuxième Données trimestre trimestre consolidées(1) : de 2009 de 2008(2) Variation ------------------------------------------------------------------------- Ventes au détail du Groupe détail 2,79 $ (en milliards) 2,95 $ (en milliards) (5,4)% Produits bruts d'exploitation 2,32 $ (en milliards) 2,45 $ (en milliards) (5,1)% Bénéfice ajusté avant impôts, compte non tenu des gains et des pertes hors exploitation(3) 151,5 $ (en millions) 140,4 $ (en millions) 8,0 % Bénéfice net 103,7 $ (en millions) 97,7 $ (en millions) 6,1 % Bénéfice net ajusté, compte non tenu des gains et des pertes hors exploitation(3) 103,0 $ (en millions) 94,7 $ (en millions) 8,8 % Bénéfice de base par action 1,27 $ 1,20 $ 5,9 % Bénéfice de base par action ajusté, compte non tenu des gains et des pertes hors exploitation(3) 1,26 $ 1,16 $ 8,6 % (1) Tous les chiffres en dollars figurant dans le tableau ci-dessus sont arrondis. (2) Les données de 2008 ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter à la note 2 des états financiers consolidés. (3) Mesure non définie par les PCGR. Veuillez vous reporter à la section 15 du rapport de gestion. Aperçu des activités GROUPE DETAIL CANADIAN TIRE Cumul Cumul (en millions T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- de dollars) 2009 2008(1) tion de 2009 de 2008(1) tion ------------------------------------------------------------------------- Ventes au détail(2) 2 153,2 $ 2 174,5 $ (1,0)% 3 421,1 $ 3 393,3 $ 0,8 % Ventes dans les magasins semblables(3) (pourcentage de variation par rapport à l'exercice précédent) (2,7)% (0,5)% (0,8)% (1,8)% Produits bruts d'exploi- tation 1 550,0 $ 1 562,1 $ (0,8)% 2 649,3 $ 2 633,4 $ 0,6 % Livraisons nettes (pourcentage de variation par rapport à l'exercice précédent) (1,4)% 3,2 % (0,1)% 1,8 % Bénéfice avant impôts sur les bénéfices 95,2 $ 85,1 $ 12,0 % 128,0 $ 128,7 $ (0,5)% ------------------------------------------------------------------------- Moins les ajustements au titre des éléments suivants : Gains et pertes hors exploi- tation(4) (0,3) 0,1 (0,7) 4,0 Obligations au titre des prestations de retraite de l'ancien chef de l'adminis- tration - 0,5 0,5 0,9 ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice ajusté avant impôts et part des actionnaires sans contrôle(5) 95,5 $ 84,5 $ 13,0 % 128,2 $ 123,8 $ 3,6 % ------------------------------------------------------------------------- (1) Les données de 2008 ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter à la note 2 des états financiers consolidés. (2) Comprend les ventes dans les magasins Canadian Tire et PartSource, ainsi que la composante main-d'oeuvre des ventes dans les centres- autos du Groupe détail. (3) Les ventes dans les magasins semblables comprennent les ventes dans tous les magasins qui sont ouverts depuis plus de 53 semaines. (4) Comprend les ajustements à la juste valeur de marché et les réductions de valeur des immobilisations corporelles. (5) Mesure non définie par les PCGR. Veuillez vous reporter à la section 15 du rapport de gestion.Les ventes au détail du Groupe détail Canadian Tire ont diminué de 1,0 pour cent comparativement au trimestre correspondant de 2008, le temps inhabituellement frais et pluvieux ayant influé sur les ventes de certains articles saisonniers comme les articles de vie au jardin et les appareils de climatisation, tandis que la conjoncture difficile a eu une incidence sur d'autres catégories, notamment les outils et les appareils électroniques. Malgré la baisse générale des ventes, le Groupe détail Canadian Tire a constaté une augmentation des ventes d'articles de réparation et d'entretien pour la maison ainsi que de peinture, ce qui témoigne de l'intérêt des clients pour les travaux de réparation. Les résultats du deuxième trimestre ont aussi subi l'incidence du calendrier des congés de Pâques et de la fête du Canada, qui a fait diminuer d'environ 0,6 pour cent les chiffres d'affaires et les ventes dans les magasins semblables. Le bénéfice ajusté avant impôts du Groupe détail Canadian Tire s'est chiffré à 95,5 millions de dollars pour le deuxième trimestre, en hausse de 13,0 pour cent comparativement à l'exercice précédent grâce à des marges solides et à une bonne gestion des charges d'exploitation, et ce, malgré la légère incidence de la hausse des charges liées au nouveau centre de distribution de l'est du Canada et des investissements soutenus dans des initiatives de productivité. Le Groupe détail Canadian Tire a ouvert cinq magasins intelligents au cours du trimestre, dont deux intègrent un magasin Mark's Work Wearhouse de format régulier, et il a fermé un magasin traditionnel, ce qui porte à 475 le nombre total de magasins du réseau. L'accueil réservé par les clients aux magasins intelligents et aux magasins pour petit marché continue d'être très positif. De façon générale, le rendement des deux concepts dépasse les attentes; en effet, l'achalandage et le volume des transactions sont plus élevés que ce qui était prévu. Les magasins PartSource ont enregistré une augmentation à deux chiffres des ventes sur douze mois. Cette augmentation a été stimulée à la fois par l'expansion continue du réseau et par l'amélioration de l'assortiment d'articles. PartSource a ouvert un nouveau magasin au cours du trimestre, portant à 88 le nombre total de magasins du réseau.DIVISION PETROLIERE DE CANADIAN TIRE (Division pétrolière) Cumul Cumul (en millions T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- de dollars) 2009 2008 tion de 2009 de 2008 tion ------------------------------------------------------------------------- Volume des ventes (en millions de litres) 435,1 429,6 1,3 % 843,9 843,4 0,1 % Ventes au détail 425,7 $ 541,9 $ (21,4)% 779,1 $ 990,9 $ (21,4)% Produits bruts d'exploi- tation 390,8 $ 514,8 $ (24,1)% 712,7 $ 937,6 $ (24,0)% Bénéfice avant impôts sur les bénéfices 7,8 $ 8,0 $ (2,7)% 13,8 $ 13,0 $ 6,2 % ------------------------------------------------------------------------- Moins les ajustements au titre de l'élément suivant : Pertes hors exploita- tion(1) (0,3) - (0,3) (0,2) ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice ajusté avant impôts(2) 8,1 $ 8,0 $ 1,0 % 14,1 $ 13,2 $ 6,7 % ------------------------------------------------------------------------- (1) Comprend les pertes de valeur sur les actifs. (2) Mesure non définie par les PCGR. Veuillez vous reporter à la section 15 du rapport de gestion.Bien que le volume des ventes d'essence ait légèrement augmenté comparativement au trimestre correspondant de 2008 en raison de la baisse des prix à la pompe, les produits bruts d'exploitation et les ventes au détail de la Division pétrolière ont diminué de plus de 20 pour cent en raison de la baisse considérable des prix de l'essence au détail. A l'opposé, les ventes dans les dépanneurs ont été très solides au cours du trimestre grâce à une augmentation de l'achalandage dans les dépanneurs. Malgré une diminution considérable des produits, les marges pour le trimestre sont demeurées stables par rapport à l'exercice précédent, et la Division pétrolière a connu un autre trimestre satisfaisant en continuant à assurer une mise en oeuvre efficace des programmes promotionnels et une bonne gestion des dépenses. Pendant le trimestre, la Division pétrolière a remplacé un poste d'essence et en a fermé un, portant à 273 le nombre total de postes d'essence du réseau.MARK'S WORK WEARHOUSE Cumul Cumul (en millions T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- de dollars) 2009 2008(1) tion de 2009 de 2008(1) tion ------------------------------------------------------------------------- Total des ventes au détail(2) 210,2 $ 233,1 $ (9,8)% 378,7 $ 405,6 $ (6,6)% Ventes dans les magasins semblables(3) (pourcentage de variation par rapport à l'exercice précédent) (11,3)% 0,9 % (8,2)% (2,8)% Produits bruts d'exploi- tation(4) 182,2 $ 200,6 $ (9,2)% 329,3 $ 348,1 $ (5,4)% ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice avant impôts sur les bénéfices 7,1 $ 7,3 $ (2,7)% 2,2 $ 3,9 $ (43,4)% ------------------------------------------------------------------------- Moins les ajustements au titre de l'élément suivant : Pertes hors exploi- tation (0,1) (0,1) (0,3) (0,1) ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice ajusté avant impôts(5) 7,2 $ 7,4 $ (1,3)% 2,5 $ 4,0 $ (36,2)% ------------------------------------------------------------------------- (1) Les données de 2008 ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter à la note 2 des états financiers consolidés. (2) Comprend les ventes au détail dans les succursales et les magasins franchisés. (3) Les ventes dans les magasins semblables de Mark's Work Wearhouse ne comprennent pas celles dans les nouveaux magasins, dans les magasins qui n'étaient pas ouverts pendant toute la période visée pour chaque année, ni celles dans les magasins qui ont fermé. (4) Les produits bruts d'exploitation comprennent les ventes au détail dans les succursales seulement. (5) Mesure non définie par les PCGR. Veuillez vous reporter à la section 15 du rapport de gestion.Le total des ventes au détail de Mark's Work Wearhouse pour le deuxième trimestre s'est chiffré à 210,2 millions de dollars, en baisse de 9,8 pour cent comparativement à 233,1 millions l'an dernier. Cette diminution reflète la baisse des ventes à l'échelle nationale en raison des conditions économiques moins favorables, l'Ontario et l'Alberta étant les plus touchées. Pour ce qui est des catégories, les ventes de vêtements pour femmes dans les succursales ont connu une légère baisse, mais les catégories des accessoires pour femmes et des vêtements pour le personnel médical ont enregistré des augmentations à deux chiffres. Les ventes de vêtements de travail, de vêtements de loisirs et de chaussures décontractées pour hommes dans les succursales ont cependant subi d'importantes diminutions d'un exercice à l'autre. Le bénéfice ajusté avant impôts s'est établi à 7,2 millions de dollars, en baisse de 1,3 pour cent comparativement à 7,4 millions à l'exercice précédent. Le bénéfice ajusté avant impôts est semblable à celui de l'exercice précédent parce que la marge bénéficiaire brute a enregistré une augmentation considérable de 470 points de base, principalement en raison de la diminution de la charge comptabilisée à l'égard de la réduction de valeur des stocks en 2009 comparativement à l'exercice précédent. Les charges d'exploitation ont aussi été bien gérées. Au cours du trimestre, Mark's Work Wearhouse a ouvert deux nouveaux magasins, en a déménagé trois, en a rénové un et en a fermé un, portant à 375 le nombre total de magasins du réseau.SERVICES FINANCIERS CANADIAN TIRE Cumul Cumul (en millions T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- de dollars) 2009 2008(1) tion de 2009 de 2008(1) tion ------------------------------------------------------------------------- Total du portefeuille géré, à la fin 4 109,9 $ 3 926,7 $ 4,7 % Produits bruts d'exploi- tation 232,9 $ 201,5 $ 15,6 % 450,2 $ 410,2 $ 9,8 % Bénéfice avant impôts sur les bénéfices 42,3 $ 44,4 $ (4,7)% 74,8 $ 98,6 $ (24,2)% ------------------------------------------------------------------------- Moins les ajustements au titre des éléments suivants : Pertes hors exploi- tation (0,1) - (0,2) - Incidente nette des activités de titrisa- tion(2) 1,7 3,9 2,2 16,8 ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice ajusté avant impôts(3) 40,7 $ 40,5 $ 0,5 % 72,8 $ 81,8 $ (11,0)% ------------------------------------------------------------------------- (1) Les données de 2008 ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter à la note 2 des états financiers consolidés. (2) Comprend le gain (la perte) initial(e) à la vente de créances sur prêts, l'amortissement du passif de gestion, la variation de la réserve au titre de la titrisation et le gain (la perte) au titre des réinvestissements. (3) Mesure non définie par les PCGR. Veuillez vous reporter à la section 15 du rapport de gestion.Le total du portefeuille géré de créances sur prêts des Services Financiers s'élevait à 4,1 milliards de dollars à la fin du deuxième trimestre, en hausse de 4,7 pour cent comparativement à 3,9 milliards à la fin du trimestre correspondant de 2008. Les produits bruts d'exploitation des Services Financiers se sont chiffrés à 232,9 millions de dollars pour le trimestre, en hausse de 15,6 pour cent comparativement à 201,5 millions à l'exercice précédent. Cette augmentation résulte de diverses initiatives entourant l'établissement des prix et du ralentissement des paiements effectués par les clients. Le bénéfice ajusté avant impôts est demeuré relativement stable au deuxième trimestre, la hausse des produits et la gestion efficace des charges d'exploitation ayant été contrebalancées par l'accroissement des provisions pour pertes sur créances et par l'augmentation des intérêts débiteurs par suite de la progression considérable des dépôts auprès de courtiers. Toutefois, le bénéfice de l'exercice précédent avait subi l'incidence d'un investissement de 9,7 millions de dollars dans le relancement de la carte MasterCard Options. Compte non tenu de ces coûts de relancement, le bénéfice ajusté avant impôts pour le trimestre a baissé de 19,0 pour cent par rapport au trimestre correspondant de 2008. Cette diminution témoigne de l'incidence de la hausse des radiations et du nombre de faillites décrite ci-après. Le taux de radiation nette du total du portefeuille géré, sur 12 mois, s'est élevé à 6,82 pour cent, par rapport à 5,98 pour cent pour la période correspondante de 2008. Le taux de recouvrement général des comptes en souffrance a diminué de 46 points de base. Bien que les coûts liés aux faillites aient augmenté, une analyse du rendement des Services Financiers en regard des statistiques nationales indique que, grâce à leurs stratégies efficaces de gestion des risques de crédit, les Services Financiers ont subi l'incidence d'un moins grand nombre de faillites que ce qu'on aurait pu prévoir. Les Services Financiers ont continué d'investir dans le projet pilote de services bancaires de détail et, à la fin du trimestre, les dépôts de détail dépassaient 541 millions de dollars, les prêts hypothécaires totalisaient 167 millions et les dépôts auprès de courtiers totalisaient environ 1,6 milliard. La durée moyenne des dépôts auprès de courtiers est de 30 mois. COMMENTAIRE POUR 2009 La Société Canadian Tire prévoit poursuivre ses investissements à long terme dans des initiatives de productivité et d'efficience relatives aux projets d'infrastructure de la Division automobile, au programme de remaniement du marketing du Groupe détail et au renouvellement des technologies de l'information. Le coût prévu de ces initiatives en 2009 est d'environ 40 millions de dollars, déduction faite des avantages réalisés. FINANCEMENT ET SITUATION DE TRESORERIE Bien que le marché de la titrisation à terme par l'intermédiaire de Glacier demeure fermé, les Services Financiers continuent de pouvoir accéder à de nombreuses sources de financement, notamment :- les flux de trésorerie liés à l'exploitation; - les dépôts auprès de courtiers; - les comptes d'épargne à taux d'intérêt élevé.En outre, les Services Financiers ont accès à plus de 800 millions de dollars pouvant être tirés des marges de crédit bancaire consenties de la Société totalisant 1,2 milliard. A la fin du deuxième trimestre, les Services Financiers avaient préfinancé environ 680 millions de dollars du montant total d'environ 1,0 milliard qui devrait être nécessaire d'ici la fin de l'exercice pour rembourser les dépôts de CPG à court terme venant à échéance et pour financer l'augmentation des créances à l'échéance des billets à terme de Glacier. Le coût de cette démarche prudente s'élève à environ 4,2 millions de dollars pour le trimestre. A l'échelle de la Société, des billets à moyen terme à 5,65 pour cent d'une durée de sept ans, totalisant 200 millions de dollars, ont été émis au cours du trimestre afin de préfinancer la dette de la Société venant à échéance en 2010. De façon générale, la direction continue de croire que, compte tenu des diverses sources de financement disponibles, particulièrement pour les Services Financiers, la Société dispose d'un financement à peu de frais plus que suffisant pour soutenir ses activités dans un avenir rapproché. DEPENSES EN IMMOBILISATIONS Compte tenu des ajustements apportés à l'échéancier des projets et de la baisse des coûts réels des projets, la direction prévoit maintenant que les dépenses en immobilisations pour l'exercice 2009 seront d'environ 326 millions de dollars, ce qui est inférieur aux 390 millions initialement prévus et environ 30 millions en deçà des prévisions relatives au capital formulées à la fin du premier trimestre. DIVIDENDE TRIMESTRIEL La Société a déclaré aujourd'hui un dividende trimestriel de 0,21 $ par action ordinaire et par action de catégorie A sans droit de vote. Le dividende est payable le 1er décembre 2009 aux détenteurs d'actions ordinaires et d'actions de catégorie A inscrits aux registres en date du 30 octobre 2009. Le dividende est considéré comme un "dividende déterminé" aux fins de l'impôt. ENONCES PROSPECTIFS Le présent communiqué contient des énoncés qui sont de nature prospective. Les résultats ou les événements réels peuvent diverger sensiblement des résultats ou des événements prévus qui sont présentés ici, en raison des risques et des incertitudes inhérents aux activités qu'exerce Canadian Tire et de la conjoncture générale. Ces risques et incertitudes sont précisés dans d'autres documents publiés par la Société, tels que le rapport de gestion et le Rapport financier 2008, et comprennent, sans s'y limiter : les fluctuations des taux d'intérêt, des taux de change ou des taux d'imposition; la capacité de Canadian Tire d'attirer et de conserver des employés, des marchands, des agents de la Division pétrolière ainsi que des exploitants de magasins et des franchisés de PartSource et de Mark's Work Wearhouse de qualité et enfin, la volonté des clients de magasiner dans les magasins de la Société ou de se procurer des produits et services financiers. Les facteurs de risque associés aux hypothèses qui sous-tendent les résultats prévisionnels de Canadian Tire pour 2009 et qui peuvent avoir une incidence sur les résultats d'exploitation et le rendement des divisions de la Société sont décrits à la section 11 du rapport de gestion. EXAMEN PAR LE CONSEIL D'ADMINISTRATION Le conseil d'administration de Canadian Tire, faisant suite aux recommandations formulées par le Comité de vérification, a approuvé le contenu du présent rapport. CONFERENCE TELEPHONIQUE Canadian Tire tiendra une conférence téléphonique pour discuter de l'information comprise dans le présent communiqué et de questions connexes à 16 h 30 (HAE), le 13 août 2009. La conférence téléphonique sera diffusée sur le Web en direct et dans son intégralité à l'intention de tous les investisseurs intéressés et des médias à l'adresse http://investor.relations.canadiantire.ca et sera archivée durant 12 mois à la même adresse. La Société Canadian Tire Limitée (TSX : CTC.a, CTC) exploite plus de 1 200 magasins spécialisés dans la vente d'articles d'usage courant et de vêtements, postes d'essence et lave-autos qui font partie d'un réseau d'entreprises interdépendantes spécialisées dans les secteurs du détail, des services financiers et du pétrole. Le Groupe détail Canadian Tire est le détaillant d'articles d'usage courant le plus fréquenté au Canada. Par l'intermédiaire de 475 magasins exploités par des marchands à l'échelle nationale, il propose un assortiment unique de produits et de services dans trois catégories où il est le chef de file : articles automobiles, articles de sport et de loisirs et articles pour la maison. Le site www.canadiantire.ca permet aux Canadiens de se renseigner en ligne sur plus de 25 000 articles. PartSource est une chaîne de 88 magasins spécialisés dans la vente de pièces automobiles offrant un assortiment adapté à ses marchés cibles, c'est-à-dire les mécaniciens professionnels et les bricoleurs sérieux. La Division pétrolière de Canadian Tire, qui exploite 273 postes d'essence, 267 dépanneurs et kiosques ainsi que 73 lave-autos, est l'un des détaillants indépendants d'essence les plus importants et les plus productifs au pays. Mark's Work Wearhouse, connue sous l'enseigne L'Equipeur au Québec, compte 375 magasins au Canada et est l'un des principaux détaillants de vêtements du pays. Fidèle à sa devise Toujours le bon vêtement(MC), Mark's Work Wearhouse vend des vêtements et des chaussures pour le travail, les loisirs et la vie active, ainsi que des vêtements pour le personnel médical et la clientèle des comptes commerciaux, qu'elle met en valeur sur ses sites www.marks.com et www.lequipeur.com. Les Services Financiers Canadian Tire ont émis plus de cinq millions de cartes de crédit MasterCard de Canadian Tire et commercialisent des produits et services financiers connexes offerts aux clients des magasins de détail et des postes d'essence. Les Canadiens peuvent avoir accès aux Services Financiers en ligne à l'adresse www.ctfs.com. Plus de 57 000 Canadiens travaillent pour Canadian Tire d'un océan à l'autre dans les secteurs du détail, des services financiers et du pétrole.Rapport de gestion ------------------------------------------------------------------------- IntroductionLe présent rapport de gestion donne la vision de la direction quant à notre Société, à nos résultats et à notre stratégie pour l'avenir. Définitions Dans le présent document, les termes "nous", "notre", "Société" et "Canadian Tire" désignent tous La Société Canadian Tire Limitée, ses unités commerciales et ses filiales. Pour la terminologie communément utilisée (comme les ventes au détail et les ventes dans les magasins semblables), veuillez vous reporter à la section 5.3, Rendement de nos secteurs d'activité, et au Glossaire (pages 93 à 95) de notre Rapport financier 2008, disponible en ligne sur le site de SEDAR, à l'adresse www.sedar.com, et dans la section des relations avec les investisseurs du site de la Société Canadian Tire, à l'adresse http://corp.canadiantire.ca/fr/investors. Examen et approbation par le conseil d'administration Sur la recommandation du Comité de vérification, le conseil d'administration a approuvé le contenu du présent rapport de gestion le 13 août 2009.Comparaisons relatives au trimestre et à l'exercice contenues dans ce rapport de gestionA moins d'indication contraire, toutes les comparaisons des résultats du deuxième trimestre (période de 13 semaines terminée le 4 juillet 2009) sont établies par rapport aux résultats du deuxième trimestre de 2008 (période de 13 semaines terminée le 28 juin 2008). Retraitement des chiffres Certains chiffres des périodes antérieures ont été reclassés ou retraités afin que leur présentation soit conforme à celle adoptée pour l'exercice considéré ou en raison de l'adoption de nouvelles normes comptables de l'Institut Canadien des Comptables Agréés (l'"ICCA"). Pour obtenir plus de renseignements, veuillez vous reporter aux sections 14.1 et 14.2 du présent rapport de gestion et à la note 2 des états financiers consolidés. Estimations et hypothèses comptables La préparation d'états financiers consolidés selon les principes comptables généralement reconnus (les "PCGR") du Canada exige que nous procédions à des estimations et posions des hypothèses qui influent sur les montants présentés de l'actif et du passif, sur la présentation des actifs et des passifs éventuels à la date des états financiers consolidés, ainsi que sur les montants présentés des produits et des charges pendant la période visée par les états financiers. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez vous reporter à la section 12 du présent rapport de gestion. Enoncés prospectifs Le présent rapport de gestion contient des énoncés qui sont de nature prospective. Les résultats ou les événements réels peuvent diverger sensiblement des résultats ou des événements prévus qui sont présentés ici, en raison des risques et des incertitudes inhérents aux activités qu'exerce Canadian Tire et de la conjoncture générale. Veuillez également vous reporter à la section 18 pour obtenir d'autres renseignements importants ainsi qu'une mise en garde relative aux énoncés prospectifs. Ces renseignements sont particulièrement importants dans le contexte économique incertain actuel. Nous ne pouvons garantir que les prévisions en matière de résultats financiers ou de rendement lié à l'exploitation se concrétiseront vraiment, et si c'est le cas, qu'elles donneront lieu à une hausse du cours des actions de Canadian Tire.1. Notre Société 1.1 Aperçu de l'entrepriseCanadian Tire exerce ses activités depuis plus de 85 ans. La Société offre aux Canadiens des articles et des services qui répondent aux besoins de tous les jours par l'intermédiaire de son réseau d'entreprises interdépendantes en plein essor. Canadian Tire, nos marchands, nos exploitants de magasins, nos franchisés et nos agents de la Division pétrolière exploitent plus de 1 200 établissements comprenant des magasins spécialisés dans la vente au détail d'articles d'usage courant et de vêtements, ainsi que des postes d'essence. Les Services Financiers Canadian Tire(MD) (les "Services Financiers") proposent aussi divers services financiers à l'intention des Canadiens, principalement la carte MasterCard(MD) Options(MD), des prêts personnels, des marges de crédit, des produits d'assurance et de garantie, des certificats de placement garanti (les "CPG") offerts par l'entremise de courtiers indépendants, de même que d'autres produits offerts aux clients de certains marchés dans le cadre d'un projet pilote de services bancaires de détail. Canadian Tire exploite les quatre principales entreprises décrites ci-après. Le Groupe détail Canadian Tire (le "Groupe détail") est le détaillant d'articles d'usage courant le plus fréquenté au Canada, fort d'un réseau de 475 magasins Canadian Tire exploités par des marchands qui sont des propriétaires d'entreprise indépendants. Les marchands achètent des marchandises auprès de la Société et les vendent aux consommateurs dans leurs magasins Canadian Tire. Le Groupe détail comprend aussi un site de distribution en ligne et les magasins PartSource. PartSource est une chaîne de 88 magasins spécialisés dans la vente de pièces automobiles, qui cible les "bricoleurs sérieux" et les mécaniciens professionnels. Le réseau de magasins PartSource comprend 30 magasins franchisés et 58 succursales. Mark's Work Wearhouse est l'un des principaux détaillants de vêtements et de chaussures au Canada avec ses 375 magasins partout au pays, soit 332 succursales et 43 magasins franchisés, qui offrent des vêtements pour hommes, des vêtements pour femmes et des vêtements de travail. Mark's Work Wearhouse exploite ses magasins sous l'enseigne Mark's Work Wearhouse et, au Québec, sous l'enseigne L'Equipeur(MD). Par l'intermédiaire de sa division "Image", Mark's Work Wearhouse offre également une collection de vêtements à la clientèle des comptes commerciaux. La Division pétrolière de Canadian Tire (la "Division pétrolière") est l'un des plus gros détaillants indépendants d'essence au Canada, et son réseau regroupe 273 postes d'essence, y compris 267 dépanneurs et kiosques, 73 lave-autos, 12 centres de lubrification Pit Stop et 87 postes de propane. La majorité des postes d'essence de Canadian Tire sont situés au même emplacement qu'un magasin Canadian Tire, une stratégie qui a pour but d'attirer les clients dans les magasins Canadian Tire. La quasi-totalité des postes d'essence de la Division pétrolière sont exploités par des agents. Les Services Financiers Canadian Tire (les "Services Financiers") proposent une gamme de cartes de crédit de marque Canadian Tire, dont la carte MasterCard Options et la carte MasterCard Avantage Essence(MD) de Canadian Tire. Les Services Financiers mettent aussi sur le marché des prêts personnels, des marges de crédit, des produits d'assurance et de garantie et un service de dépannage routier appelé Assistance routière Canadian Tire(MD). La Banque Canadian Tire(MD) (la "Banque"), une filiale en propriété exclusive, est réglementée en vertu de lois fédérales et elle gère et finance le portefeuille de cartes de crédit MasterCard de Canadian Tire à l'intention des particuliers, le portefeuille de cartes de crédit personnelles Canadian Tire, ainsi que les portefeuilles de prêts personnels et de marges de crédit. Elle émet aussi des CPG offerts par l'entremise de courtiers indépendants. La Banque offre également, dans trois marchés-tests, des comptes d'épargne à taux d'intérêt élevé, des CPG et des prêts hypothécaires résidentiels, ainsi que le compte tout-en-un de Canadian Tire, qui permet aux clients de regrouper en un seul et même compte leurs comptes chèques, leurs comptes d'épargne, de même que leurs soldes de prêts et d'hypothèque.1.2 Aperçu du réseau de magasins Nombre de magasins et superficie de l'aire Au 4 juillet Au 28 juin de vente 2009 2008 ------------------------------------------------------------------------- Nombre consolidé de magasins Magasins Canadian Tire(1) 475 473 Magasins PartSource 88 75 Magasins Mark's Work Wearhouse/L'Equipeur(1) 375 364 Postes d'essence de la Division pétrolière 273 267 ------------------------------------------------------------------------- Nombre total de magasins 1 211 1 179 Superficie de l'aire de vente consolidée (en millions de pieds carrés) Magasins Canadian Tire 18,9 18,4 Magasins PartSource 0,3 0,2 Magasins Mark's Work Wearhouse/L'Equipeur 3,2 3,1 ------------------------------------------------------------------------- Total de la superficie de l'aire de vente(2) (en millions de pieds carrés) 22,4 21,7 ------------------------------------------------------------------------- (1) Le nombre de magasins reflète les points de vente individuels; ainsi, le nombre total de magasins Canadian Tire et Mark's Work Wearhouse/L'Equipeur comprend les magasins occupant le même bâtiment. (2) Le total de la superficie de l'aire de vente ne comprend pas la superficie moyenne de l'aire de vente dans les dépanneurs de la Division pétrolière, qui était de 452 pieds carrés par magasin au deuxième trimestre de 2009. 1.3 Aperçu du rendement des unités commerciales (variation en pourcentage sur 12 mois) T2 2009 T2 2008 ------------------------------------------------------------------------- Ventes au détail du Groupe détail(1) (1,0)% 1,5 % Produits bruts d'exploitation du Groupe détail (0,8)% 3,1 % Livraisons nettes du Groupe détail (1,4)% 3,2 % Ventes au détail de Mark's Work Wearhouse/L'Equipeur(2) (9,8)% 5,3 % Ventes au détail de la Division pétrolière (21,4)% 14,8 % Volume des ventes d'essence de la Division pétrolière (en litres) 1,3 % (1,8)% Ventes liées aux cartes de crédit des Services Financiers 1,1 % 5,0 % Créances moyennes brutes des Services Financiers 5,3 % 6,8 % ------------------------------------------------------------------------- (1) Comprend les ventes dans les magasins Canadian Tire et PartSource, ainsi que la composante main-d'oeuvre des ventes dans les centres- autos du Groupe détail. (2) Comprend les ventes au détail des succursales et des magasins franchisés de Mark's Work Wearhouse. 2. Notre plan stratégique 2.1 Plan stratégique quinquennal jusqu'en 2013 (plan 2009-2013)Le plan 2009-2013 décrit notre stratégie qui vise à développer Canadian Tire en accordant une attention soutenue à la croissance et à la productivité pendant toute la durée du plan. Les principales initiatives de croissance du plan 2009-2013 comprennent l'agrandissement du réseau de toutes nos entreprises de détail (le Groupe détail et PartSource, la Division pétrolière et Mark's Work Wearhouse), le renouvellement des concepts de magasin, ainsi que le développement continu des produits et services offerts par les Services Financiers. Les principales initiatives de productivité comprennent la poursuite de la mise à niveau de la chaîne d'approvisionnement pour ce qui est des pièces automobiles, le renouvellement de l'infrastructure technologique et la rationalisation de notre structure organisationnelle. Les objectifs précis liés à ces programmes sont décrits aux sections 3.2 et 3.3 du présent rapport de gestion et à la section 4 du rapport de gestion compris dans le Rapport financier 2008. 2.2 Aspirations financières Le plan 2009-2013 comprenait les aspirations financières de la Société pour la période de cinq ans qui se terminera en décembre 2013. A la lumière de la perturbation que connaît le marché du crédit depuis août 2007 et du ralentissement économique subséquent, la direction réévalue actuellement ses aspirations financières à long terme dans le cadre de son examen annuel du plan stratégique et de son évaluation continue de la conjoncture économique.3. Notre rendement en 2009 3.1 Résultats consolidés (en millions de dollars, sauf les Cumul Cumul montants par T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- action) 2009 2008(1) tion de 2009 de 2008(1) tion ------------------------------------------------------------------------- Ventes au détail(2) 2 789,1 $ 2 949,5 $ (5,4)% 4 578,9 $ 4 789,8 $ (4,4)% Produits bruts d'exploi- tation 2 324,8 2 450,7 (5,1)% 4 082,9 4 276,0 (4,5)% BAIIA(3) 250,1 216,6 15,5 % 406,2 391,1 3,9 % Bénéfice avant impôts 152,4 144,8 5,3 % 218,8 244,2 (10,4)% Taux d'imposition effectif 32,0 % 32,5 % 29,9 % 32,5 % Bénéfice net 103,7 $ 97,7 $ 6,1 % 153,4 $ 164,8 $ (6,9)% Bénéfice de base par action 1,27 $ 1,20 $ 5,9 % 1,88 $ 2,02 $ (7,1)% Bénéfice de base par action ajusté(3) 1,26 $ 1,16 $ 8,6 % 1,87 $ 1,84 $ 1,3 % ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- (1) Les données de 2008 ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter aux sections 14.1 et 14.2 pour obtenir de plus amples renseignements. (2) Représente les ventes au détail du Groupe détail (y compris celles de PartSource), ainsi que celles des succursales et des magasins franchisés de Mark's Work Wearhouse et des établissements de la Division pétrolière. (3) Veuillez vous reporter à la rubrique 15, "Mesures non définies par les PCGR".Produits bruts d'exploitation consolidés Pour le trimestre, les produits bruts d'exploitation ont diminué de 5,1 pour cent par rapport à l'exercice précédent, principalement en raison d'une diminution de 24,1 pour cent des produits de la Division pétrolière, attribuable à la baisse des prix à la pompe comparativement au deuxième trimestre de 2008. Les produits bruts d'exploitation de Mark's Work Wearhouse ont diminué de 9,2 pour cent en raison de l'incidence du ralentissement économique sur les ventes de vêtements pour hommes et de vêtements de travail. Les produits bruts d'exploitation du Groupe détail, malgré une économie plus lente, n'ont connu qu'une légère diminution de 0,8 pour cent. Le rendement des Services Financiers est demeuré solide au cours du deuxième trimestre, les produits bruts d'exploitation s'étant accrus de 15,6 pour cent grâce à un meilleur rendement et à l'augmentation des soldes des comptes. Bénéfice net consolidé Le bénéfice net consolidé du trimestre a augmenté de 6,1 pour cent par rapport à l'exercice précédent en raison de la hausse des marges sur les produits du Groupe détail et d'une gestion efficace des charges d'exploitation dans toutes les entreprises. Cette augmentation a été contrebalancée en partie par l'accroissement des provisions pour prêts douteux des Services Financiers compte tenu de la conjoncture économique et de la hausse des intérêts débiteurs découlant de l'expansion rapide des dépôts auprès de courtiers, lesquels servent à préfinancer l'augmentation des créances sur cartes de crédit à l'échéance des billets de GCCT, à la fin de 2009. Le bénéfice net consolidé a aussi subi l'incidence des éléments hors exploitation, comme suit. Incidence des éléments hors exploitation Le tableau qui suit présente notre bénéfice consolidé ajusté avant et après impôts.Bénéfice consolidé ajusté avant et après impôts(1) (en millions de dollars, sauf les Cumul Cumul montants par T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- action) 2009 2008(2) tion de 2009 de 2008(2) tion ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice avant impôts 152,4 $ 144,8 $ 5,3 % 218,8 $ 244,2 $ (10,4)% Moins les ajustements avant impôts au titre des éléments suivants : Obligation au titre des prestations de retraite de l'ancien chef de l'adminis- tration(3) - 0,5 0,5 0,9 Incidence nette des activités de titrisa- tion(4) 1,7 3,9 2,2 16,8 Gain (perte) à la cession d'immobili- sations corporelles (0,8) - (1,5) 3,7 ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice ajusté avant impôts(1) 151,5 $ 140,4 $ 8,0 % 217,6 $ 222,8 $ (2,3)% Impôts sur les bénéfices 48,5 45,7 65,0 72,5 ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice ajusté après impôts(1) 103,0 $ 94,7 $ 8,8 % 152,6 $ 150,3 $ 1,5 % ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice de base par action 1,27 $ 1,20 $ 5,9 % 1,88 $ 2,02 $ (7,1)% Bénéfice de base par action ajusté(1) 1,26 $ 1,16 $ 8,6 % 1,87 $ 1,84 $ 1,3 % ------------------------------------------------------------------------- (1) Veuillez vous reporter à la rubrique 15, "Mesures non définies par les PCGR". (2) Les données 2008 ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter aux sections 14.1 et 14.2 pour obtenir de plus amples renseignements. (3) L'obligation au titre des prestations de retraite de l'ancien chef de l'administration a été constatée dans les résultats du Groupe détail. Veuillez vous reporter à la section 3.3.1. (4) Comprend le gain (la perte) initial(e) à la vente de créances sur prêts, l'amortissement du passif de gestion, la variation de la réserve au titre de la titrisation et le gain (la perte) au titre des réinvestissements.Le bénéfice net consolidé pour le deuxième trimestre a subi l'incidence négative d'une perte négligeable à la cession d'immobilisations corporelles comparativement à l'exercice précédent, ainsi que d'une diminution de 2,2 millions de dollars relative aux activités de titrisation. Saisonnalité Nos entreprises de détail enregistrent normalement des produits d'exploitation et un bénéfice plus soutenus aux deuxième et quatrième trimestres de chaque exercice, en raison du caractère saisonnier de certaines marchandises du Groupe détail et de Mark's Work Wearhouse ainsi que du calendrier de mise en oeuvre des programmes de marketing. Le tableau suivant présente notre rendement financier par trimestre pour les deux derniers exercices.Résultats trimestriels consolidés(1) (en millions de dollars, sauf les T2 T1 T4 T3 montants par action) 2009 2009 2008 2008 ------------------------------------------------------------------------- Produits bruts d'exploitation 2 324,8 $ 1 758,1 $ 2 587,8 $ 2 257,5 $ Bénéfice net 103,7 49,7 101,5 109,1 Bénéfice de base et dilué par action 1,27 0,61 1,24 1,34 ------------------------------------------------------------------------- (en millions de dollars, sauf les T2 T1 T4 T3 montants par action) 2008 2008 2007 2007 ------------------------------------------------------------------------- Produits bruts d'exploitation 2 450,7 $ 1 825,3 $ 2 503,1 $ 2 049,2 $ Bénéfice net 97,7 67,1 131,3 102,2 Bénéfice de base et dilué par action 1,20 0,82 1,61 1,25 ------------------------------------------------------------------------- (1) Les données trimestrielles de 2008 ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter aux sections 14.1 et 14.2 pour obtenir de plus amples renseignements. Les données de 2007 n'ont pas été retraitées puisque les renseignements nécessaires aux calculs sur une base trimestrielle n'étaient pas facilement accessibles. Les résultats saisonniers habituels dont il a été question précédemment ont notamment subi l'incidence des éléments suivants : - Les résultats du deuxième trimestre de 2008 ont subi l'incidence négative d'un ajustement de 12,0 millions de dollars avant impôts lié à l'écart entre les stocks physiques et les stocks comptables de Mark's Work Wearhouse; - Les résultats du deuxième trimestre de 2008 ont subi l'incidence négative d'une charge de 9,7 millions de dollars avant impôts liée au relancement des cartes MasterCard Options des Services Financiers; - Les résultats du troisième trimestre de 2008 ont profité de l'incidence positive d'une diminution de 8,6 millions de dollars de la charge d'impôts, dont la majeure partie est liée à l'incidence des opérations de cession-bail conclues depuis 2005; - Les résultats du quatrième trimestre de 2008 ont subi l'incidence négative d'une charge de 28,7 millions de dollars avant impôts liée à l'ajustement au titre des swaps de taux d'intérêt différés. 3.2 Aperçu du rendement des unités commerciales pour le deuxième trimestre de 2009 ------------------------------------------------------------------------- Groupe détail Canadian Tire Mark's Work Wearhouse ------------------------------------------------------------------------- Aperçu du rendement pour le Aperçu du rendement pour le deuxième deuxième trimestre de 2009 trimestre de 2009 - poursuite de l'élaboration - ouverture de deux nouvelles de nouveaux concepts de succursales, dont une est un magasins; magasin mixte, et fermeture d'une - remplacement d'un magasin succursale; traditionnel et de quatre - augmentation d'environ 5,6 pour magasins rénovés et agrandis cent de la superficie totale de par cinq magasins intelligents, l'aire de vente sur 12 mois; le dont deux intègrent un magasin réseau compte maintenant 375 Mark's Work Wearhouse de format emplacements; régulier; - amélioration de plus de 400 - amélioration des marges grâce points de base des marges à une gestion efficace des bénéficiaires brutes grâce à une chiffres d'affaires provenant meilleure gestion des stocks et des ventes courantes et des réductions de prix. promotionnelles et des coûts d'acquisition. Aperçu du rendement de PartSource pour le deuxième trimestre de 2009 - ouverture d'une nouvelle succursale; - augmentation d'environ 13,7 pour cent de la superficie consacrée à la vente au détail sur 12 mois par suite de l'expansion continue du réseau. ------------------------------------------------------------------------- Services Financiers Canadian Tire Division pétrolière ------------------------------------------------------------------------- Aperçu du rendement pour le Aperçu du rendement pour le deuxième trimestre de 2009 deuxième trimestre de 2009 - augmentation de 5,3 pour cent - expansion du réseau de magasins des créances moyennes brutes grâce à l'ajout de six postes de l'ensemble du portefeuille d'essence (depuis le deuxième géré; trimestre de 2008); - augmentation des produits tirés - augmentation de 19,1 pour cent des produits d'assurance et de des activités des dépanneurs par garantie offerts; rapport à l'exercice précédent; - croissance continue du - déploiement d'efforts constants portefeuille de CPG auprès de en vue d'améliorer l'expérience courtiers; globale du client dans les postes - poursuite des essais de de la Division pétrolière. l'initiative de services bancaires de détail. -------------------------------------------------------------------------Les sections suivantes décrivent le rendement des secteurs d'activité de la Société en soulignant les progrès accomplis par chacun d'eux en regard des initiatives clés déterminées dans le plan 2009-2013. Les initiatives ont été classées en deux catégories : celles qui contribuent à la croissance (augmentation des ventes principalement grâce à la croissance du réseau, à l'ouverture de nouveaux magasins et à l'offre de nouveaux articles) et celles qui contribuent à l'augmentation de la productivité (amélioration des mesures du service à la clientèle, des niveaux de service, de la rentabilité et des taux de rendement).3.3 Rendement de nos secteurs d'activité 3.3.1 Groupe détail Canadian Tire 3.3.1.1 Rendement à l'égard du plan stratégique pour le deuxième trimestre de 2009 La section suivante présente le rendement du Groupe détail pour le deuxième trimestre de 2009 à l'égard de notre plan 2009-2013. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives de croissance du Groupe détail Canadian Tire ------------------------------------------------------------------------- Programme de nouveau magasin Depuis 2003, les magasins Concept 20/20 ont constitué la pierre angulaire du plan de croissance du Groupe détail Canadian Tire. Ce programme est en grande partie terminé, et le Groupe détail a élaboré de nouveaux concepts de magasin qui visent à tirer parti du succès des magasins Concept 20/20, en mettant davantage l'accent sur l'augmentation des ventes et de la productivité pour un coût en capital moindre. Les projets pour 2009 comprennent l'ouverture de nouveaux magasins intelligents, qui seront axés sur l'augmentation des ventes et de la productivité, tout en offrant une expérience de magasinage plus stimulante, et de magasins pour petit marché conçus pour accroître notre présence dans de plus petits marchés. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- Le déploiement des magasins Deuxième trimestre Concept 20/20 s'est terminé en 2008. La stratégie du Groupe Au deuxième trimestre, le Groupe détail Canadian Tire est détail a remplacé un magasin maintenant axée sur l'essai et la traditionnel et quatre magasins mise en oeuvre des prochains rénovés et agrandis par cinq formats de magasins du Groupe magasins intelligents, dont deux détail et prévoit la construction intègrent un magasin Mark's Work de nouveaux magasins intelligents Wearhouse de format régulier. Nous et de magasins pour petit marché, avons également fermé un magasin ainsi que la conversion de traditionnel. A la fin du deuxième magasins à ces formats qui trimestre, notre réseau comptait constituent un élément crucial neuf magasins intelligents et cinq du plan 2009-2013. magasins pour petit marché. Le réseau de magasins compte maintenant un total de 475 magasins. De ce nombre, 48 comportent une section Mark's Work Wearhouse. ------------------------------------------------------------------------- Clients pour la vie Canadian Tire a pris l'engagement de fidéliser ses clients en leur offrant une expérience positive, uniforme et mémorable. En 2008, le Groupe détail a commencé à travailler à l'élaboration d'un nouveau modèle pour la stratégie d'entreprise, afin de mettre davantage l'accent sur le service à la clientèle et d'améliorer nos façons de créer des clients pour la vie, et continuera à s'y consacrer en 2009. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- Le Groupe détail prévoit continuer Deuxième trimestre d'améliorer considérablement l'expérience de magasinage des Les résultats du sondage au sein du clients afin de soutenir la Groupe détail indiquent une croissance soutenue des ventes. amélioration de 2,8 pour cent du degré de satisfaction générale pour le premier semestre de l'exercice comparativement aux résultats de 2008. Les équipes de soutien des magasins et de la Division des relations avec les marchands associés ont continué de collaborer avec les marchands Canadian Tire afin de lancer une version en ligne du programme Indice de satisfaction de la clientèle, celle-ci faisant actuellement l'objet d'un essai. ------------------------------------------------------------------------- Expansion du réseau PartSource PartSource poursuivra son expansion dans de nouveaux marchés, grâce à l'ouverture de nouveaux magasins et à l'acquisition de petites entreprises. La stratégie de PartSource consistant à acquérir de petites entreprises locales et à les convertir à l'enseigne PartSource obtient de bons résultats, un pourcentage élevé de clients demeurant fidèles après la conversion. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- Certaines des initiatives clés Deuxième trimestre pour PartSource comprennent l'établissement du Groupe détail Au cours du trimestre, PartSource a en tant que compte commercial pour continué de faire des progrès les livraisons d'urgence, la mise considérables relativement à à jour de la structure l'établissement du compte commercial organisationnelle et l'essai de du Groupe détail. L'ensemble du nouveaux systèmes d'exploitation réseau PartSource (qui est constitué et d'un nouveau catalogue de de magasins pivots, de succursales pièces automobiles. et de magasins franchisés) assure désormais l'approvisionnement d'urgence en pièces automobiles pour environ 200 magasins Canadian Tire. PartSource a ouvert une nouvelle succursale, a converti un magasin franchisé en succursale et a converti une succursale indépendante à l'enseigne PartSource au cours du trimestre, ce qui porte à 88 le total de magasins du réseau, y compris neuf magasins pivots. (La section portant sur l'initiative de la Division automobile ci-dessous fournit plus de détails sur les magasins pivots.) ------------------------------------------------------------------------- Initiatives de productivité du Groupe détail Canadian Tire ------------------------------------------------------------------------- Programme de remaniement du Groupe détail Au cours de 2007, le Groupe détail a entrepris la mise en oeuvre d'une initiative s'étendant sur plusieurs années visant à améliorer la productivité, en réalisant des projets conçus pour réviser et mettre à niveau les processus internes et les systèmes de technologie de l'information. Grâce à ces projets, nous pourrons prendre de meilleures décisions plus rapidement et améliorer notre agilité et notre rapidité sur le plan de la commercialisation. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- En 2009, le Groupe détail prévoit Deuxième trimestre mettre en oeuvre des initiatives en matière de productivité et de L'avancement des travaux dans le contrôle dans les domaines de la cadre du programme de remaniement du planification des ventes et des Groupe détail comprenait ce qui activités, ainsi que procéder à suit : l'analyse et à la définition des - achèvement et mise en oeuvre de exigences en matière de la première étape des planification promotionnelle et améliorations des processus de de gestion des relations avec les planification des ventes et des fournisseurs en vue d'une mise en activités dans toutes les oeuvre en 2010. divisions de la commercialisation de Canadian Tire; - achèvement de la conception des nouveaux processus et des nouvelles solutions technologiques liés à la fonction de planification promotionnelle; - poursuite de l'analyse de la fonction de gestion des relations avec les fournisseurs, y compris l'établissement de sa portée, et du travail de conception des processus. ------------------------------------------------------------------------- Initiative de l'infrastructure de la Division automobile La revitalisation des activités automobiles de base constitue une priorité absolue sur la durée du plan 2009-2013, alors que la Société continue d'agrandir son réseau grâce à l'ouverture de magasins pivots PartSource. Les magasins pivots régionaux sont plus grands que les magasins PartSource traditionnels et sont conçus pour offrir un assortiment plus vaste de pièces automobiles afin de répondre aux besoins aussi bien des clients des magasins Canadian Tire que de ceux des magasins PartSource. Le Groupe détail prévoit ouvrir huit magasins pivots supplémentaires en 2009. En outre, la Société investit dans ses infrastructures et dans les améliorations technologiques et procède au remaniement des processus de service à la clientèle. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- La Société prévoit ouvrir huit Deuxième trimestre magasins pivots en 2009. En outre, des investissements L'initiative de l'infrastructure de supplémentaires assureront la la Division automobile s'est modernisation des centres de poursuivie comme suit : distribution de pièces automobiles et un nouveau projet prévoira la Mise sur pied d'un système mise en oeuvre du système de d'approvisionnement d'urgence : gestion d'entrepôt Manhattan au - mise en place de processus centre de distribution de pièces d'approvisionnement d'urgence à automobiles de Calgary. l'intention des bricoleurs L'investissement dans les actifs sérieux dans neuf magasins pivots liés à la distribution permettra PartSource qui approvisionnent d'accroître de 20 pour cent 140 magasins Canadian Tire. l'assortiment de pièces automobiles en stock. Les activités entourant Processus de mise en place des le lancement d'un catalogue de assortiments : pointe de pièces automobiles seront - stocks atteignant désormais achevées, et ce catalogue sera 50 000 pièces dans deux centres déployé dans les magasins Canadian de distribution de pièces Tire en 2010. automobiles; - élaboration du plan de travail en vue de la mise en oeuvre du nouveau système de gestion d'entrepôt pour le centre de distribution de pièces automobiles de Calgary; - conception de solutions visant à améliorer le processus de planification de l'assortiment de pièces automobiles. Processus liés à l'expérience de magasinage des clients : - élaboration, par le fournisseur du logiciel choisi, d'un tiers des normes de conception fonctionnelle nécessaires au soutien des processus liés à l'expérience de magasinage des clients; - achèvement de l'établissement des exigences commerciales nécessaires liées à la gestion des données sur les pièces. ------------------------------------------------------------------------- 3.3.1.2 Principaux indices de rendement Voici les principales mesures de la productivité des ventes du Groupe détail : - croissance du total des ventes dans les magasins semblables; - ventes au détail moyennes par magasin; - ventes au détail moyennes par pied carré de superficie consacrée à la vente au détail. Total des ventes au détail et ventes dans les magasins semblables du Groupe détail (variation en Cumul Cumul pourcentage sur T2 T2 annuel annuel 12 mois) 2009 2008 de 2009 de 2008 ------------------------------------------------------------------------- Total des ventes au détail(1) (1,0)% 1,5 % 0,8 % 0,3 % Ventes dans les magasins semblables(2) (2,7)% (0,5)% (0,8)% (1,8)% ------------------------------------------------------------------------- (1) Comprend les ventes dans les magasins Canadian Tire et PartSource, ainsi que la composante main-d'oeuvre des ventes dans les centres- autos du Groupe détail. (2) Comprend les ventes dans les magasins Canadian Tire et PartSource, mais ne comprend pas les ventes du magasin en ligne du Groupe détail, ni la composante main-d'oeuvre des ventes dans les centres-autos du Groupe détail. Ventes au détail du Groupe détail Deuxième trimestreBien que nos magasins continuent de subir l'incidence des conditions économiques difficiles qui ont cours actuellement au Canada ainsi que du temps inhabituellement frais et pluvieux en Ontario et au Québec, la légère diminution de 1,0 pour cent des ventes au détail constatée au deuxième trimestre est considérée comme un résultat relativement satisfaisant, surtout compte tenu du fait que le trimestre a compté moins de jours ouvrables qu'à l'exercice précédent en raison du calendrier des jours fériés (Pâques et la fête du Canada). Le temps inhabituellement frais et pluvieux a influé sur les ventes de certains articles saisonniers, notamment les articles de vie au jardin et les appareils de climatisation, et la conjoncture difficile a eu une incidence sur certaines autres catégories, comme les outils et les appareils électroniques. Les ventes dans les magasins semblables ont diminué de 2,7 pour cent comparativement au deuxième trimestre de 2008. D'un point de vue régional, les ventes ont été plus faibles en Ontario et au Québec que dans les autres provinces. Encore ce trimestre, PartSource a enregistré une augmentation à deux chiffres des ventes par rapport à l'exercice précédent grâce à l'expansion continue du réseau et à l'amélioration de l'assortiment d'articles. La nature des activités de PartSource lui permet de demeurer relativement solide lors des ralentissements économiques puisque, lors de telles périodes, les clients ont tendance à réparer leurs véhicules plutôt qu'à les remplacer, surtout compte tenu de l'incertitude qui plane sur l'industrie automobile en Amérique du Nord. En outre, les livraisons de PartSource aux marchands Canadian Tire continuent d'augmenter alors que divers éléments de la stratégie de l'infrastructure de la Division automobile sont mis en oeuvre. Description des magasins du réseau du Groupe détail Notre réseau de magasins a évolué, grâce à l'introduction de nouveaux formats d'aménagement dans nos différentes classes de magasins qui se définissent comme suit :------------------------------------------------------------------------- Magasins intelligents Magasins pour petit Magasins rénovés et (fin 2008) Superficie marché (mi-2008) agrandis (1994 à moyenne consacrée à Superficie moyenne mi-2008) Superficie la vente au détail : consacrée à la vente moyenne consacrée à 63 000 pi2 au détail : 18 000 pi2 la vente au détail : 44 000 pi2 ------------------------------------------------------------------------- Prochain concept de Magasins de plus petites Combinaison de nos magasin s'inspirant des dimensions, lancés en concepts de magasins magasins Concept 20/20 juillet 2008, dont la les plus récents, y et axé sur la croissance superficie se situe compris les magasins et l'amélioration de la entre 14 000 et 19 000 Concept 20/20, "nouveau productivité grâce à une pieds carrés. Les concept" et "nouvelle présentation attrayante, magasins pour petit génération". La à des assortiments marché répondent aux superficie de ces renouvelés et à des besoins des marchés en magasins, auparavant solutions plus milieu rural appelés "magasins écologiques. La insuffisamment desservis modernes", se situe superficie des magasins et offrent une sélection entre 16 000 et 89 000 se situe entre 41 000 et d'articles adaptés à une pieds carrés. La 83 000 pieds carrés. Il région particulière. Ils plupart ont été ouverts existe actuellement neuf sont caractérisés par ou convertis à ces magasins intelligents, des affiches de formats entre 1994 et le premier ayant ouvert direction faciles à lire le milieu de 2008. Les en novembre 2008. et de larges allées et magasins rénovés et par la mise en évidence agrandis représentent des rayons traditionnels environ 90,4 pour cent (comme les articles de de la superficie hockey), ainsi que par consacrée à la vente au des aires extérieures détail dans l'ensemble spacieuses qui du réseau du Groupe permettent d'"agrandir" détail (exception faite le magasin lors des de PartSource). périodes de pointe. Le réseau compte actuellement cinq magasins pour petit marché. ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Magasins traditionnels Magasins PartSource (jusqu'à 1994) (jusqu'en 2008) Superficie moyenne Superficie moyenne consacrée à la vente consacrée à la vente au détail : 16 000 pi2 au détail : 7 000 pi2 ------------------------------------------------- Magasin plus petit que PartSource est un le magasin rénové et magasin spécialisé dans agrandi, en moyenne. Les la vente de pièces magasins traditionnels automobiles offrant un varient quant à leur assortiment adapté à taille et à leur ses marchés cibles, aménagement. Leur c'est-à-dire les superficie se situe monteurs professionnels entre 3 000 et 36 000 et les bricoleurs pieds carrés. Ils sérieux. Les magasins représentent environ 6,1 proposent un assortiment pour cent de la d'articles ciblant les superficie consacrée à besoins locaux en la vente au détail dans matière de pièces l'ensemble du réseau du automobiles et sont Groupe détail (exception facilement faite de PartSource). reconnaissables à leur enseigne au motif de damier. Depuis 2007, de nouveaux entrepôts plus grands (les magasins pivots) ont ouvert afin de mettre à la disposition des clients un plus grand nombre de pièces dans les magasins Canadian Tire et PartSource. ------------------------------------------------- Nombre de magasins du Groupe détail T2 2009(1) 2008(2) 2007(2) 2006(2) 2005(2) ------------------------------------------------------------------------- Magasins rénovés et agrandis(3) 388 393 381 363 345 Magasins traditionnels 73 76 92 105 117 Magasins pour petit marché 5 4 - - - Magasins intelligents 9 2 - - - ------------------------------------------------------------------------- Total de magasins rénovés et agrandis, traditionnels, pour petit marché et intelligents 475 475 473 468 462 Magasins PartSource 88 86 71 63 57 ------------------------------------------------------------------------- (1) Nombre de magasins à la fin du deuxième trimestre de 2009. (2) Nombre de magasins à la fin de l'exercice. (3) En 2009, le nombre de magasins rénovés et agrandis a diminué de cinq. Ces magasins ont été convertis en cinq magasins intelligents (un au premier trimestre et quatre au deuxième trimestre).Le Groupe détail continue de convertir son réseau de magasins en mettant l'accent sur la conversion de magasins nouveaux ou de remplacement et de magasins rénovés et agrandis existants au format le plus récent. L'implantation du format Concept 20/20 s'est terminée à la fin de 2008 et deux nouveaux concepts de magasin (les magasins pour petit marché et les magasins intelligents) ont été mis à l'essai à la fin de 2008 et au début de 2009. Jusqu'à présent, ces nouveaux formats ont été accueillis favorablement par nos clients. Pour le reste de l'exercice 2009 et au cours des années suivantes, nous poursuivrons la mise en oeuvre des deux nouveaux formats conformément aux objectifs du plan 2009-2013.Ventes au détail moyennes par magasin Canadian Tire(1),(2) (en millions de dollars) Pour la Pour la période de période de 12 mois 12 mois terminée terminée le 4 juillet le 28 juin 2009 2008 ------------------------------------------------------------------------- Magasins rénovés et agrandis 16,0 $ 16,0 $ Magasins traditionnels 7,9 7,9 ------------------------------------------------------------------------- (1) Les ventes au détail de chaque année sont présentées pour une période de 52 semaines. Elles ne comprennent pas les ventes dans les magasins PartSource, ni celles du magasin en ligne du Groupe détail, ni la composante main-d'oeuvre des ventes dans les centres-autos du Groupe détail. (2) Ne comprend que les ventes des magasins qui étaient ouverts depuis au moins deux ans à la fin du trimestre. Les magasins rénovés et agrandis enregistrent généralement un plus fort achalandage et un montant moyen des transactions plus élevé que les magasins traditionnels. Sur 12 mois, les ventes au détail moyennes par magasin rénové et agrandi et par magasin traditionnel sont demeurées stables. Ventes moyennes par pied carré de superficie consacrée à la vente au détail dans un magasin Canadian Tire(1),(2),(3) Pour la Pour la période de période de 12 mois 12 mois terminée terminée le 4 juillet le 28 juin 2009 2008 ------------------------------------------------------------------------- Superficie consacrée à la vente au détail(1),(3) (en millions de pieds carrés) 18,9 18,4 Magasins rénovés et agrandis(2),(3) (ventes en dollars par pied carré) 382 $ 381 $ Magasins traditionnels(2),(3) 497 496 ------------------------------------------------------------------------- (1) La superficie consacrée à la vente au détail se fonde sur la superficie totale consacrée à la vente au détail, y compris celle des magasins qui n'étaient pas ouverts depuis au moins deux ans. Il s'agit d'une mesure ponctuelle (plutôt que sur une période de 12 mois) à la fin du trimestre. (2) Les ventes au détail de chaque année sont présentées pour une période de 52 semaines pour les magasins qui sont ouverts depuis au moins deux ans à la fin du trimestre. Elles ne comprennent pas les ventes dans les magasins PartSource, ni celles du magasin en ligne du Groupe détail, ni la composante main-d'oeuvre des ventes dans les centres- autos du Groupe détail. (3) La superficie consacrée à la vente au détail ne comprend pas l'entrepôt, ni le centre du jardinage, ni le centre-auto.La superficie consacrée à la vente au détail a augmenté d'environ 0,5 million de pieds carrés sur 12 mois, comme il a déjà été mentionné. Les ventes moyennes par pied carré de superficie consacrée à la vente au détail dans les magasins rénovés et agrandis sont inférieures à celles dans les magasins traditionnels, du fait que la superficie additionnelle permet de présenter un plus grand nombre d'articles, d'aménager des allées plus larges et des étalages plus attrayants et d'offrir une expérience de magasinage plus intéressante. Toutefois, les magasins rénovés et agrandis, plus grands, génèrent en moyenne des ventes plus élevées, tout en offrant aux marchands un coût d'exploitation inférieur par pied carré de superficie consacrée à la vente au détail.3.3.1.3 Résultats financiers du Groupe détail Cumul Cumul (en millions T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- de dollars) 2009 2008(1) tion de 2009 de 2008(1) tion ------------------------------------------------------------------------- Ventes au détail 2 153,2 $ 2 174,5 $ (1,0)% 3 421,1 $ 3 393,3 $ 0,8 % Livraisons nettes (variation par rapport à l'exercice précédent) (1,4)% 3,2 % (0,1)% 1,8 % Produits bruts d'exploita- tion 1 550,0 $ 1 562,1 $ (0,8)% 2 649,3 $ 2 633,4 $ 0,6 % BAIIA(2) 163,1 143,2 13,9 % 259,9 245,3 5,9 % ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice avant impôts 95,2 85,1 12,0 % 128,0 128,7 (0,5)% Moins les ajustements au titre des éléments suivants : Gain (perte) à la cession d'immobili- sations corporelles (0,3) 0,1 (0,7) 4,0 Obligations au titre des prestations de retraite de l'ancien chef de l'adminis- tration - 0,5 0,5 0,9 ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice ajusté avant impôts(2) 95,5 $ 84,5 $ 13,0 % 128,2 $ 123,8 $ 3,6 % ------------------------------------------------------------------------- (1) Les données de 2008 ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter aux sections 14.1 et 14.2 pour obtenir de plus amples renseignements. (2) Veuillez vous reporter à la rubrique 15, "Mesures non définies par les PCGR".Explication des résultats financiers du Groupe détail Deuxième trimestre Les livraisons et les produits bruts d'exploitation ont connu des diminutions négligeables au deuxième trimestre en raison de l'incidence du ralentissement économique et des conditions météorologiques inhabituelles, décrits ci-dessus. La diminution des livraisons, plus importante comparativement aux ventes au détail, reflète les efforts constants déployés par les marchands en vue de gérer leurs niveaux de stocks en fonction de l'incertitude économique. Comme nous l'avons déjà mentionné, ces résultats sont considérés comme raisonnables compte tenu du nombre réduit de jours ouvrables comparativement à l'exercice précédent en raison du calendrier des jours fériés. Malgré la diminution des produits, le bénéfice avant impôts du Groupe détail a augmenté de 12 pour cent par rapport à l'exercice précédent. Cette augmentation est attribuable à l'amélioration des marges découlant d'une gestion efficace des prix, des marchandises offertes à prix courant et promotionnel et des coûts d'acquisition. Les charges d'exploitation ont légèrement augmenté, l'augmentation des charges liées au nouveau centre de distribution de l'est du Canada, la hausse des charges locatives des magasins et les investissements continus dans les initiatives importantes (infrastructure de la Division automobile, programme de remaniement du Groupe détail, renouvellement des technologies de l'information et expansion continue du réseau de magasins de PartSource) ayant été contrebalancés en partie par un contrôle des coûts efficace dans d'autres secteurs, tels que le personnel et l'administration. 3.3.1.4 Risques d'entreprise du Groupe détail Dans le cours normal de ses activités, le Groupe détail est exposé à un certain nombre de risques pouvant éventuellement nuire à son rendement. Ces risques comprennent, sans s'y limiter, le risque d'interruption de la chaîne d'approvisionnement, le risque lié à la saisonnalité et le risque environnemental. Veuillez vous reporter à la section 5.3.1.6 de notre Rapport financier 2008 pour plus de détails sur les risques propres aux activités des unités commerciales. Veuillez également vous reporter à la section 11 du présent rapport de gestion, qui présente une analyse de la gestion des risques d'entreprise, et à la section 14 de notre Rapport financier 2008 pour une analyse d'autres risques à l'échelle de l'industrie et de la Société auxquels nous sommes exposés.3.3.2 Mark's Work Wearhouse 3.3.2.1 Rendement à l'égard du plan stratégique pour le deuxième trimestre de 2009 La section suivante présente le rendement de Mark's Work Wearhouse pour le deuxième trimestre de 2009 à l'égard de notre plan 2009-2013. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives de croissance de Mark's Work Wearhouse ------------------------------------------------------------------------- Expansion du réseau Un aspect crucial du plan de croissance de Mark's Work Wearhouse a trait à son objectif d'accaparer une part de plus en plus considérable des ventes globales de vêtements dans chacun des marchés où elle exerce une concurrence. Pour intensifier la présence de Mark's Work Wearhouse sur le marché, la Société prévoit poursuivre la mise en oeuvre d'un plan d'expansion audacieux du réseau de magasins Mark's Work Wearhouse. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- Mark's Work Wearhouse poursuivra Deuxième trimestre l'expansion du réseau en ouvrant - ouverture de deux nouvelles de nouveaux magasins, en succursales, dont une dans un déménageant ou en agrandissant les magasin mixte; magasins existants et en rénovant - déménagement de trois succursales, les magasins plus désuets pour les dont une dans un magasin mixte; convertir à la nouvelle formule - rénovation d'une succursale; Mark's Work Wearhouse. En 2009, - fermeture d'une succursale. nous prévoyons : - ouvrir 14 nouveaux magasins; A la fin du trimestre, la superficie - déménager dix magasins; totale consacrée à la vente au - agrandir trois magasins; détail de Mark's Work Wearhouse - accroître de cinq pour cent la s'établissait à 3,2 millions de superficie consacrée à la vente pieds carrés, en hausse de 5,6 pour au détail. cent par rapport au deuxième trimestre de 2008. Compte tenu du contexte économique actuel, nous avons réduit nos activités de construction de magasins prévues pour 2009 comme suit : - ouverture de dix nouveaux magasins; - déménagement de neuf magasins; - agrandissement de deux magasins; - accroissement de trois pour cent de la superficie consacrée à la vente au détail. ------------------------------------------------------------------------- Nouveaux concepts de magasin En plus d'ajouter des magasins à l'ensemble de son réseau, Mark's Work Wearhouse est en train d'élaborer de nouveaux concepts de magasin qui seront mis en oeuvre sur la durée du plan. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- En plus de contribuer au Deuxième trimestre développement de la section Mark's Les deux magasins mixtes ouverts au Work Wearhouse des nouveaux deuxième trimestre, soit un nouveau concepts pour les magasins mixtes magasin et un magasin déménagé Canadian Tire/Mark's Work dont il a été question précédemment, Wearhouse, comme les magasins constituent les nouveaux intelligents et pour petit marché, magasins intelligents. L'élaboration Mark's Work Wearhouse travaille à du prototype du premier magasin l'élaboration d'un nouveau magasin complet de Mark's Work Wearhouse autonome sous l'enseigne "Toujours sous l'enseigne "Toujours le bon le bon vêtement(MD)", qui sera mis vêtement(MD)" se poursuit. à l'essai en 2009. ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Initiatives de productivité de Mark's Work Wearhouse ------------------------------------------------------------------------- Expansion des catégories Mark's Work Wearhouse a établi des objectifs de croissance ambitieux pour la durée du plan 2009-2013, lesquels seront appuyés par l'expansion des catégories dans ses trois principales gammes d'articles. Bien que la progression ait été modeste en 2007 et en 2008 et qu'elle ait légèrement ralenti depuis le début de l'exercice 2009, les vêtements pour femmes devraient constituer le segment qui connaîtra la croissance la plus rapide de l'entreprise sur la durée du plan, du fait qu'il s'agit de la catégorie la moins développée de Mark's Work Wearhouse. Les améliorations qui seront apportées à l'assortiment d'articles dans la catégorie des vêtements pour femmes devraient permettre une croissance continue sur la durée du plan. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- En 2009, Mark's Work Wearhouse Deuxième trimestre - ventes dans continuera d'élargir son les succursales assortiment d'articles dans ses - diminution de 1,3 pour cent des trois principales catégories de ventes de vêtements pour femmes; vêtements et de chaussures, en - diminution de 10,7 pour cent des mettant l'accent sur la stratégie ventes de vêtements de travail; "Toujours le bon vêtement". - diminution de 14,1 pour cent des ventes de vêtements pour hommes. Au deuxième trimestre de 2009, après avoir effectué des tests au cours des trimestres antérieurs, Mark's Work Wearhouse a complété le lancement officiel de la technologie dri-WEAR(MD), qui est désormais intégrée aux sous-vêtements, aux chaussettes, aux t-shirts et aux polos de Mark's Work Wearhouse et qui commence à être intégrée à la doublure de certains de ses vêtements d'extérieur. Mark's Work Wearhouse a aussi continué de tirer parti d'articles lancés antérieurement, comme la technologie CURVETECH(MC), qui définit la silhouette, dans la catégorie des vêtements pour femmes et les chaussures QUAD COMFORT(MD) pour hommes et femmes. Au deuxième trimestre, l'entreprise a créé un site Web interactif grâce auquel les clients peuvent obtenir des réponses à leurs questions portant sur les divers types de chaussures et leurs avantages pour la santé. ------------------------------------------------------------------------- 3.3.2.2 Principaux indices de rendement Voici les principaux indices de rendement de Mark's Work Wearhouse : - la croissance des ventes au détail et des ventes dans les magasins semblables; - les ventes moyennes par succursale; - les ventes au détail moyennes par pied carré de superficie consacrée à la vente au détail. Croissance des ventes au détail et des ventes dans les magasins semblables de Mark's Work Wearhouse (variation en Cumul Cumul pourcentage sur T2 T2 annuel annuel 12 mois) 2009 2008 de 2009 de 2008 ------------------------------------------------------------------------- Total des ventes au détail(1) (9,8)% 5,3 % (6,6)% 1,5 % Ventes dans les magasins semblables(2) (11,3)% 0,9 % (8,2)% (2,8)% ------------------------------------------------------------------------- (1) Comprend les ventes au détail dans les succursales et les magasins franchisés. (2) Les ventes dans les magasins semblables de Mark's Work Wearhouse ne comprennent pas les nouveaux magasins, ni les magasins qui n'étaient pas ouverts pendant toute la période visée pour chaque année, ni les magasins fermés.Deuxième trimestre Au deuxième trimestre de 2009, les ventes au détail de Mark's Work Wearhouse ont continué de subir l'incidence du ralentissement économique à l'échelle du Canada, principalement dans les marchés clés de l'Ontario et de l'Alberta. Les ventes de vêtements de travail dans les succursales ont subi une diminution à deux chiffres, la catégorie des chaussures et des vêtements de travail pour hommes subissant la plus importante diminution des ventes en dollars. Ces diminutions reflètent la faiblesse du marché du travail dans le secteur manufacturier en Ontario et dans les régions pétrolières de l'Alberta. Les ventes de vêtements de loisirs pour hommes dans les succursales ont aussi connu une diminution à deux chiffres, les articles comme les pantalons décontractés, les jeans, les chemisiers et les t-shirts ayant connu les diminutions les plus marquées. Les ventes de vêtements pour femmes dans les succursales ont été quelque peu meilleures. Bien que cette catégorie ait connu une légère baisse, les catégories des accessoires pour femmes et des vêtements pour le personnel médical ont enregistré des augmentations à deux chiffres. Mark's Work Wearhouse continue de mettre l'accent sur la stratégie "Toujours le bon vêtement" et a maintenu ses prix afin d'optimiser ses marges plutôt que d'accroître le volume des ventes.Ventes au détail moyennes dans les succursales(1) Pour la période de Pour la période de Pour la période de 12 mois terminée 12 mois terminée 12 mois terminée le 4 juillet 2009 le 28 juin 2008 le 30 juin 2007 ------------------------------------------------------------------------- Ventes au détail moyennes par magasin (en milliers de dollars)(2) 2 619 $ 2 735 $ 2 867 $ Ventes moyennes par pied carré (en dollars)(3) 302 323 347 ------------------------------------------------------------------------- (1) Les chiffres sont calculés sur 12 mois. (2) Les ventes au détail moyennes par succursale comprennent celles dans les succursales qui étaient ouvertes depuis au moins 12 mois. (3) Les ventes moyennes par pied carré de superficie sont basées sur les ventes dans les succursales. Le nombre de pieds carrés de superficie a été calculé au prorata pour les succursales qui étaient ouvertes depuis moins de 12 mois.Les ventes au détail moyennes par magasin et les ventes moyennes par pied carré chez Mark's Work Wearhouse diminuent depuis la fin du deuxième trimestre de 2007, principalement en raison du ralentissement économique qui s'est alors amorcé. A cela s'ajoute le fait que Mark's Work Wearhouse a augmenté de 20 pour cent la superficie consacrée à la vente au détail dans les succursales au cours de cette période, notamment grâce à l'ajout de nouveaux magasins, au déménagement et à l'agrandissement de magasins, ainsi qu'au rapatriement de franchises. Selon les dernières données disponibles, une entreprise spécialisée dans les études de marché qui suit les tendances dans l'industrie du vêtement au détail a établi qu'en 2008, Mark's Work Wearhouse a continué d'accroître sa part du marché des vêtements au Canada et qu'elle a maintenu sa part de marché durant le premier trimestre de 2009. Mark's Work Wearhouse estime qu'en poursuivant l'expansion de son réseau, la chaîne sera bien positionnée pour accroître sa part de marché et augmenter de nouveau ses ventes au détail moyennes par magasin et par pied carré lorsque le marché du vêtement au Canada se remettra de la récession actuelle.3.3.2.3 Résultats financiers de Mark's Work Wearhouse Cumul Cumul (en millions T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- de dollars) 2009 2008(1) tion de 2009 de 2008(1) tion ------------------------------------------------------------------------- Ventes au détail(2) 210,2 $ 233,1 $ (9,8)% 378,7 $ 405,6 $ (6,6)% Produits bruts d'exploita- tion(3) 182,2 200,6 (9,2)% 329,3 348,1 (5,4)% BAIIA(4) 14,0 14,2 (0,8)% 16,2 17,2 (5,3)% ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice avant impôts 7,1 7,3 (2,7)% 2,2 3,9 (43,4)% Moins les ajustements au titre de l'élément suivant : Perte à la cession d'immobili- sations corporelles (0,1) (0,1) (0,3) (0,1) ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice ajusté avant impôts(4) 7,2 $ 7,4 $ (1,3)% 2,5 $ 4,0 $ (36,2)% ------------------------------------------------------------------------- (1) Les données de 2008 ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter aux sections 14.1 et 14.2 pour obtenir de plus amples renseignements. (2) Comprend les ventes au détail dans les succursales et les magasins franchisés. (3) Les produits bruts d'exploitation comprennent les ventes au détail dans les succursales seulement. (4) Veuillez vous reporter à la rubrique 15, "Mesures non définies par les PCGR".Explication des résultats financiers de Mark's Work Wearhouse Deuxième trimestre Les produits bruts d'exploitation ont diminué de 9,2 pour cent au deuxième trimestre par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent. Cette diminution correspond au ralentissement susmentionné des ventes au détail. Le bénéfice avant impôts de Mark's Work Wearhouse a diminué au deuxième trimestre de 2009 principalement en raison de la baisse des produits bruts d'exploitation. La marge bénéficiaire brute sur les marchandises vendues a été très solide, en hausse de 470 points de base grâce à de meilleurs processus d'inventaire et de contrôle des stocks, ce qui a donné lieu à un retour de la réduction de valeur des stocks aux normes historiques. La marge bénéficiaire brute depuis le début de l'exercice a aussi subi l'incidence favorable du taux inférieur de réduction des prix grâce à la mise en place d'un nouveau système avancé de planification intégrée des activités de commercialisation. Les charges totales ont été bien gérées au deuxième trimestre de 2009. En effet, bien que le réseau ait compté 15 succursales de plus qu'au deuxième trimestre de 2008, elles n'ont augmenté que de 0,6 million de dollars, ou moins de un pour cent, grâce à une gestion rigoureuse des charges liées à la rémunération dans les magasins et à la diminution de la publicité. 3.3.2.4 Risques d'entreprise de Mark's Work Wearhouse Dans le cours normal de ses activités, Mark's Work Wearhouse est exposée à un certain nombre de risques pouvant éventuellement nuire à son rendement. Ces risques comprennent, sans s'y limiter, le risque lié à la saisonnalité et le risque lié à l'obsolescence du marché. Veuillez vous reporter à la section 5.3.2.5 de notre Rapport financier 2008 pour plus de détails sur les risques propres aux activités des unités commerciales. Veuillez également vous reporter à la section 11 du présent rapport de gestion, qui présente une analyse de la gestion des risques d'entreprise, et à la section 14 de notre Rapport financier 2008 pour une analyse d'autres risques à l'échelle de l'industrie et de la Société auxquels nous sommes exposés.3.3.3 Division pétrolière de Canadian Tire 3.3.3.1 Rendement à l'égard du plan stratégique pour le deuxième trimestre de 2009La Division pétrolière joue un rôle stratégique pour ce qui est de fidéliser davantage la clientèle et de stimuler l'achalandage et le nombre de transactions dans les magasins du Groupe détail et auprès des Services Financiers. La Division pétrolière renforce la proposition de valeur totale de Canadian Tire, car elle offre des primes de fidélisation au moyen de l'"argent" Canadian Tire lors des achats d'essence payés en espèces ou au moyen de la carte MasterCard Options de Canadian Tire. La Division pétrolière appuie également d'autres promotions et lancements de produits conjoints, tels que la carte MasterCard Avantage Essence de Canadian Tire, qui est devenue très populaire depuis son lancement en Ontario au milieu de 2006. Les clients qui possèdent une carte MasterCard de Canadian Tire et qui font le plein aux postes d'essence de la Division pétrolière sont les clients les plus fidèles et les plus rentables de Canadian Tire. La section suivante présente le rendement de la Division pétrolière au deuxième trimestre de 2009 dans le cadre du plan 2009-2013.------------------------------------------------------------------------- Initiatives de croissance de la Division pétrolière de Canadian Tire ------------------------------------------------------------------------- Renouvellement du réseau et mise en oeuvre de nouveaux concepts La Division pétrolière fait partie intégrante de l'organisation Canadian Tire puisque les clients qui fréquentent ses postes d'essence stimulent les ventes et favorisent l'achalandage dans les autres entreprises. Sur la durée du plan 2009-2013, la Division pétrolière continuera à élaborer son plan immobilier qui sera axé sur l'introduction de nouveaux concepts au sein du réseau existant, tout en poursuivant le renouvellement des postes actuels, afin d'améliorer l'expérience des clients. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- En 2009, la Division pétrolière Deuxième trimestre continuera de renforcer son réseau - ouverture d'un nouveau dépanneur; actuel en ouvrant de nouveaux - remplacement d'un poste d'essence; postes et en rénovant des postes - fermeture d'un poste d'essence, existants. d'un lave-auto et d'un dépanneur. A la fin du trimestre, la Division pétrolière comptait 273 postes d'essence, y compris 37 postes repositionnés. ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Initiatives de productivité de la Division pétrolière de Canadian Tire ------------------------------------------------------------------------- Accroître l'interdépendance Les activités de la Division pétrolière sont liées à celles du Groupe détail et des Services Financiers grâce à l'"argent" Canadian Tire et aux divers programmes de promotions conjointes visant à fidéliser la clientèle. La Division pétrolière est en train d'accroître la portée de sa stratégie d'interdépendance pour que l'ensemble de la Société profite de la vigueur des activités de marketing de la Division pétrolière. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- En 2009, la Division pétrolière Deuxième trimestre recherchera activement d'autres - lancement d'un concours de occasions de promotions conjointes promotion conjointe dans les de manière à tirer davantage profit postes d'essence à l'échelle de sa stratégie d'interdépendance nationale afin de stimuler et ainsi stimuler l'achalandage et l'achalandage dans les magasins le volume des transactions, Canadian Tire et Mark's Work fidéliser sa clientèle et accroître Wearhouse/L'Equipeur et le bénéfice à l'échelle de l'utilisation de la carte l'entreprise. MasterCard Options des Services Financiers; - émission de bons multiplicateurs qui augmentent les primes en "argent" Canadian Tire offertes lors des achats d'essence payés en espèces ou à l'aide de la carte MasterCard Options de Canadian Tire; - remise de bons de rabais sur la marchandise des magasins Canadian Tire lors d'achats d'essence. -------------------------------------------------------------------------3.3.3.2 Principaux indices de rendement Le volume des ventes d'essence, qui correspond au nombre de litres d'essence vendus, est un indice de rendement essentiel pour la Division pétrolière. Les fluctuations des prix de gros et de détail de l'essence pourraient donner lieu à des fluctuations de la marge bénéficiaire et de la rentabilité de la Division pétrolière.Volume des ventes d'essence Cumul Cumul T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- 2009 2008 tion de 2009 de 2008 tion ------------------------------------------------------------------------- Volume des ventes (en millions de litres) 435,1 429,6 1,3 % 843,9 843,4 0,1 % ------------------------------------------------------------------------- Au deuxième trimestre, le volume des ventes d'essence a augmenté de 1,3 pour cent. Il s'agit de la première augmentation en huit trimestres, les consommateurs ayant profité de la baisse des prix à la pompe et des nouveaux emplacements. Ventes dans les dépanneurs et ventes liées aux lave-autos de la Division pétrolière (variation en Cumul Cumul pourcentage sur T2 T2 annuel annuel 12 mois) 2009 2008 de 2009 de 2008 ------------------------------------------------------------------------- Total des ventes au détail Ventes dans les dépanneurs 19,1 % 5,0 % 18,0 % 8,0 % Ventes liées aux lave-autos 0,8 % (8,6)% 8,6 % (17,2)% ------------------------------------------------------------------------- Ventes dans les postes semblables Dépanneurs 15,6 % 3,5 % 14,9 % 6,4 % Lave-autos 1,0 % (8,5)% 8,6 % (17,4)%Les ventes dans les dépanneurs ont été très vigoureuses au deuxième trimestre de 2009, particulièrement dans les catégories des friandises, des produits du tabac et de la loterie, qui résistent mieux en périodes de ralentissement économique. Les ventes ont aussi profité de la disparition de concurrents dans certains marchés. Les résultats des lave-autos sont demeurés relativement stables par rapport à ceux du deuxième trimestre de 2008, ce qui constitue un bon résultat compte tenu de la conjoncture.3.3.3.3 Résultats financiers de la Division pétrolière Cumul Cumul (en millions T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- de dollars) 2009 2008 tion de 2009 de 2008 tion ------------------------------------------------------------------------- Ventes au détail 425,7 $ 541,9 $ (21,4)% 779,1 $ 990,9 $ (21,4)% Produits bruts d'exploita- tion 390,8 514,8 (24,1)% 712,7 937,6 (24,0)% BAIIA(1) 12,1 12,1 (0,1)% 22,5 21,1 6,4 % ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice avant impôts 7,8 8,0 (2,7)% 13,8 13,0 6,2 % Moins les ajustements au titre de l'élément suivant : Perte à la cession d'immobili- sations corporelles (0,3) - (0,3) (0,2) ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice ajusté avant impôts(1) 8,1 $ 8,0 $ 1,0 % 14,1 $ 13,2 $ 6,7 % ------------------------------------------------------------------------- (1) Veuillez vous reporter à la rubrique 15, "Mesures non définies par les PCGR".Explication des résultats financiers de la Division pétrolière Deuxième trimestre Les ventes au détail et les produits d'exploitation bruts ont diminué de plus de 20 pour cent au cours du deuxième trimestre de 2009 en raison d'une diminution de 25,5 pour cent des prix de détail de l'essence d'un exercice à l'autre. Malgré la diminution des prix à la pompe, le bénéfice avant impôts de la Division pétrolière n'a baissé que de 2,7 pour cent, grâce à de fortes ventes dans les dépanneurs, à la relative stabilité des marges sur l'essence et à une bonne gestion des charges d'exploitation, lesquelles sont demeurées stables malgré l'expansion du réseau de la Division pétrolière. 3.3.3.4 Risques d'entreprise de la Division pétrolière Dans le cours normal de ses activités, la Division pétrolière est exposée à un certain nombre de risques pouvant éventuellement nuire à son rendement. Ces risques comprennent, sans s'y limiter, le risque lié au prix des marchandises et le risque d'interruption, ainsi que le risque environnemental. Veuillez vous reporter à la section 5.3.3.5 de notre Rapport financier 2008 pour plus de détails sur les risques propres aux activités des unités commerciales. Veuillez également vous reporter à la section 11 du présent rapport de gestion, qui présente une analyse de la gestion des risques d'entreprise, et à la section 14 de notre Rapport financier 2008 pour une analyse d'autres risques à l'échelle de l'industrie et de la Société auxquels nous sommes exposés.3.3.4 Services Financiers Canadian Tire 3.3.4.1 Rendement à l'égard du plan stratégique pour le deuxième trimestre de 2009 La section suivante présente le rendement des Services Financiers pour le deuxième trimestre de 2009 à l'égard de notre plan 2009-2013. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives de croissance des Services Financiers Canadian Tire ------------------------------------------------------------------------- Total du portefeuille géré des créances sur prêts (créances sur cartes de crédit, prêts personnels, prêts hypothécaires et prêts au titre de marges de crédit). Les Services Financiers prévoient accroître leur portefeuille par la hausse du solde moyen des comptes, l'acquisition de nouveaux comptes et le lancement de nouvelles cartes de crédit. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- En 2009, les Services Financiers Deuxième trimestre ciblent l'accroissement des créances moyennes brutes sur Les créances sur prêts moyennes cartes de crédit, principalement brutes ont atteint 4,0 milliards grâce à la hausse du solde moyen de dollars au deuxième trimestre. des comptes. Cette hausse reflète une augmentation de 8,9 pour cent du solde moyen des comptes, contrebalancée en partie par une diminution du nombre de comptes ayant un solde non réglé comparativement au trimestre correspondant de l'exercice précédent. ------------------------------------------------------------------------- Services bancaires de détail En octobre 2006, les Services Financiers ont commencé à offrir, dans deux marchés pilotes, leurs produits de services bancaires de détail, qui comprennent des comptes d'épargne à taux d'intérêt élevé, des CPG et des prêts hypothécaires résidentiels. En 2007, le projet pilote a été étendu à un troisième marché en Ontario en même temps que le compte tout-en-un de Canadian Tire a été introduit. Les activités des services bancaires de détail misent sur la confiance et la crédibilité que les Services Financiers Canadian Tire ont acquises au cours des 40 dernières années dans la prestation de services financiers à des millions de clients. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- Pour ce qui est des services Deuxième trimestre bancaires de détail, les Services Financiers visent à accroître le A la fin du deuxième trimestre de solde de clôture du portefeuille 2009, les Services Financiers de prêts hypothécaires et à avaient accumulé des dépôts de augmenter le solde de clôture détail de plus de 541 millions de des dépôts de détail. dollars et des prêts hypothécaires d'une valeur de plus En 2009, les Services Financiers de 167 millions. engageront des dépenses nettes d'environ 17 millions de dollars Au deuxième trimestre de 2009, relativement aux activités de les Services Financiers ont marketing et d'exploitation des engagé des dépenses nettes de services bancaires de détail. 3,9 millions de dollars relativement à l'exploitation et à la commercialisation de l'initiative des services bancaires de détail. ------------------------------------------------------------------------- Produits d'assurance et services connexes Les Services Financiers prévoient enrichir la gamme de produits d'assurance et de garantie offerts aux titulaires de cartes de crédit. Les produits d'exploitation tirés des produits d'assurance et de garantie ont augmenté considérablement au cours des cinq dernières années, grâce au marketing direct s'adressant à la clientèle croissante de Canadian Tire. ------------------------------------------------------------------------- Initiatives clés pour 2009 Rendement pour 2009 ------------------------------------------------------------------------- En 2009, les Services Financiers Deuxième trimestre prévoient accroître les produits d'exploitation tirés des produits Les produits d'exploitation tirés d'assurance et de garantie. des produits d'assurance et de garantie ont augmenté de 6,2 pour cent au deuxième trimestre par rapport au trimestre correspondant de l'exercice précédent. ------------------------------------------------------------------------- 3.3.4.2 Principaux indices de rendement Les principaux indices de rendement des Services Financiers sont les suivants : - la valeur du total du portefeuille géré; - le rendement du portefeuille; - la qualité du portefeuille. Total du portefeuille géré des créances sur prêts des Services Financiers (en millions de dollars, sauf Cumul Cumul indication T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- contraire) 2009 2008 tion de 2009 de 2008 tion ------------------------------------------------------------------------- Nombre moyen de comptes ayant un solde non réglé (en milliers) 1 799 1 861 (3,4)% 1 801 1 855 (2,9)% Soldes moyens des comptes (en dollars) 2 250 $ 2 066 $ 8,9 % 2 236 $ 2 069 $ 8,1 % Créances moyennes brutes 4 047,9 3 844,9 5,3 % 4 028,5 3 838,3 5,0 % Total du portefeuille géré, à la fin 4 109,9 3 926,7 4,7 % Portefeuille net géré, à la fin 3 996,6 3 830,2 4,3 % -------------------------------------------------------------------------La direction estime qu'il faut évaluer le rendement des portefeuilles de créances sur prêts aussi bien titrisées que non titrisées pour obtenir un portrait complet des tendances qui caractérisent les activités des Services Financiers. Par conséquent, toutes les créances sur prêts titrisées ont été reflétées. Les Services Financiers présentent l'information concernant les créances sur prêts sur la base du montant géré afin d'évaluer le rendement des créances et le rendement financier général des prêts sous-jacents. Les créances moyennes brutes des Services Financiers ont augmenté de 5,3 pour cent au deuxième trimestre, en raison surtout de la hausse des soldes moyens des comptes de cartes de crédit et de l'augmentation du volume des prêts hypothécaires. Le succès continu de la carte MasterCard Avantage Essence et l'augmentation des transferts de soldes ont aussi contribué à la croissance totale du portefeuille, qui a été neutralisée en partie par le recul des prêts personnels et des soldes des comptes de prêts personnels. La croissance future des Services Financiers sera stimulée par la hausse des soldes moyens des comptes, les augmentations modérées du nombre de nouveaux comptes et le lancement de nouvelles cartes de crédit et de nouveaux produits d'assurance. La direction considère que les produits de services bancaires de détail constituent, à long terme, un autre vecteur de croissance possible.Portefeuille des créances sur cartes de crédit des Services Financiers (en millions de dollars, sauf Cumul Cumul indication T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- contraire) 2009 2008 tion de 2009 de 2008 tion ------------------------------------------------------------------------- Nombre moyen de comptes ayant un solde non réglé (en milliers) 1 772 1 823 (2,8)% 1 773 1 816 (2,4)% Soldes moyens des comptes (en dollars) 2 144 $ 1 994 $ 7,5 % 2 132 $ 1 999 $ 6,6 % Créances moyennes brutes 3 799,5 3 636,0 4,5 % 3 779,2 3 630,7 4,1 % Total du portefeuille géré, à la fin 3 866,6 3 710,7 4,2 % -------------------------------------------------------------------------Les créances moyennes brutes sur cartes de crédit ont augmenté de 4,5 pour cent pour s'établir à 3,8 milliards de dollars à la fin du trimestre, en raison surtout de l'augmentation de 7,5 pour cent des soldes moyens des comptes au cours du trimestre comparativement au trimestre correspondant de l'exercice précédent. La hausse des soldes moyens des comptes est surtout attribuable aux programmes de commercialisation conçus à cette fin. Rentabilité des Services Financiers La rentabilité des Services Financiers s'exprime en pourcentage des créances moyennes brutes, comme le démontre le tableau suivant.Rendement du total du portefeuille géré(1) T2 2009 T2 2008 T2 2007 T2 2006 T2 2005 ------------------------------------------------------------------------- Total des produits d'exploitation en pourcentage des créances moyennes brutes(2) 24,93 % 24,42 % 24,88 % 25,10 % 26,13 % Marge bénéficiaire brute en pourcentage des créances moyennes brutes(2) 11,65 % 12,47 % 13,13 % 13,17 % 13,57% Charges d'exploitation en pourcentage des créances moyennes brutes(3) 7,02 % 7,83 % 7,82 % 8,21 % 8,91 % Rendement du total du portefeuille géré moyen(2),(3),(4) 4,65 % 4,65 % 5,32 % 4,97 % 4,66 % ------------------------------------------------------------------------- (1) Les données sont calculées sur 12 mois et comprennent le total du portefeuille géré de créances sur prêts. (2) Ne comprend pas l'incidence nette des activités de titrisation, ni le gain à la cession/au rachat de placements. (3) Les données ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter aux sections 14.1 et 14.2 pour obtenir de plus amples renseignements. (4) Le rendement est calculé à titre de bénéfice ajusté avant impôts, en pourcentage des créances moyennes brutes.Le rendement du total du portefeuille géré est demeuré inchangé par rapport à celui du deuxième trimestre de 2008, puisque la hausse des produits et l'efficacité opérationnelle accrue ont été contrebalancées par l'augmentation des radiations. Les comptes MasterCard des Services Financiers offrent des possibilités accrues de dégager des produits d'exploitation grâce à la vente croisée de produits d'assurance dont la prime est fonction du solde et d'autres produits financiers offerts par les Services Financiers. A mesure que les Services Financiers lanceront des cartes de crédit et des prêts à taux d'intérêt réduit, la diminution des produits d'exploitation et de la marge brute, en pourcentage des produits bruts d'exploitation, sera neutralisée par la croissance soutenue des créances sur prêts, les ventes accrues de produits d'assurance et de garantie et les améliorations continues au chapitre du ratio des charges d'exploitation. Dans le cadre du processus de planification stratégique, la direction s'est fixé un objectif à long terme relatif au rendement avant impôts du total moyen du portefeuille géré des Services Financiers dans la fourchette cible de 4,5 à 5,0 pour cent. Comme l'indique le tableau précédent, les Services Financiers ont atteint ou dépassé cet objectif aux deuxièmes trimestres des cinq derniers exercices.Qualité du portefeuille T2 2009 T2 2008 T2 2007 T2 2006 T2 2005 ------------------------------------------------------------------------- Taux de radiation nette (sur 12 mois) 6,82 % 5,98 % 5,89 % 5,95 % 5,96 % Soldes de comptes en souffrance depuis moins de 30 jours, à la fin 95,97 % 96,43 % 96,57 % 96,39 % 96,63 % Taux de provision 2,76 % 2,46 % 2,32 % 2,47 % 2,40 % -------------------------------------------------------------------------Le taux de radiation nette devrait se situer dans une fourchette de 5,0 à 6,0 pour cent. Exception faite de 2009, la tendance historique sur cinq ans témoigne de notre capacité à gérer le taux de radiation grâce à des initiatives telles que l'amélioration des recouvrements et la recherche de clients ayant des cotes de solvabilité élevées. En 2009, le taux de radiation nette sur 12 mois sur le total du portefeuille de prêts a subi l'incidence de l'augmentation des radiations et des faillites personnelles attribuable à une conjoncture plus difficile. Bien que les coûts liés aux faillites aient augmenté, une analyse du rendement de ce secteur d'activité en regard des statistiques nationales indique que les coûts des Services Financiers ont été plus bas que ce qu'on aurait pu prévoir, grâce à leurs stratégies efficaces en matière de gestion des risques de crédit qui ont permis d'améliorer la qualité du portefeuille de prêts. Il est possible que les radiations, la durée de recouvrement et les provisions fluctuent en raison de divers facteurs économiques dont la croissance ou le recul de l'emploi, le niveau d'endettement des particuliers, le nombre de faillites personnelles et des changements découlant d'ajustements des stratégies de recouvrement. L'augmentation du taux de la provision pour pertes sur créances par rapport au deuxième trimestre de 2008 est imputable à une augmentation de la durée de recouvrement du portefeuille de cartes de crédit découlant d'une conjoncture économique difficile et de l'incidence des changements apportés aux pratiques de recouvrement en 2008. Un certain nombre de mesures ont toutefois déjà été mises en place afin de gérer la qualité du portefeuille et les taux de radiation devraient, à long terme, retrouver des niveaux acceptables.3.3.4.3 Résultats financiers des Services Financiers Cumul Cumul (en millions T2 T2 Varia- annuel annuel Varia- de dollars) 2009 2008(1) tion de 2009 de 2008(1) tion ------------------------------------------------------------------------- Produits bruts d'exploit- ation 232,9 $ 201,5 $ 15,6 % 450,2 $ 410,2 $ 9,8 % BAIIA(2) 60,9 47,1 29,2 % 107,6 107,5 0,1 % ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice avant impôts 42,3 44,4 (4,7)% 74,8 98,6 (24,2)% Moins les ajustements au titre des éléments suivants : Perte à la cession d'immobili- sations corporelles (0,1) - (0,2) - Incidence nette des activités de titri- sation(3) 1,7 3,9 2,2 16,8 ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice ajusté avant impôts(2) 40,7 $ 40,5 $ 0,5 % 72,8 $ 81,8 $ (11,0)% ------------------------------------------------------------------------- (1) Les données de 2008 ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter aux sections 14.1 et 14.2 pour obtenir de plus amples renseignements. (2) Veuillez vous reporter à la rubrique 15, "Mesures non définies par les PCGR". (3) Comprend le gain (la perte) initial(e) à la vente de créances sur prêts, l'amortissement du passif de gestion, la réserve au titre de la titrisation et le gain (la perte) au titre des réinvestissements.Explication des résultats financiers des Services Financiers Deuxième trimestre Les produits bruts d'exploitation des Services Financiers ont affiché une hausse de 15,6 pour cent par rapport au deuxième trimestre de 2008, en grande partie en raison de l'accroissement des revenus d'intérêts découlant de la hausse du rendement. Les produits tirés de l'assurance et des services connexes ont également connu une croissance considérable. Le bénéfice avant impôts du deuxième trimestre a subi une incidence nette moins élevée découlant des activités de titrisation. Après un ajustement au titre de cette diminution et compte tenu de l'incidence du placement de 9,7 millions de dollars lié au relancement de la carte MasterCard Options au deuxième trimestre de 2008, le bénéfice des Services Financiers a diminué de 19 pour cent comparativement à l'exercice précédent. La diminution de la croissance du bénéfice pour le trimestre résulte principalement de l'augmentation de la provision pour prêts douteux découlant du ralentissement économique et des conditions du marché du crédit ainsi que de leur incidence sur le nombre de faillites personnelles et sur les taux de radiation, dont il a déjà été question. Elle est également imputable à une augmentation considérable des intérêts débiteurs découlant de la croissance rapide des dépôts auprès de courtiers des Services Financiers, qui servent à préfinancer les billets de GCCT et les CPG venant à échéance à la fin de 2009. Le coût de cette démarche prudente s'élève à environ 4,2 millions de dollars pour le trimestre. Ces hausses de coûts ont été compensées en partie par l'effort soutenu consacré à la réduction des charges d'exploitation. 3.3.4.4 Risques d'entreprise des Services Financiers Dans le cours normal de leurs activités, les Services Financiers sont exposés à un certain nombre de risques pouvant éventuellement nuire à leur rendement. Ces risques comprennent, sans s'y limiter, le risque de crédit lié à la consommation, le risque de financement lié à la titrisation, le risque de taux d'intérêt et le risque lié à la réglementation. Veuillez vous reporter à la section 5.3.4.8 de notre Rapport financier 2008 pour plus de détails sur les risques propres aux activités des unités commerciales, ainsi qu'à la section 5.1.4 du présent rapport de gestion pour obtenir une description du programme de titrisation et des renseignements sur les liquidités de Canadian Tire et ses activités sur les marchés financiers. Veuillez également vous reporter à la section 11 du présent rapport de gestion, qui présente une analyse de la gestion des risques d'entreprise, et à la section 14 de notre Rapport financier 2008 pour une analyse d'autres risques à l'échelle de l'industrie et de la Société auxquels nous sommes exposés. 4. Gestion du capital Afin de soutenir son plan de croissance et de respecter les objectifs de son plan 2009-2013, la Société gère son capital de façon active. Les objectifs de la Société sont les suivants :- réduction du coût du capital après impôts; - maintien de réserves de liquidités saines et d'un bon accès au capital; - maintien de la flexibilité de la structure du capital pour assurer la mise en oeuvre continue de notre plan stratégique.La conjoncture économique actuelle n'a pas eu d'incidence sur les objectifs de la Société en matière de gestion du capital. Le capital peut être défini de différentes façons selon l'entité et le secteur d'activité. En ce qui nous concerne, le capital comprend la tranche à court terme de la dette à long terme, la dette à long terme, les dépôts à long terme, le passif à long terme qui correspond à des instruments dérivés ou à des instruments de couverture liés aux éléments du capital seulement, le capital-actions, le surplus d'apport, les composantes du cumul des autres éléments du résultat étendu liées aux éléments du capital seulement, ainsi que les bénéfices non répartis. Pour une liste complète de ces montants et pour plus d'information, veuillez vous reporter à la note 11 des états financiers consolidés. En vertu des ententes d'emprunt existantes, des clauses restrictives financières clés font l'objet d'une surveillance continue de la part de la direction afin d'assurer la conformité à ces ententes. Au deuxième trimestre de 2009, la Société se conformait à ces clauses restrictives. La filiale en propriété exclusive de la Société, la Banque Canadian Tire, gère son capital conformément aux lignes directrices établies par le Bureau du surintendant des institutions financières Canada (le "BSIF"). Les lignes directrices concernant le capital réglementaire mesurent le capital par rapport aux risques de crédit, aux risques de marché et aux risques opérationnels. La Banque a mis en oeuvre une politique de gestion du capital, un programme de dépenses en immobilisations et des procédures et des contrôles concernant le capital pour atteindre ses objectifs. Les objectifs de la Banque sont les suivants :- disposer d'un capital suffisant pour garder la confiance des déposants; - posséder une structure du capital appropriée, selon les évaluations effectuées à l'interne, selon les définitions des organismes de réglementation et par rapport aux autres institutions financières; - obtenir le coût global le plus bas pour le capital tout en préservant une composition appropriée d'éléments de capital pour atteindre les niveaux de capitalisation cibles.Au cours du deuxième trimestre de 2009 et de la période correspondante, la Banque s'est conformée aux lignes directrices concernant le capital du BSIF en vertu des normes Bâle II énoncées dans le document intitulé "Convergence internationale de la mesure des normes de fonds propres : dispositif révisé". Pour plus d'information sur la gestion du capital, veuillez vous reporter à la note 11 des états financiers consolidés et à la rubrique 7, intitulée "Gestion du capital", de notre Rapport financier 2008. 5. Financement Bien que les opérations de prêts demeurent difficiles sur les marchés du crédit, les capacités de Canadian Tire en matière de financement sont solides et se sont améliorées depuis le quatrième trimestre de 2008, comme le démontre l'émission de billets à moyen terme d'un montant de 200 millions de dollars d'une durée de sept ans, effectuée en mai 2009, et l'obtention d'une facilité de crédit consentie d'une durée de deux ans en juin 2009. Nous disposons de diverses sources de financement de rechange afin de nous assurer que nous avons accès au niveau de liquidité nécessaire pour atteindre nos objectifs stratégiques. Le tableau suivant décrit sommairement ces sources de financement.Sommaire des sources de financement de Canadian Tire ------------------------------------------------------------------------- Montant Source de financement disponible Détails ------------------------------------------------------------------------- Marges de crédit bancaire 1,22 milliard Consenties par 11 consenties de dollars institutions financières nationales et internationales et assurant notamment le soutien du programme de papier commercial de 800 millions de dollars décrit plus loin, couvert intégralement par les marges de crédit bancaire. Au 4 juillet 2009, aucun montant n'avait été tiré des marges de crédit bancaire et le montant total était disponible. Programme de papier 800 millions Canadian Tire n'avait commercial de dollars aucun papier commercial en circulation au 4 juillet 2009. Programme de billets à 750 millions Un nouveau prospectus moyen terme de dollars préalable de base a été déposé le 8 avril 2009, permettant à la Société d'accéder à des billets totalisant 750 millions de dollars au cours des 25 prochains mois. Une tranche de 200 millions de dollars a été tirée en juin afin de procéder à l'émission de billets à moyen terme. Titrisation de créances Selon l'opération Par le passé, les opérations de titrisation effectuées par l'intermédiaire de Glacier Credit Cart Trust (GCCT) ont fait leurs preuves en tant que source de financement relativement rentable. A ce jour, les Services Financiers n'ont pas titrisé de créances sur cartes de crédit en 2009. Dépôts de CPG auprès Sans limite Le recours à cette de courtiers définie source de financement s'est accru au second semestre de 2008, et les fonds continuent d'être accessibles immédiatement grâce aux réseaux de courtiers. A la fin du deuxième trimestre de 2009, les dépôts de CPG auprès de courtiers des Services Financiers s'élevaient à 1,6 milliard de dollars. Comptes d'épargne à taux Sans limite Le recours à cette source d'intérêt élevé définie de financement s'est accru au deuxième trimestre de 2009. A la fin du deuxième trimestre de 2009, les dépôts dans des comptes d'épargne à taux d'intérêt élevé des Services Financiers totalisaient 490 millions de dollars. Opérations de cession-bail Selon l'opération Des sources de financement supplémentaires sont disponibles pour certaines opérations stratégiques touchant des propriétés appartenant à la Société, au besoin.Les dépôts de CPG auprès de courtiers et les comptes d'épargne à taux d'intérêt élevé visent à fournir des liquidités à la Banque. Comme l'indique le tableau précédent, au 4 juillet 2009, la Société disposait de marges de crédit bancaire consenties de 1,22 milliard de dollars. Ces marges comprennent une tranche de 800 millions de dollars en vertu d'une facilité de crédit syndiqué obtenue le 9 juin 2009. La durée initiale de cette facilité est de deux ans, mais elle peut être prolongée de un an à chaque date anniversaire. Le 29 juin 2009, la Société a obtenu de nouvelles facilités de crédit bilatérales qui remplacent certaines de ses conventions de crédit bilatérales antérieures. La durée initiale de ces nouvelles conventions de crédit bilatérales est de un an, mais elles peuvent être prolongées de un trimestre à chaque trimestre. Les marges de crédit bancaire bilatérales restantes sont consenties au moins jusqu'à la fin de 2009. Au 4 juillet 2009, le programme de papier commercial de GCCT donnait accès à une tranche allant jusqu'à 800 millions de dollars du total des marges de crédit consenties de Canadian Tire. GCCT se conformait aux normes de DBRS(MD) en matière de liquidités. Conditions du marché des titres de créance Les marchés du crédit ont montré des signes d'amélioration constants depuis le début de 2009; toutefois, le marché public des titres adossés à des créances demeure relativement non liquide, une seule opération ayant été réalisée au Canada jusqu'à présent en 2009. Canadian Tire est active sur les marchés des titres adossés à des créances du fait qu'elle utilise du papier commercial et qu'elle émet des billets à moyen terme. En 2008 et depuis le début de 2009, GCCT a continué de refinancer une partie de son papier commercial arrivant à échéance et avait 63 millions de dollars de papier commercial en circulation au 4 juillet 2009, entièrement garanti par les marges de crédit bancaire. Le calendrier ne prévoit l'arrivée à échéance d'aucun titre de créance de la Société en 2009, mais des billets à terme de GCCT totalisant 625 millions de dollars viendront à échéance vers la fin de l'exercice, ce qui entraînera une hausse correspondante des créances des Services Financiers, à moins que ces billets ne soient refinancés. Advenant que la Société ne mène pas à bien une opération de titrisation de carte de crédit à court ou à moyen terme en raison de l'instabilité des marchés des capitaux, elle a accès à d'autres sources de financement suffisantes, comme l'illustre le tableau précédent. En décembre 2008, Canadian Tire a obtenu confirmation de ses deux agences de notation relativement à ses divers programmes de financement, qui avaient tous une perspective stable. Au 4 juillet 2009, il n'y avait eu aucun changement dans les cotes.Sommaire des cotes de crédit DBRS S&P ------------------------------------------------------------------------- Canadian Tire Papier commercial R-1 (faible) A-1 (faible)(CA) Débentures A (faible) BBB+ Billets à moyen terme A (faible) BBB+ Glacier Credit Card Trust(1) Papier commercial adossé à des créances R-1 (élevée) ---- Billets de premier rang adossés à des créances AAA AAA Billets subordonnés adossés à des créances A A Tendance ou perspective Stable Stable ------------------------------------------------------------------------- (1) Les billets subordonnés et les billets de premier rang de série 2002 adossés à des créances ont été annulés le 2 janvier 2008.Dette à long terme Le 1er juin 2009, la Société a émis des billets à moyen terme d'un montant de 200 millions de dollars, d'une durée de sept ans, qui viennent à échéance et sont remboursables le 1er juin 2016. Ces billets portent intérêt au taux de 5,65 pour cent, payable chaque semestre. Dépôts auprès de courtiers L'initiative d'émission de CPG auprès de courtiers par la Banque a été très fructueuse depuis le quatrième trimestre de 2007. Les dépôts de la Banque auprès de courtiers permettent de générer des flux de trésorerie grâce à la vente de CPG par l'entremise de courtiers plutôt que directement aux clients des services bancaires de détail et sont généralement assortis d'un taux d'intérêt plus élevé que celui des CPG offerts à ces derniers. Les soldes individuels allant jusqu'à 100 000 $ sont assurés par la Société d'assurance- dépôts du Canada (la "SADC"). Les CPG de la Banque offerts par les courtiers sont d'une durée allant de 30 jours à cinq ans et ne prévoient aucune disposition de remboursement par anticipation, sauf en de rares circonstances. Compte tenu du fait que l'ensemble du marché canadien des CPG de courtiers s'élève à environ 66 milliards de dollars, la Banque est d'avis que ce marché est assez vaste pour qu'elle puisse recourir aux dépôts de CPG de la Banque auprès de courtiers à titre de solution de rechange économique à la titrisation des créances sur cartes de crédit comme source de financement. A la fin du deuxième trimestre de 2009, la Banque comptait des dépôts de CPG à court et à long terme non encaissés auprès de courtiers totalisant environ 1,6 milliard de dollars. La Banque est d'avis que cette source de financement pourrait générer des augmentations supplémentaires dans l'avenir, selon le moment de l'année et les conditions du marché. Dépôts dans des comptes d'épargne à taux d'intérêt élevé Plus récemment, la Banque est parvenue à augmenter le solde des dépôts dans des comptes d'épargne à taux d'intérêt élevé qui, à la fin du deuxième trimestre, se chiffrait à 490 millions de dollars. Les comptes d'épargne à taux d'intérêt élevé constituent une autre solution de rechange économique à la titrisation des créances sur cartes de crédit et aux dépôts auprès de courtiers. 5.1 Programme de financement 5.1.1 Exigences en matière de financement Nous faisons appel à diverses sources afin d'assurer le financement des dépenses en immobilisations, des besoins en fonds de roulement, du versement de dividendes et d'autres besoins financiers, comme les remboursements sur la dette et les rachats d'actions de catégorie A sans droit de vote en vertu de l'offre publique de rachat dans le cours normal des activités (décrite plus loin, à la section 6). Au cours du deuxième trimestre de 2009, le financement provenait principalement des sources suivantes :- trésorerie de 628 millions de dollars provenant de l'augmentation des dépôts nets; - trésorerie de 200 millions de dollars liée à l'émission de billets à moyen terme.5.1.2 Trésorerie et équivalents de trésorerie Au 4 juillet 2009, le montant de la trésorerie et des équivalents de trésorerie de la Société s'établissait à 1 346,0 millions de dollars, comparativement à 28,5 millions au 28 juin 2008. Cette variation du solde de la trésorerie a subi l'incidence positive de l'augmentation des dépôts nets. Le solde de la trésorerie servira en partie à financer le rachat des créances en cours de GCCT au quatrième trimestre de 2009. A la fin des deuxièmes trimestres de 2009 et de 2008, il n'y avait pas de papier commercial en circulation. Au cours du deuxième trimestre de 2009, nous avons utilisé la trésorerie principalement aux fins suivantes :- 172 millions de dollars pour l'investissement dans des placements à court terme; - 146 millions de dollars pour l'investissement dans des créances sur prêts; - 82 millions de dollars pour le remboursement du papier commercial; - 43 millions de dollars pour les ajouts aux immobilisations corporelles; - 18 millions de dollars pour les ajouts aux actifs incorporels, principalement les logiciels informatiques.5.1.3 Fonds de roulement L'optimisation de notre fonds de roulement continue d'être une priorité à long terme afin de maximiser les flux de trésorerie servant à l'exploitation de la Société. Le tableau suivant présente la variation de la valeur des composantes de notre fonds de roulement à la fin du deuxième trimestre de 2009, comparativement au deuxième trimestre de 2008.Composantes comparables du fonds de roulement Augmentation (diminution) Au 4 juillet Au 28 juin du fonds de (en millions de dollars) 2009 2008(1) roulement ------------------------------------------------------------------------- Placements à court terme 171,6 $ - $ 171,6 $ Débiteurs 478,7 362,5 116,2 Stocks de marchandises 991,2 996,6 (5,4) Impôts à recouvrer 111,5 86,7 24,8 Charges payées d'avance et dépôts 72,8 62,4 10,4 Créditeurs et autres (1 160,0) (1 200,2) 40,2 ------------------------------------------------------------------------- 357,8 $ ------------------------------------------------------------------------- (1) Les données de 2008 ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter aux sections 14.1 et 14.2 pour obtenir de plus amples renseignements.L'augmentation des placements à court terme est attribuable aux fonds provenant de l'augmentation des dépôts de la Banque qui serviront ultérieurement à financer l'augmentation des créances sur cartes de crédit à l'échéance des billets adossés à des créances de GCCT en novembre 2009 (voir plus loin). Le coût de cette démarche prudente s'élève à environ 4,2 millions de dollars pour le trimestre. L'augmentation des débiteurs résulte du prolongement temporaire de la durée de paiement accordé à nos marchands dans le cadre d'un programme visant à ramener les stocks des marchands à des niveaux optimaux. 5.1.4 Créances sur prêts Notre programme de titrisation des créances sur prêts vise à procurer aux Services Financiers une source de financement à peu de frais. Les créances sur prêts étaient les suivantes aux dates indiquées :Au 4 juillet Au 28 juin (en millions de dollars) 2009 2008 ------------------------------------------------------------------------- Créances sur prêts titrisées 2 208,1 $ 2 848,8 $ Créances sur prêts non titrisées 1 788,5 981,4 ------------------------------------------------------------------------- Portefeuille géré des créances sur prêts, montant net 3 996,6 $ 3 830,2 $ -------------------------------------------------------------------------La progression de nos créances nettes sur prêts gérées s'est poursuivie au cours des 12 derniers mois, car les clients ont eu de plus en plus recours aux cartes MasterCard Options et MasterCard Avantage Essence de Canadian Tire et le volume des prêts hypothécaires a augmenté. Ainsi, à la fin du deuxième trimestre de 2009, les créances nettes sur prêts gérées étaient plus élevées de 4,3 pour cent que celles à la fin du trimestre correspondant de 2008. La Banque vend des participations en copropriété dans des créances sur cartes de crédit à GCCT. Comme nous ne détenons pas une participation conférant le contrôle dans GCCT, nous n'incluons pas ses résultats financiers dans nos états financiers consolidés. Nous constatons la vente des créances sur prêts selon les dispositions de la note d'orientation concernant la comptabilité no 12 intitulée "Cessions de créances" de l'ICCA. Veuillez vous reporter à la note 1 des états financiers consolidés de 2008. Nous prévoyons que la croissance continue du solde moyen des comptes de cartes de crédit MasterCard de Canadian Tire mènera à une hausse du total des créances sur prêts en 2009. Les Services Financiers prévoient continuer de financer cette hausse en cédant des participations en copropriété dans des créances sur cartes de crédit à GCCT et en augmentant les dépôts de la Banque. GCCT est une fiducie indépendante qui a été constituée dans le but d'acheter nos créances sur cartes de crédit et elle émet aussi des titres de créance au profit d'investisseurs indépendants pour financer ses acquisitions de créances sur cartes de crédit. Le succès du programme de titrisation dépend de la capacité de GCCT d'obtenir des fonds auprès de tierces parties en émettant des titres de créance ayant des cotes de crédit élevées. Veuillez vous reporter au tableau des cotes de crédit de la présente section pour consulter une liste des cotes attribuées à GCCT ainsi qu'un aperçu des conditions actuelles du marché. La Société de fiducie Computershare du Canada, fiduciaire et dépositaire pour GCCT, gère les participations en copropriété et agit à titre d'agent pour, et au nom de, la Banque et GCCT, qui sont les propriétaires des participations en copropriété. La Compagnie Trust BNY Canada, à titre de fiduciaire désigné par l'acte de fiducie à l'égard de GCCT, gère les sûretés des détenteurs des billets de premier rang et subordonnés émis par GCCT. A l'heure actuelle, nous ne sommes au fait d'aucun événement ni engagement, d'aucune tendance ni incertitude qui pourraient avoir des conséquences défavorables sur notre entente avec GCCT. 6. Capitaux propres La valeur comptable des actions ordinaires et des actions de catégorie A sans droit de vote, à la fin du deuxième trimestre de 2009, s'élevait à 43,92 $ l'action, comparativement à 40,17 $ l'action à la fin du deuxième trimestre de 2008. Nous avons comme politique de racheter des actions de catégorie A sans droit de vote pour compenser l'effet de dilution qu'ont les actions que nous émettons en vue de nous acquitter de nos obligations en vertu des divers régimes de participation aux bénéfices des employés et des régimes d'options sur actions, d'achat d'actions et de réinvestissement des dividendes. A longue échéance, ces rachats devraient neutraliser les nouvelles émissions d'actions de catégorie A sans droit de vote. De plus, la Société peut racheter des actions de catégorie A sans droit de vote additionnelles si le conseil d'administration établit, après avoir pris en considération la conjoncture du marché ainsi que la souplesse financière et les occasions d'investissement de la Société, qu'un tel rachat constitue un moyen approprié d'accroître la valeur des actions de catégorie A sans droit de vote résiduelles. Le 12 février 2009, nous avons annoncé notre intention de racheter jusqu'à 3,4 millions d'actions de catégorie A sans droit de vote émises et en circulation au cours de la période de 12 mois qui se terminera le 18 février 2010, au moyen d'une offre publique de rachat dans le cours normal des activités. Au cours de l'exercice précédent, environ 0,5 million d'actions de catégorie A sans droit de vote ont été rachetées dans le cadre de la précédente offre publique de rachat dans le cours normal des activités. Une offre publique de rachat dans le cours normal des activités est une offre faite par une société cotée visant à racheter ses actions sur le marché boursier, sous réserve d'un nombre maximal prescrit et de certaines règles protégeant les investisseurs.Actions en circulation Au 4 juillet Au 28 juin 2009 2008 ------------------------------------------------------------------------- Actions de catégorie A sans droit de vote (CTC.A) Actions en circulation au début 78 178 066 78 048 062 Actions émises en vertu des régimes(1) 500 482 359 610 Actions rachetées dans le cadre d'une offre publique de rachat (440 200) (350 800) ------------------------------------------------------------------------- Actions en circulation à la fin 78 238 348 78 056 872 Actions ordinaires (CTC) Actions en circulation au début et à la fin 3 423 366 3 423 366 ------------------------------------------------------------------------- (1) Nous émettons des actions en vertu de divers régimes de participation aux bénéfices des employés et d'achat d'actions et du régime de réinvestissement des dividendes.Dividendes Nous avons déclaré des dividendes d'environ 17,1 millions de dollars sur nos actions ordinaires et sur nos actions de catégorie A sans droit de vote au deuxième trimestre de 2009, comparativement à des dividendes de 17,1 millions au deuxième trimestre de 2008, ce qui reflète la décision du conseil d'administration, en février 2009, de maintenir le dividende annualisé à 0,84 $ l'action. Le premier dividende trimestriel au taux de 2009 a été déclaré le 12 février 2009 au montant de 0,21 $ l'action, payable le 1er juin 2009 aux actionnaires inscrits en date du 30 avril 2009. Le deuxième dividende trimestriel a été déclaré le 14 mai 2009 au montant de 0,21 $ l'action, payable le 1er septembre 2009 aux actionnaires inscrits en date du 31 juillet 2009. Le troisième dividende trimestriel a été déclaré le 13 août 2009 au montant de 0,21 $ l'action, payable le 1er décembre 2009 aux actionnaires inscrits en date du 30 octobre 2009. Politique de dividendes La politique de dividendes de Canadian Tire vise à établir les paiements de dividendes entre 15 et 20 pour cent environ du bénéfice net de base par action normalisé de l'exercice précédent, compte tenu de la situation de trésorerie à la fin du trimestre, de même que des exigences liées aux flux de trésorerie futurs, des conditions du marché financier et des occasions d'investissement qui se présenteront. Le bénéfice par action normalisé exclut les gains et les pertes à la vente de créances sur cartes de crédit et de créances sur prêts ainsi que les éléments non récurrents, mais il comprend les gains et les pertes résultant de toute cession d'immobilisations corporelles dans le cours normal des activités. 7. Activités d'investissement7.1 Programme de dépenses en immobilisations pour le deuxième trimestre de 2009Au deuxième trimestre de 2009, les dépenses en immobilisations de Canadian Tire, selon la méthode de la comptabilité d'exercice, ont totalisé 48 millions de dollars (y compris les actifs incorporels tels que les acquisitions de logiciels), soit environ 48 pour cent de moins que les 93 millions engagés au deuxième trimestre de 2008. Les dépenses en immobilisations comprennent ce qui suit :- 21 millions de dollars affectés aux projets immobiliers, notamment des projets liés au déploiement de nouveaux concepts de magasin du Groupe détail; - 13 millions de dollars destinés aux technologies de l'information; - 3 millions de dollars destinés aux centres de distribution du Groupe détail; - 3 millions de dollars destinés à l'infrastructure de la Division automobile; - 8 millions de dollars affectés à d'autres fins.Dans l'ensemble, les dépenses en immobilisations ont diminué depuis le deuxième trimestre de 2008, puisque la construction du centre de distribution de l'est du Canada est achevée. Nous avons aussi commencé à nous concentrer sur le développement de nos prochains concepts de magasin, soit les magasins intelligents et les magasins pour petit marché. Ce programme de réaménagement constitue une démarche moins capitalistique que le développement du Concept 20/20. 7.2 Programme de dépenses en immobilisations pour 2009 Compte tenu de la conjoncture actuelle, le programme de dépenses en immobilisations de 2009, d'abord établi à 390 millions de dollars, a été ramené à 360 millions à la fin du premier trimestre et a été réduit davantage pour se chiffrer à environ 326 millions à la fin du deuxième trimestre. Notre programme de dépenses en immobilisations révisé comprend les éléments suivants:- 163 millions de dollars affectés aux projets immobiliers, dont 130 millions pour le déploiement des nouveaux concepts de magasin du Groupe détail; - 64 millions de dollars destinés aux technologies de l'information; - 24 millions de dollars pour les centres de distribution du Groupe détail; - 14 millions de dollars pour l'infrastructure de la Division automobile; - 12 millions de dollars pour la gestion énergétique et les systèmes d'éclairage; - 49 millions de dollars affectés à d'autres fins.8. Activités à l'étranger La Société exerce des activités à l'extérieur du Canada, notamment aux Bermudes et sur la côte du Pacifique. Pour un aperçu de nos activités à l'étranger, veuillez vous reporter à la section 11 du rapport de gestion contenu dans notre Rapport financier 2008. 9. Questions fiscales Dans le cours normal de ses activités, la Société fait régulièrement l'objet de vérifications menées par l'administration fiscale. Bien que la Société estime que les déclarations fiscales qu'elle produit sont appropriées et justifiables, il existe toutefois la possibilité que certains éléments fassent l'objet d'une révision et soient contestés par l'administration fiscale. Les principales questions contestées par l'Agence du revenu du Canada (l'"ARC") ont trait aux traitements fiscaux des commissions versées à des filiales étrangères de la Société (pour les années d'imposition allant de 1995 à 2007) et aux dividendes reçus relativement à un investissement réalisé par une filiale en propriété exclusive de la Société lié à la réassurance (pour les années d'imposition allant de 1999 à 2003). Les autorités fiscales provinciales compétentes ont établi de nouvelles cotisations et on s'attend à ce qu'elles en établissent d'autres à l'égard de ces questions pour ces mêmes années. La Société a convenu avec l'ARC de régler la question des commissions versées entre 1995 et 2003. Toutefois, certains renseignements fournis par la Société devront faire l'objet d'une vérification par l'ARC avant que ne soit déterminé le montant définitif des impôts à payer par suite du règlement. La Société est d'avis que les autorités fiscales provinciales établiront aussi de nouvelles cotisations selon les mêmes critères. La Société ne fait pas l'objet d'un risque important en ce qui concerne cette question pour les années d'imposition postérieures à 2003. Les nouvelles cotisations relatives à la question des dividendes reçus reposent sur plusieurs motifs, dont certains sont très inhabituels. La Société a porté en appel ces nouvelles cotisations, et la question est en instance devant la Cour canadienne de l'impôt. Si l'ARC et les autorités fiscales provinciales compétentes avaient gain de cause pour l'ensemble de ces nouvelles cotisations - un dénouement que la Société et ses conseillers fiscaux croient improbable - nous estimons que l'obligation totale de la Société quant aux impôts supplémentaires à payer, aux intérêts et aux pénalités pourrait s'établir à environ 192,5 millions de dollars. Bien que la Société ait porté en appel ces nouvelles cotisations, les lois fiscales actuelles exigent de la Société qu'elle verse à l'ARC et à ses homologues provinciaux un montant d'environ 119,7 millions de dollars lié à cette question, lequel avait été payé en entier à la fin du trimestre. La Société examine périodiquement la possibilité de dénouements défavorables en matière de questions fiscales. La Société est d'avis que la décision finale relativement aux règlements, à la résolution de la question des commissions, à la résolution de la question des dividendes reçus et aux autres questions fiscales n'aura pas d'incidence défavorable importante sur ses liquidités, sur sa situation financière consolidée ni sur ses résultats d'exploitation consolidés, car elle croit qu'elle a établi des provisions adéquates à l'égard de ces questions fiscales. Si le passif fiscal définitif différait sensiblement des provisions établies, le taux d'imposition effectif de la Société et son bénéfice pourraient en subir les répercussions positives ou négatives dans la période au cours de laquelle les questions seront en fin de compte résolues. La provision pour charge d'impôts accumulée depuis le début de l'exercice a été diminuée de 4,6 millions de dollars en raison de l'application rétroactive d'un changement législatif relatif à l'imposition des gains réalisés à la cession d'actions en 2006 et en 2007. 10. Arrangements hors bilan 10.1 Glacier Credit Card Trust Comme il en a été fait mention précédemment, GCCT a été constituée dans le but d'acheter nos créances sur cartes de crédit, et elle émet des titres de créance au profit d'investisseurs indépendants pour financer ses acquisitions de créances sur cartes de crédit. Veuillez vous reporter à la section 5.1.4 du présent rapport de gestion pour obtenir de plus amples renseignements sur GCCT. 10.2 Prêts de la fiducie consentis aux marchands Un programme de financement a été établi pour procurer aux marchands un moyen efficace et économique d'accéder à la majeure partie des fonds dont ils ont besoin pour l'exploitation de leur magasin. Nous avons appris que les banques participantes souhaitent modifier le programme lorsque se terminera l'entente existante. Les banques doivent fournir un préavis de six mois avant que toute modification ne prenne effet. Par conséquent, bien que nous n'ayons aucune obligation contractuelle de fournir un soutien financier à nos marchands ayant choisi de participer à cette entente, nous collaborons avec eux ainsi qu'avec un certain nombre de banques, y compris les banques participantes actuelles, afin d'assurer à nos marchands un recours élargi à du financement bancaire à des conditions appropriées. Veuillez vous reporter à la section 13.2 du rapport de gestion du Rapport financier 2008 pour plus de renseignements sur ce programme. 10.3 Financement bancaire des marchands et des franchisés de PartSource Nous avons garanti les emprunts bancaires de certains marchands. Le total s'élève à environ 34 millions de dollars. Veuillez vous reporter à la section 13.3 de notre Rapport financier 2008 pour plus de renseignements sur ce programme. 10.4 Instruments dérivés Nous avons recours aux instruments dérivés pour gérer nos risques à l'égard des fluctuations des taux de change et d'intérêt. Nous utilisons également des contrats dérivés sur actions pour couvrir certaines charges futures de rémunération à base d'actions. Nous n'avons pas recours à la couverture aux fins de spéculation, mais plutôt comme un outil de gestion des risques. Veuillez vous reporter à la section 13.4 du rapport de gestion figurant dans le Rapport financier 2008 pour obtenir des renseignements supplémentaires sur les instruments financiers dérivés. 11. Gestion des risques d'entreprise La Société adopte une approche stratégique à l'égard de la gestion des risques en accord avec son modèle de gestion des risques d'entreprise (la "GRE") afin d'atténuer l'incidence des risques principaux sur ses affaires et sur ses activités. Lancé en 2003, le modèle de la GRE énonce les principes et les outils permettant de cerner, d'évaluer, de prioriser, de surveiller et de gérer les risques au sein de la Société d'une manière efficace et uniforme. Les sections 14 et 14.2, respectivement, du rapport de gestion du Rapport financier 2008 présentent en détail le modèle de la GRE et les risques principaux gérés de manière constante par la Société. La direction examine les risques de façon continue et n'a relevé aucun nouveau risque principal au cours du deuxième trimestre de 2009. Au cours du deuxième trimestre, une éclosion mineure de grippe attribuable au virus H1N1 (grippe porcine chez l'humain) s'est produite et des cas ont été recensés au Canada. Les structures et les protocoles de gestion de crise et d'intervention en cas d'urgence de la Société sont en place afin de réagir à ces menaces et à d'autres types de dangers et d'interruptions des activités. Ces pratiques ont été appliquées depuis le début de l'épidémie afin de protéger nos employés, nos clients et nos fournisseurs, et la Société profite de cette occasion pour revoir et améliorer les pratiques existantes. 11.1 Instruments financiers Les paragraphes suivants, qui portent sur les risques et la gestion des risques, comportent certaines des informations requises en vertu du chapitre 3862 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Instruments financiers - informations à fournir", en ce qui a trait à la nature et à l'ampleur des risques découlant des instruments financiers comme le requiert la norme. Veuillez vous reporter à la note 12 des états financiers consolidés pour de plus amples renseignements. La Société est exposée à un certain nombre de risques liés aux instruments financiers, lesquels risques peuvent avoir une incidence sur ses résultats d'exploitation et sa performance financière. La provision pour pertes sur créances et le risque d'illiquidité constituent les principaux risques découlant des instruments financiers auxquels est exposée la Société. Cette dernière est également exposée au risque de change et au risque de taux d'intérêt, qui peuvent être gérés grâce à l'utilisation d'instruments financiers dérivés. La Société n'utilise pas d'instruments financiers dérivés à des fins de négociation ou de spéculation. Provision pour pertes sur créances La provision relative aux créances de la Société est maintenue à un niveau considéré comme suffisant pour couvrir les pertes sur créances futures. La continuité de la provision pour pertes sur créances de la Société se présente comme suit :Créances sur cartes de crédit Autres prêts(1) --------------------------------------------------- (en millions 4 juillet 28 juin 4 juillet 28 juin de dollars) 2009 2008 2009 2008 --------------------------------------------------- Solde au début 51,8 $ 51,5 $ 3,5 $ 2,7 $ Provision pour pertes sur créances 70,4 24,0 3,0 6,2 Recouvrements 8,8 6,3 0,4 0,3 Radiations (68,0) (40,5) (4,0) (4,5) --------------------------------------------------- Solde à la fin 63,0 $ 41,3 $ 2,9 $ 4,7 $ --------------------------------------------------- --------------------------------------------------- Débiteurs Total --------------------------------------------------- (en millions 4 juillet 28 juin 4 juillet 28 juin de dollars) 2009 2008 2009 2008 --------------------------------------------------- Solde au début 3,3 $ 5,0 $ 58,6 $ 59,2 $ Provision pour pertes sur créances 1,1 0,8 74,5 31,0 Recouvrements 0,1 0,1 9,3 6,7 Radiations (2,1) (2,5) (74,1) (47,5) --------------------------------------------------- Solde à la fin 2,4 $ 3,4 $ 68,3 $ 49,4 $ --------------------------------------------------- --------------------------------------------------- (1) Les autres prêts comprennent les prêts personnels, les prêts hypothécaires et les prêts au titre de marges de crédit.Risque de change La Société a un besoin considérable de dollars américains, en raison de l'approvisionnement à l'étranger. Afin de limiter l'incidence des fluctuations des taux de change sur le coût de nos marchandises acquises sur les marchés mondiaux et, conséquemment, sur le bénéfice, la Société s'est dotée d'une politique complète de gestion du risque de change qui établit des fourchettes définissant la proportion d'achats prévus en dollars américains devant être couverte pour diverses périodes. Par conséquent, lorsqu'il se produit d'importantes fluctuations des devises, comme cela a été le cas au début du quatrième trimestre de 2008, la Société a déjà couvert une partie importante des achats prévus en dollars américains. Le portefeuille actuel de couverture de change a permis à la Société de profiter de marges relativement stables pour le premier semestre de 2009, puisqu'un montant considérable en dollars américains nécessaire pour les achats libellés en dollars américains depuis le début de l'exercice 2009 est disponible à des taux de couverture plus favorables que le cours au comptant de référence moyen depuis le début de l'exercice. Le résultat du portefeuille de couverture de la Société pour le reste de 2009 sera tributaire de la volatilité des marchés de change d'ici la fin de l'exercice. En outre, la Société pourrait être en mesure de transférer aux clients les variations des taux de change en modifiant les prix, selon l'environnement concurrentiel. Risque d'illiquidité Le tableau suivant présente les échéances contractuelles des passifs financiers de la Société. Le tableau comprend les flux de trésorerie relatifs aux intérêts et au principal.(en millions de dollars) 1 an 2 ans 3 ans 4 ans ------------------------------------------------ Dépôts 988,7 $ 211,9 $ 252,6 $ 175,3 $ Créditeurs et autres 1 140,1 - - - Dette à long terme 159,5 309,3 21,3 8,2 Versement des intérêts(1) 113,6 87,0 88,1 86,9 Autres - 0,3 - - ------------------------------------------------ Total 2 401,9 $ 608,5 $ 362,0 $ 270,4 $ ------------------------------------------------ ------------------------------------------------ Par la (en millions de dollars) 5 ans suite Total ----------------------------------- Dépôts 545,5 $ - $ 2 174,0 $ Créditeurs et autres - - 1 140,1 Dette à long terme 6,9 1 062,9 1 568,1 Versement des intérêts(1) 176,0 663,4 1 215,0 Autres 5,4 - 5,7 ----------------------------------- Total 733,8 $ 1 726,3 $ 6 102,9 $ ----------------------------------- ----------------------------------- (1) Comprend les versements d'intérêts sur les dépôts et la dette à long terme.Risque de taux d'intérêt La Société est exposée au risque de taux d'intérêt, qu'elle gère au moyen de swaps de taux d'intérêt. La Société s'est dotée d'une politique qui exige qu'au moins 75 pour cent de sa dette à long terme (dont l'échéance est supérieure à un an) soit à taux d'intérêt fixe plutôt qu'à taux d'intérêt variable. La Société se conforme à cette politique. 11.2 Risque juridique La Société et certaines de ses filiales sont parties à un certain nombre de poursuites. De l'avis de la Société, chacune de ces poursuites représente une question juridique courante inhérente à ses activités, et la résolution ultime de ces poursuites n'aura pas d'incidence importante sur ses résultats, sur ses flux de trésorerie ni sur sa situation financière consolidés. En octobre 2004, Option Consommateurs, un groupe de consommateurs établi au Québec, a déposé une requête en vue d'autoriser un recours collectif contre la Banque Canadian Tire (la "Banque") et certaines autres banques. Les requérants allèguent que les frais que la Banque (et d'autres banques) impute sur les opérations d'avance de fonds sont interdits en vertu de la Loi sur la protection du consommateur (Québec). Le recours collectif vise le remboursement de tous les frais estimatifs qui ont été facturés aux titulaires de cartes pour les opérations d'avance de fonds, plus les intérêts, et le versement d'un montant de 200 $ pour dommages et intérêts à toutes les personnes inscrites au recours collectif. Le recours collectif contre la Banque a été autorisé le 1er novembre 2006. Le recours collectif regroupe toutes les personnes du Québec qui ont un contrat de carte de crédit avec la Banque et qui ont payé des frais pour les opérations d'avance de fonds effectuées au Canada ou à l'étranger depuis le 1er octobre 2001. La Banque est d'avis qu'elle a une solide défense contre la réclamation du fait que les banques ne sont pas assujetties à la législation provinciale, les services bancaires et l'information sur les frais d'emprunt étant de compétence fédérale exclusive. Par conséquent, aucune provision n'a été constituée en prévision des montants à payer, le cas échéant, dans l'éventualité d'une décision défavorable. En juin 2009, toutefois, une poursuite judiciaire semblable (Marcotte c. Banque de Montréal), remettant en question la légalité des frais exigés pour des opérations de change effectuées par cartes de crédit, a été entendue par la Cour suprême du Québec. La Cour a rendu une décision en faveur du demandeur. Cependant, la décision a été portée en appel devant la Cour d'appel du Québec. La décision rendue pourrait avoir une incidence sur les autres poursuites en suspens, dont la demande liée au recours collectif d'Option Consommateurs contre la Banque susmentionnée. Si la décision est défavorable, le risque global total actuel de la Banque devrait s'élever à environ 15 millions de dollars. 11.3 Risque lié à l'environnement réglementaire Par suite de l'attention accordée par le gouvernement fédéral à l'industrie des cartes de crédit, de nouvelles règles portant sur les cartes de crédit ont été proposées. Lorsqu'elles auront été mises en oeuvre, ces règles auront une incidence négative sur tous les émetteurs de cartes de crédit du Canada, y compris les Services Financiers. Bien qu'aucune précision n'ait été donnée quant à la date de finalisation de ces règles, leur mise en oeuvre est prévue pour 2010. Les Services Financiers examinent actuellement les projets de règlement afin d'en évaluer les incidences financières possibles et envisagent les mesures d'atténuation qui pourraient être mises en place. 11.4 Autres risques En plus des risques principaux décrits à la section 11 ci-dessus et des risques propres aux activités des unités commerciales décrits à la section 3.3.1.4 pour le Groupe détail, à la section 3.3.2.4 pour Mark's Work Wearhouse, à la section 3.3.3.4 pour la Division pétrolière et à la section 3.3.4.4 pour les Services Financiers, d'autres risques pourraient avoir une incidence considérable sur notre bénéfice, nos activités commerciales et notre réputation. Ces autres risques comprennent, sans s'y limiter, la capacité de la Société d'acquérir et de mettre en valeur des propriétés immobilières, les bouleversements des marchés financiers nuisant à notre capacité de financer l'expansion du réseau de détail, la capacité de nos marchands d'obtenir du financement par l'intermédiaire des fiducies indépendantes susmentionnées (veuillez vous reporter à la section 10.2) ou par tout autre moyen, les fluctuations des prix des marchandises qui pourraient influer sur la rentabilité de la Société, la fluctuation des taux de change qui pourrait influer sur les habitudes de magasinage outre-frontière et sur le prix d'achat de nos marchandises, l'interruption de l'approvisionnement mondial en essence et l'incapacité des clients à payer leurs comptes de cartes de crédit Canadian Tire ou leurs soldes liés aux prêts. 12. Estimations comptables critiques La Société estime certains des montants reflétés dans ses états financiers en se servant de modèles financiers détaillés qui sont fondés sur des résultats antérieurs, des tendances actuelles et d'autres hypothèses qui sont censées être raisonnables dans les circonstances. Les résultats réels peuvent différer de ces estimations. Nous sommes d'avis que les conventions et estimations comptables présentées en détail à la note 1 des états financiers consolidés pour le trimestre terminé le 4 juillet 2009 n'exigent pas que nous formulions des hypothèses sur des questions comportant un degré élevé d'incertitude. Par conséquent, aucune des estimations n'est considérée comme une "estimation comptable critique" telle qu'elle est définie dans l'Annexe 51-102A1 publiée par la Commission des valeurs mobilières de l'Ontario, exception faite des éléments présentés ci-dessous. A la lumière des récentes turbulences des marchés du crédit et de la récession qui touche le Canada, la Société a révisé la provision pour pertes sur créances des Services Financiers et l'a considérée comme une "estimation comptable critique". La provision pour pertes sur créances ajuste la valeur du portefeuille de prêts des Services Financiers afin de refléter sa valeur de réalisation estimative. La provision pour prêts douteux constituée par les Services Financiers pour chacun des portefeuilles de créances sur cartes de crédit, de prêts personnels, de prêts hypothécaires et de prêts au titre de marges de crédit est calculée en fonction des pertes passées sur les soldes de comptes, selon la durée de recouvrement et l'état des paiements, en y apportant certains ajustements se rapportant à toute autre circonstance susceptible d'influer sur la recouvrabilité des créances sur prêts. On utilise à cette fin un modèle robuste fondé sur la conjoncture et les tendances particulières aux Services Financiers. La provision pour prêts douteux au titre du portefeuille de cartes de crédit (le portefeuille le plus important) est constituée des provisions générales et des provisions établies pour les risques de faillites et de fraudes. Des changements de situation, y compris, sans s'y limiter, des changements dans la durée de recouvrement des comptes et des changements au chapitre des faillites pourraient faire en sorte que les évaluations futures du risque de crédit diffèrent considérablement des évaluations actuelles, ce qui pourrait nécessiter une augmentation ou une diminution de la provision pour pertes sur créances. Les provisions pour prêts douteux à l'égard des portefeuilles de prêts personnels, de prêts au titre de marges de crédit et de prêts hypothécaires sont établies de la même façon. Pour de plus amples renseignements sur le risque de crédit à la consommation, veuillez vous reporter à la rubrique 5.3.4.8 de notre Rapport financier 2008, intitulée "Risques d'entreprise des Services Financiers". 13. Obligations contractuelles Obligations contractuelles exigibles par périodeSemestre (en millions restant de dollars) Total de 2009 2010-2011 2012-2013 Après 2013 ------------------------------------------------------------------------- Dette à long terme(1) 1 521,9 $ 4,8 $ 466,0 $ 1,1 $ 1 050,0 $ Obligations en vertu de contrats de location- acquisition 46,2 3,5 14,9 14,9 12,9 Contrats de location- exploitation 2 135,9 116,8 433,1 372,9 1 213,1 Obligations d'achat 1 001,1 754,2 179,0 53,1 14,8 Dépôts des Services Financiers 2 174,0 860,7 431,8 632,0 249,5 Autres obligations 34,5 6,4 12,4 6,4 9,3 ------------------------------------------------------------------------- Total des obligations contractuelles 6 913,6 $ 1 746,4 $ 1 537,2 $ 1 080,4 $ 2 549,6 $ ------------------------------------------------------------------------- (1) Ne comprend pas l'obligation de verser un intérêt.14. Modifications de conventions comptables Les données présentées dans ce rapport de gestion ont été calculées selon les mêmes conventions et méthodes comptables que celles utilisées pour la préparation des plus récents états financiers annuels de l'exercice de 53 semaines terminé le 3 janvier 2009 (inclus dans notre Rapport annuel 2008), à l'exception de ce qui suit. 14.1 Fondements conceptuels des états financiers Avec prise d'effet le 4 janvier 2009, soit le premier jour de son exercice 2009, la Société a adopté les modifications publiées par l'ICCA au chapitre 1000 du Manuel, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers", qui clarifie les critères de constatation des actifs et le moment où il convient de constater les charges, en particulier, ce qui a pour effet d'éliminer les lignes directrices permettant le report des coûts. Cette nouvelle norme est en vigueur pour les états financiers intermédiaires et annuels des exercices ouverts à compter du 1er octobre 2008. La Société a appliqué les modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel conjointement avec le chapitre 3064 du Manuel, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels". 14.2 Ecarts d'acquisition et actifs incorporels Avec prise d'effet le 4 janvier 2009, la Société a adopté, sur une base rétroactive avec retraitement des données antérieures, le chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", en vigueur pour les états financiers intermédiaires et annuels des exercices ouverts à compter du 1er octobre 2008. Cette nouvelle norme fournit des lignes directrices en matière de comptabilisation, d'évaluation, de présentation et d'information applicables aux écarts d'acquisition et aux actifs incorporels, y compris les actifs incorporels générés en interne, et est conforme à la définition d'un actif et aux critères de constatation révisés du chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Conformément à la nouvelle norme, les coûts liés aux projets de mise en valeur peuvent être comptabilisés à titre d'actifs seulement s'ils correspondent à la définition d'un actif incorporel. En outre, la nouvelle norme exige que les logiciels créés à l'interne qui ne font pas partie intégrante du matériel connexe (auparavant inclus dans les immobilisations corporelles) figurent dans les actifs incorporels. Puisqu'ils ont une durée de vie limitée, ces coûts continuent d'être amortis sur cinq ans. Par suite de la mise en oeuvre rétroactive de ces normes, l'incidence cumulative de celle-ci sur les soldes présentés antérieurement aux dates suivantes se détaille comme suit :Augmentation (diminution) Au Au Au 3 janvier 28 juin 29 décembre (en millions de dollars) 2009 2008 2007 ------------------------------------------------------------------------- Bénéfices non répartis (3,1)$ (3,9)$ (4,3)$ Créances à long terme et autres actifs (3,3) (4,6) (4,6) Actifs incorporels 189,5 174,0 174,0 Immobilisations corporelles (190,9) (175,1) (175,8) Impôts à recouvrer 0,4 0,1 0,4 Passifs d'impôts futurs (1,2) (1,7) (1,7) -------------------------------------------------------------------------De plus, l'incidence de la mise en oeuvre rétroactive sur l'amortissement pour les périodes de 13 et de 26 semaines terminées le 28 juin 2008 consiste en des diminutions de 0,5 million de dollars et de 1,1 million, respectivement. L'incidence de la mise en oeuvre rétroactive sur le bénéfice net pour la période de 13 semaines terminée le 28 juin 2008 est minime (néant par action) et pour la période de 26 semaines terminée à cette date, elle consiste en une augmentation de 0,4 million de dollars, ou néant par action. Veuillez vous reporter à la note 2 des états financiers consolidés pour obtenir de plus amples renseignements.14.3 Risque de crédit et détermination de la juste valeur des actifs et des passifs financiersAvec prise d'effet le 4 janvier 2009, la Société a adopté, sur une base rétroactive sans retraitement des données antérieures, l'abrégé CPN-173 du Comité sur les problèmes nouveaux (le "CPN") de l'ICCA, intitulé "Risque de crédit et détermination de la juste valeur des actifs et des passifs financiers", en vigueur pour les états financiers intermédiaires et annuels des exercices se terminant le 20 janvier 2009 ou à une date ultérieure. Ce CPN précise qu'on doit prendre en compte le risque de crédit propre à une entité et le risque de crédit des contreparties, plutôt qu'un taux sans risque, dans la détermination de la juste valeur des actifs et des passifs financiers, y compris les instruments dérivés. Les entités sont tenues de réévaluer les actifs et les passifs financiers, y compris les instruments dérivés, au début de la période de l'adoption du CPN-173 (c.-à-d. au début de l'exercice 2009) pour tenir compte du risque de crédit qui leur est propre ainsi que du risque de crédit des contreparties. Tout écart découlant de cette réévaluation serait comptabilisé en tant qu'ajustement des bénéfices non répartis, sauf a) les dérivés inclus dans une relation de couverture de la juste valeur comptabilisés au moyen de la méthode "abrégée", auquel cas l'écart en résultant ajusterait la base de l'élément couvert et b) les dérivés inclus dans une relation de couverture des flux de trésorerie, auquel cas l'écart en résultant serait comptabilisé dans le cumul des autres éléments du résultat étendu. Par suite de la mise en oeuvre sur une base rétroactive de cette nouvelle norme, le cumul des autres éléments du résultat étendu au début a diminué de 2,5 millions de dollars et les bénéfices non répartis au début ont augmenté de 1,1 million. 14.4 Regroupements d'entreprises En janvier 2009, l'ICCA a publié le chapitre 1582 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Regroupements d'entreprises", qui remplace le chapitre 1581 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Regroupements d'entreprises". L'ICCA a également publié les chapitres 1601 et 1602 du Manuel de l'ICCA, intitulés "Etats financiers consolidés" et "Participations sans contrôle" respectivement, qui remplaceront le chapitre 1600 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Etats financiers consolidés". Ces nouveaux chapitres s'appliquent aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2011. Une adoption anticipée est autorisée. Ces nouvelles normes ont pour but d'harmoniser les PCGR du Canada en matière de regroupements d'entreprises et d'états financiers consolidés avec les normes comptables internationales et américaines. Les nouvelles normes doivent être appliquées à titre prospectif aux regroupements d'entreprises pour lesquels la date d'acquisition se situe dans un exercice ouvert le 1er janvier 2011 ou à une date ultérieure. Une application anticipée est autorisée. Les actifs et les passifs qui découlent des regroupements d'entreprises dont la date d'acquisition précède l'entrée en vigueur des nouvelles normes ne seront pas ajustés à la suite de l'application de ces normes. 14.5 Instruments financiers - comptabilisation et évaluation En avril 2009, l'ICCA a modifié le chapitre 3855 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Instruments financiers - comptabilisation et évaluation", en ajoutant un paragraphe qui porte sur l'application de la méthode du taux d'intérêt effectif aux actifs financiers ayant fait l'objet d'une perte de valeur antérieurement. La modification prend effet à la date de publication. En outre, un paragraphe qui a trait aux options de règlement anticipé incorporées a été modifié. Cette modification s'applique aux états financiers intermédiaires et annuels des exercices ouverts à compter du 1er janvier 2011. Une adoption anticipée est autorisée. La Société évalue actuellement l'incidence éventuelle de la modification apportée à cette norme. 14.6 Instruments financiers - informations à fournir En juin 2009, l'ICCA a modifié le chapitre 3862 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Instruments financiers - informations à fournir", qui intègre les récentes modifications apportées à IFRS 7 - Instruments financiers : informations à fournir que l'IASB a publiées en mars 2009. Ces modifications s'appliquent aux entreprises ayant l'obligation publique de rendre des comptes et aux entreprises privées, aux coopératives, aux entreprises à tarifs réglementés et aux organismes sans but lucratif qui choisissent d'appliquer le chapitre 3862. Les modifications exigent de présenter une information plus exhaustive sur l'évaluation de la juste valeur, y compris la fiabilité relative des données utilisées pour effectuer ces évaluations, sur le risque d'illiquidité et sur les instruments financiers. Les modifications s'appliquent aux états financiers annuels des exercices se terminant après le 30 septembre 2009. Une adoption anticipée est autorisée. Afin d'alléger les obligations des préparateurs des états financiers, et conformément à IFRS 7, l'ICCA a décidé de dispenser les entités, pour le premier exercice où elles appliqueront les modifications, de fournir de manière comparative les informations correspondant aux nouvelles obligations. La Société évalue actuellement l'incidence éventuelle de la modification apportée à cette norme. 14.7 Normes internationales d'information financière En février 2008, l'ICCA a annoncé que les PCGR du Canada appliqués aux entreprises ayant une obligation publique de rendre des comptes seront remplacés par les Normes internationales d'information financière (les "IFRS") pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2011. Par conséquent, la convergence des PCGR du Canada vers les IFRS sera en vigueur pour le premier trimestre de 2011 de la Société; cette dernière préparera alors ses informations financières courantes et comparatives selon les IFRS. La Société prévoit que le passage aux IFRS aura une incidence sur les méthodes de comptabilisation, la présentation de l'information financière, le contrôle interne à l'égard de l'information financière, les impôts et les systèmes et processus liés à l'information, ainsi que sur certains engagements contractuels. Compte tenu de l'ampleur des efforts déployés aux fins de cette conversion, le projet (au cours duquel on met en oeuvre des pratiques de gestion de projet strictes) comporte trois phases principales. Première phase : évaluation préliminaire de la portée et de l'incidence Cette phase consistait en une évaluation de haut niveau visant à cibler les principales différences entre les PCGR du Canada et les IFRS qui risquaient d'avoir une incidence sur la Société. L'évaluation a été effectuée en 2007 et en 2008 et a permis d'assurer la priorisation des champs de travail décrits plus bas et l'affectation des ressources nécessaires à l'accomplissement des étapes subséquentes du processus. Cette phase comprenait aussi l'embauche et la formation de ressources techniques clés à l'interne qui mèneront à bien le projet de conversion et assureront par la suite la formation continue des autres employés responsables des finances devant composer avec les exigences techniques plus complexes des IFRS en matière de comptabilité. Deuxième phase : analyse détaillée et conception Cette phase, amorcée au quatrième trimestre de 2008, comprend l'analyse détaillée des changements découlant de la conversion aux IFRS des points de vue de la comptabilité, de la présentation de l'information et des activités. Au cours de cette phase ont été abordés les 13 champs de travail portant spécifiquement sur les questions comptables les plus pertinentes pour la Société et quatre champs de travail généraux. Cette phase comprend également la normalisation des critères utilisés pour évaluer la pertinence des choix en matière de conventions comptables, lorsque les IFRS permettent de faire des choix. Les champs de travail propres aux questions comptables portent notamment sur la constatation des produits, les actifs corporels (y compris les baux), la dépréciation, les provisions, les passifs et les actifs éventuels, les regroupements d'entreprises, les consolidations, les opérations de titrisation, les coûts d'emprunt, la rémunération et les avantages sociaux, les instruments financiers, les impôts sur le bénéfice, les logiciels et les actifs incorporels ainsi que les informations à fournir et la présentation des états financiers. Les champs de travail généraux comprennent la révision des contrats, la formation des employés, les systèmes d'information et les communications. Les livrables liés à la conception préparés dans le cadre de ces champs de travail propres aux questions comptables comprennent la consignation des raisons justifiant les choix en matière de conventions comptables, les nouvelles exigences relatives à la présentation de l'information et leurs sources, ainsi que des directives relatives à la mise en oeuvre à l'intention des unités commerciales et des divers groupes au sein de la Société lorsqu'ils entreprendront la phase de mise en oeuvre décrite ci-dessous. Les livrables de huit des champs de travail propres aux questions comptables étaient prêts à la fin du deuxième trimestre de 2009. Les livrables des cinq champs de travail propres aux questions comptables restants seront complétés au troisième trimestre de 2009 et ils comprendront la sélection des conventions comptables conformément aux IFRS actuellement en vigueur, y compris les sélections transitoires. Certains des champs de travail généraux, comme ceux ayant trait à la formation et aux communications, se poursuivront pendant tout le projet de conversion. L'équipe de travail portant sur les communications sera constituée non seulement d'employés clés responsables des finances, mais aussi d'autres employés et membres de la direction ainsi que de membres du comité de vérification, du conseil d'administration et de tierces parties, comme des investisseurs et des analystes. Troisième phase : mise en oeuvre Cette phase consiste à mettre en oeuvre les travaux effectués à la deuxième phase en apportant des changements aux processus administratifs et comptables et aux systèmes d'information de soutien au sein de chaque unité commerciale et groupe, ainsi qu'à rédiger la documentation officielle portant sur les conventions comptables et procédures définitives approuvées conformément aux IFRS. On procédera aussi à la quantification des incidences prévues sur les activités et à l'ébauche des formats des états financiers pro forma et des notes complémentaires qui seront présentés conformément aux IFRS. Les détails liés à la collecte de données financières comparatives et d'autres données en 2010 seront aussi finalisés au cours de cette phase. En outre, c'est au cours de cette phase que le plan de formation sera transmis à tous les employés exerçant des fonctions clés en matière de comptabilité, de présentation de l'information financière et de relations avec les investisseurs. Cette phase devrait se terminer d'ici la fin du quatrième trimestre de 2010. Le tableau suivant résume les progrès accomplis à ce jour en fonction des jalons définis dans les éléments clés du plan de transition :Progrès de la conversion aux IFRS ------------------------------------------------------------------------- Activité principale Etapes/date cible Etat au 31 juillet 2009 ------------------------------------------------------------------------- Gouvernance du projet 31 décembre 2008 - pratiques en matière de - formation du gouvernance établies comité de direction - équipe de projet, comité - affectation de de direction et comité ressources au de travail formés projet - mode de présentation de - établissement de l'état d'avancement du protocoles pour la projet élaboré et mis en présentation des place progrès accomplis - établissement de pratiques en matière de gestion du projet ------------------------------------------------------------------------- Préparation des états Prêt à commencer la - différences financiers planification de l'ex- fondamentales entre les - établissement des ercice 2011; quantifi- PCGR du Canada et les différences entre cation de l'incidence IFRS déterminées les choix en de la première - critères de sélection matière de adoption d'IFRS 1 sur des conventions conventions la présentation de comptables établis comptables en l'information et les - mise en oeuvre des vertu des PCGR du états financiers comp- recommandations des Canada et des IFRS aratifs de 2010, y principales équipes de - sélection des compris l'information travail affectées à la conventions présentée dans les sélection de conventions comptables de l'en- notes, d'ici la fin précises en cours tité en vertu des du premier trimestre IFRS pour une appl- de 2011 ication durable - sélection des choix en matière de conv- entions comptables pour la première adoption d'IFRS 1 - format des états financiers, y comp- ris des mesures de remplacement pour le rendement - modifications de l'information prés- entée dans les notes - quantification des effets de la premi- ère adoption d'IFRS 1 sur l'information présentée en 2010 ------------------------------------------------------------------------- Infrastructure : Séances de formation - ressources nécessaires expertise en matière et d'information établies d'IFRS prêtes à être offertes - ressources internes et - formation d'appoint à l'interne au embauchées mises en à l'intention des deuxième trimestre de place principaux employés 2010 - soutien en consultation des finances et de supplémentaire établi l'exploitation Séances de formation - formation initiale des - formation de la et d'information ressources clés direction, du prêtes à être offertes affectées au projet, de comité de vérifica- à l'externe au la haute direction, du tion et des parties quatrième trimestre de conseil concernées externes 2010 d'administration, du à propos des consé- comité de vérification quences de l'adopt- et des membres des ion des IFRS équipes de travail terminée ------------------------------------------------------------------------- Infrastructure Prêt à stocker les - poursuite de - modifications des données comparatives l'évaluation de systèmes d'informa- de 2010 au quatrième l'incidence sur les tion pour la prise trimestre de 2010 et systèmes parallèlement à en charge des exig- les données de 2011 l'élaboration des ences des IFRS d'ici la fin du exigences quatrième trimestre de 2010 ------------------------------------------------------------------------- Appréciation des Dispositions fondées - processus de révision répercussions sur les PCGR à des contrats établi commerciales : déterminer en vue de clauses restrictives renégocier avec les et pratiques financ- contreparties d'ici au ières (y compris le deuxième trimestre de programme de titris- 2010. La renégociation ation) est une question - révision ou renégo- d'affaires qui ne ciation des s'inscrit pas dans le contrats projet de conversion. commerciaux - évaluation des clauses restrictives financières - évaluation hors bilan de la Fiducie ------------------------------------------------------------------------- Environnement de Examen et approbation - pas encore commencée contrôle : contrôle de tous les interne à l'égard de changements et mise à l'information financ- jour du processus ière (le "CIIF") d'attestation du chef de la direction et du chef des finances d'ici la fin du quatrième trimestre de 2010 ------------------------------------------------------------------------- 15. Mesures non définies par les PCGR Les éléments qui suivent, utilisés dans ce rapport de gestion, ne sont pas des mesures normalisées définies par les principes comptables généralement reconnus (les "PCGR") du Canada et pourraient ne pas être comparables à des mesures semblables présentées par d'autres sociétés : - le BAIIA (bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement); - le bénéfice ajusté; - les ventes dans les magasins semblables.BAIIA Sauf en ce qui concerne les Services Financiers, nous estimons que le BAIIA est une mesure efficace de l'apport de chacune de nos entreprises à notre rentabilité du point de vue de l'exploitation, avant que ne soit réparti le coût des impôts et des investissements de capitaux. Par ailleurs, le BAIIA est fréquemment considéré comme une mesure indirecte des flux de trésorerie liés à l'exploitation, ce qui en fait un indice appréciable du succès de maintes entreprises. Le tableau suivant établit le rapprochement entre le BAIIA et la mesure la plus comparable prescrite par les PCGR (bénéfice avant impôts).Rapprochement entre le BAIIA et la mesure prescrite par les PCGR(1) Cumul Cumul (en millions annuel de annuel de de dollars) T2 2009 T2 2008(2) 2009 2008(2) ------------------------------------------------------------------------- BAIIA(3) Groupe détail 163,1 $ 143,2 $ 259,9 $ 245,3 $ Services Financiers 60,9 47,1 107,6 107,5 Division pétrolière 12,1 12,1 22,5 21,1 Mark's Work Wearhouse 14,0 14,2 16,2 17,2 ------------------------------------------------------------------------- Total du BAIIA 250,1 $ 216,6 $ 406,2 $ 391,1 $ ------------------------------------------------------------------------- Moins : Charge d'amortissement Groupe détail 47,1 $ 42,5 $ 93,0 $ 84,5 $ Services Financiers 3,1 2,8 5,6 5,4 Division pétrolière 4,3 4,1 8,7 8,1 Mark's Work Wearhouse 6,6 5,8 13,1 11,2 ------------------------------------------------------------------------- Total de la charge d'amortissement 61,1 $ 55,2 $ 120,4 $ 109,2 $ ------------------------------------------------------------------------- Intérêts débiteurs(3) Groupe détail 20,8 $ 15,6 $ 38,9 $ 32,1 $ Services Financiers 15,5 (0,1) 27,2 3,5 Mark's Work Wearhouse 0,3 1,1 0,9 2,1 ------------------------------------------------------------------------- Total des intérêts débiteurs 36,6 $ 16,6 $ 67,0 $ 37,7 $ ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice avant impôts Groupe détail 95,2 $ 85,1 $ 128,0 $ 128,7 $ Services Financiers 42,3 44,4 74,8 98,6 Division pétrolière 7,8 8,0 13,8 13,0 Mark's Work Wearhouse 7,1 7,3 2,2 3,9 ------------------------------------------------------------------------- Total du bénéfice avant impôts 152,4 $ 144,8 $ 218,8 $ 244,2 $ ------------------------------------------------------------------------- (1) Il est possible que des écarts subsistent puisque les chiffres ont été arrondis. (2) Les données de 2008 ont été retraitées, rétroactivement, par suite de la mise en oeuvre du chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", et des modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Veuillez vous reporter aux sections 14.1 et 14.2 pour obtenir de plus amples renseignements. (3) L'élimination des opérations intersociétés (par exemple, un prêt d'une entreprise à une autre), présentée auparavant dans un poste distinct, est désormais présentée déduction faite de ces opérations.Mention du bénéfice ajusté Nous faisons mention à plusieurs reprises dans le présent rapport de gestion des notions de bénéfice ajusté avant impôts et de bénéfice ajusté après impôts, compte non tenu de l'incidence des éléments hors exploitation. Les éléments hors exploitation comprennent d'ordinaire l'incidence nette des activités de titrisation et la cession d'immobilisations corporelles excédentaires. Le moment où se produisent ces gains ou ces pertes et leur ampleur varient d'un trimestre à l'autre. Nous estimons que ces données ajustées permettent de brosser un tableau plus exact du bénéfice dégagé par chacune de nos entreprises et fournissent une mesure plus significative de nos résultats d'exploitation, sur une base consolidée et sectorielle. De temps à autre, le bénéfice ajusté peut aussi tenir compte d'éléments supplémentaires inhabituels ou non récurrents, qui sont expliqués en détail le cas échéant. Ventes dans les magasins semblables Les ventes dans les magasins semblables sont la mesure qu'utilise la direction, et la mesure la plus communément utilisée dans le secteur du commerce de détail, pour comparer la croissance des ventes au détail de façon plus uniforme à l'échelle du secteur. Les ventes dans les magasins semblables du Groupe détail comprennent les ventes dans tous les magasins ouverts depuis plus de 53 semaines (pour un exercice de 52 semaines) ou plus de 54 semaines (pour un exercice de 53 semaines, comme ce fut le cas pour l'exercice terminé le 3 janvier 2009), ce qui permet une comparaison plus uniforme avec les autres magasins ouverts au cours de la période et avec les résultats de l'exercice précédent. 16. Contrôles et procédures Changements au contrôle interne à l'égard de l'information financière Au deuxième trimestre de 2009, il n'y a eu aucun changement au contrôle interne à l'égard de l'information financière de la Société qui a eu ou dont on peut raisonnablement penser qu'il aura une incidence importante sur notre information financière. 17. Responsabilité sociale Canadian Tire se distingue par son organisme caritatif appelé OEuvre Bon départ de Canadian Tire. L'organisme se nommait auparavant La Fondation Canadian Tire pour les Familles, mais il a changé de nom en raison du succès du programme Bon départ (lui-même appelé auparavant Place au sport). Il s'agit d'un organisme communautaire caritatif qui aide les jeunes financièrement défavorisés à participer à des activités sportives et récréatives organisées afin qu'ils puissent acquérir des aptitudes sociales, renforcer leur estime de soi et prendre de l'assurance. Bon départ est un programme d'envergure nationale qui est géré sur le plan local. Depuis 2005, il a offert son soutien grâce à un réseau pancanadien de sections locales. A ce jour, plus de 279 sections Bon départ ont été mises sur pied dans diverses collectivités à l'échelle nationale, et plus de 176 000 enfants ont bénéficié du programme. Au cours du deuxième trimestre de 2009, nous avons organisé la toute première édition de l'événement Les journées Bon départ de Canadian Tire. Pendant toute une fin de semaine, Canadian Tire a remis un dollar à l'OEuvre Bon départ au nom de chaque client qui effectuait un achat dans l'un de ses magasins. Grâce à la contribution de nos clients, de nos employés, de nos marchands, de la Division pétrolière, des Services Financiers Canadian Tire, de Mark's Work Wearhouse, de PartSource et de certains fournisseurs, nous avons amassé 1,8 million de dollars. Ce montant permettra à environ 18 000 enfants de participer à des activités sportives et récréatives cet été. Au cours du premier semestre de 2009, l'OEuvre Bon départ a recueilli plus de 5,4 millions de dollars pour ses sections locales à l'échelle du Canada (4,2 millions au semestre correspondant de 2008), permettant ainsi à 25 408 enfants de participer à des activités sportives et récréatives (19 797 enfants au cours du premier semestre de 2008). Bon départ prévoit aider plus de 55 000 enfants en 2009. 18. Autre communication aux investisseurs Mise en garde relative aux énoncés prospectifs Le présent rapport de gestion contient des énoncés de nature prospective qui sont fondés sur les attentes de la direction quant aux événements futurs prévus et aux résultats financiers et d'exploitation futurs prévus de la Société. Tous les énoncés ne portant pas sur des faits historiques qui figurent dans le présent rapport de gestion, y compris les énoncés ayant trait aux perspectives des secteurs dans lesquels la Société exerce ses activités, les plans futurs, la situation financière attendue et la stratégie commerciale de la Société, peuvent constituer des énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs comprennent, sans s'y limiter, les énoncés portant sur les résultats futurs possibles ou hypothétiques présentés dans ce rapport, nos objectifs stratégiques et nos priorités, de même que les perspectives économiques et commerciales pour nous, pour chacun de nos secteurs d'activité ainsi que pour l'économie canadienne. Les énoncés prospectifs sont souvent, mais pas toujours, signalés par des mots tels que "pouvoir", "supposer", "estimer", "planifier", "perspective", "prévision", "anticiper", "prévoir", "continuer" ou la forme négative de ces mots ou par des variantes similaires. Les énoncés prospectifs reposent sur des hypothèses posées, des analyses ou des estimations faites et des avis donnés par la direction à la lumière de son expérience et selon sa perception des tendances, de la situation actuelle et des faits futurs prévus ainsi que d'autres facteurs qu'elle estime appropriés et raisonnables à la date à laquelle ces énoncés sont faits. Les énoncés prospectifs présentés dans ce rapport de gestion visent à aider les porteurs de titres de la Société à comprendre sa situation financière et ses résultats d'exploitation à la fin des périodes visées et pour ces périodes, ainsi que les priorités et objectifs stratégiques de la Société, et ils risquent de ne pas convenir à d'autres fins. De par leur nature, les énoncés prospectifs obligent la Société à poser des hypothèses et comportent des risques et des incertitudes intrinsèques, ce qui pourrait faire en sorte que les prédictions, les prévisions, les projections, les attentes ou les conclusions de la Société ne se concrétisent pas, que les hypothèses posées par la Société soient incorrectes et que les objectifs, stratégiques et autres, et les priorités de la Société ne se réalisent pas. Bien que la Société estime que les prédictions, les prévisions, les projections, les attentes ou les conclusions exprimées par les énoncés prospectifs sont raisonnables, elle ne peut en garantir l'exactitude. Ces énoncés prospectifs ne constituent pas des faits, mais seulement l'expression des estimations et des attentes de la direction. Bien que la Société estime que ces énoncés prospectifs reposent sur des renseignements et des hypothèses qui sont actuels, raisonnables et complets, ils sont nécessairement assujettis à un certain nombre de facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement des prédictions, prévisions, projections, attentes ou conclusions de la direction qu'ils expriment pour diverses raisons. Au nombre de ces facteurs figurent a) les risques de crédit, les risques de marché, les risques liés à l'exploitation, les risques d'illiquidité et les risques de financement, y compris les variations des taux d'intérêt et des taux d'imposition; b) la capacité de Canadian Tire à attirer et à conserver des employés, des marchands, des agents de la Division pétrolière de Canadian TireMC (la "Division pétrolière"), ainsi que des exploitants de magasins et des franchisés de PartSourceMD et de Mark's Work WearhouseMD de qualité; c) la volonté des clients d'effectuer leurs achats dans nos magasins ou de se procurer nos produits et services financiers; d) les risques et incertitudes liés à la gestion de l'information, aux technologies, à la sécurité des produits, à la concurrence, à la saisonnalité, au prix des marchandises et à l'interruption des activités, au crédit à la consommation, au financement lié à la titrisation et aux devises; e) les risques et incertitudes qui pourraient faire en sorte que les résultats réels ou les facteurs et hypothèses importants considérés lors de la préparation des énoncés prospectifs diffèrent considérablement des prédictions, prévisions, projections, attentes ou conclusions, lesquels risques et incertitudes sont mentionnés à la rubrique 11, intitulée "Gestion des risques d'entreprise", pour le trimestre terminé le 4 juillet 2009. Les risques supplémentaires propres à chaque secteur d'activité sont décrits aux rubriques 3.3.1.4, "Gestion des risques d'entreprise du Groupe détail"; 3.3.2.4, "Gestion des risques d'entreprise de Mark's Work Wearhouse; 3.3.3.4, "Gestion des risques d'entreprise de la Division pétrolière" et 3.3.4.4, "Gestion des risques d'entreprise des Services Financiers". Pour de plus amples renseignements sur les risques, les incertitudes et les hypothèses qui pourraient faire en sorte que les résultats réels de la Société diffèrent considérablement des attentes actuelles, veuillez aussi vous reporter aux documents publics déposés par la Société, disponibles sur les sites suivants : www.sedar.com et corp.canadiantire.ca/fr/investors. Il est important de noter que la liste de facteurs qui précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Les investisseurs et les autres lecteurs sont priés de tenir compte des risques, incertitudes et hypothèses susmentionnés au moment d'évaluer les énoncés prospectifs et sont mis en garde de ne pas se fier indûment à ceux-ci. Les déclarations qui contiennent des énoncés prospectifs ne tiennent pas compte de l'incidence des opérations, des éléments non récurrents ou des autres éléments inhabituels annoncés ou survenus après la date de présentation de ces déclarations sur les activités de la Société. Par exemple, ils ne reflètent pas l'incidence des cessions, des acquisitions, des autres opérations commerciales, des radiations d'actifs ou d'autres charges annoncées ou engagées après que ces énoncés eurent été formulés. Les énoncés prospectifs présentés dans ce rapport de gestion reflètent les hypothèses et les attentes de la direction au 13 août 2009 et sont susceptibles de changer après cette date. La Société ne s'engage pas à mettre à jour quelque énoncé prospectif que ce soit, verbal ou écrit, qu'elle peut formuler à l'occasion ou qui peut être fait en son nom, pour tenir compte de nouveaux renseignements ou d'événements futurs ou pour un autre motif, sauf si les lois sur les valeurs mobilières en vigueur l'exigent. L'information disponible sur les sites Web susmentionnés ou pouvant être obtenue par l'intermédiaire de ces sites ne fait pas partie de ce rapport de gestion. Les références à des sites Web dans le présent rapport ne constituent pas des hyperliens et ne sont faites qu'à titre d'information pour le lecteur, et à aucune autre fin.Engagement en matière de présentation de l'information et de communicationaux investisseursCanadian Tire s'efforce de respecter des normes élevées en matière de présentation de l'information et de communication aux investisseurs, et ses méthodes de publication de l'information financière ont été reconnues comme exemplaires. Dans bien des cas, les méthodes de présentation de l'information de la Société dépassent les exigences des lois en vigueur. Reflet de notre engagement à fournir une information intégrale et transparente, le site Web de la Société fournit toute l'information pertinente pour les investisseurs, notamment les documents suivants :- notice annuelle; - circulaire d'information de la direction; - rapports trimestriels; - fiches d'information trimestrielles; - présentations Web (archivées pendant un an).Il est également possible de consulter la notice annuelle, la circulaire d'information de la direction et les rapports trimestriels de la Société sur le site SEDAR (Système électronique de données, d'analyse et de recherche) à l'adresse www.sedar.com. Pour communiquer avec le service des relations avec les investisseurs, veuillez communiquer avec Karen Meagher au 416 480-8058 ou envoyer un courriel à investor.relations@cantire.com.Etats consolidés des résultats (non vérifié) ------------------------------------------------------------------------- (en millions de Périodes de Périodes de dollars, sauf 13 semaines terminées 26 semaines terminées les montants par le 4 juillet le 28 juin le 4 juillet le 28 juin action) 2009 2008 2009 2008 ------------------------------------------------------------------------- (retraité - (retraité - note 2) note 2) Produits bruts d'exploitation 2 324,8 $ 2 450,7 $ 4 082,9 $ 4 276,0 $ ------------------------------------------------------------------------- Charges d'exploitation Coût des marchandises vendues et autres charges d'exploitation à l'exception de ce qui suit (note 14) : 2 065,9 2 226,6 3 663,7 3 871,1 Intérêts débiteurs, montant net (note 8) 36,6 16,6 67,0 37,7 Amortissement 61,1 55,2 120,4 109,2 Régime de participation aux bénéfices des employés 8,8 7,5 13,0 13,8 ------------------------------------------------------------------------- Total des charges d'exploitation 2 172,4 2 305,9 3 864,1 4 031,8 Bénéfice avant impôts sur les bénéfices 152,4 144,8 218,8 244,2 Impôts sur les bénéfices Impôts exigibles 48,7 47,1 56,1 79,4 Impôts futurs - - 9,3 - ------------------------------------------------------------------------- Impôts sur les bénéfices 48,7 47,1 65,4 79,4 ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice net 103,7 $ 97,7 $ 153,4 $ 164,8 $ ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice de base et dilué par action 1,27 $ 1,20 $ 1,88 $ 2,02 $ ------------------------------------------------------------------------- Nombre moyen pondéré d'actions ordinaires et d'actions de catégorie A sans droit de vote en circulation 81 685 799 81 499 525 81 658 284 81 509 066 ------------------------------------------------------------------------- Etats consolidés des flux de trésorerie (non vérifié) ------------------------------------------------------------------------- Périodes de Périodes de 13 semaines terminées 26 semaines terminées (en millions de le 4 juillet le 28 juin le 4 juillet le 28 juin dollars) 2009 2008 2009 2008 ------------------------------------------------------------------------- (retraité - (retraité - note 2) note 2) Flux de trésorerie liés aux activités suivantes : Exploitation Bénéfice net 103,7 $ 97,7 $ 153,4 $ 164,8 $ Eléments sans effet sur la trésorerie Amortissement 47,8 41,2 94,5 81,8 Dotation nette à la provision pour pertes relatives aux créances sur prêts (note 3) 35,1 12,9 73,4 30,2 Amortissement des actifs incorporels 13,3 14,1 25,9 27,5 Impôts futurs - - 9,3 - Charge au titre des avantages sociaux futurs (note 5) 1,5 1,6 3,0 3,2 Autres (7,6) 0,1 1,0 0,3 Moins-value des immobilisations corporelles 0,1 0,3 0,8 0,3 Perte (gain) à la cession d'immobilisations corporelles 0,7 (0,2) 0,6 (4,0) Moins-value des autres placements à long terme (note 13) - - 0,5 1,0 Variation de la juste valeur des instruments dérivés (4,4) 8,1 (4,4) 14,8 Titrisation de créances sur prêts (10,3) (14,3) (21,1) (26,5) Gain à la vente de créances sur prêts (note 3) (9,8) (23,0) (23,1) (46,1) ------------------------------------------------------------------------- 170,1 138,5 313,8 247,3 ------------------------------------------------------------------------- Variation des autres éléments du fonds de roulement 299,4 160,3 (193,3) (372,4) ------------------------------------------------------------------------- Flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation 469,5 298,8 120,5 (125,1) ------------------------------------------------------------------------- Investissement Placements à court terme (171,6) - (171,6) - Ajouts aux immobilisations corporelles (42,5) (99,6) (118,6) (225,4) Autres placements à long terme (0,3) - (50,4) - Ajouts aux actifs incorporels (18,3) (15,9) (37,6) (28,4) Placement dans des créances sur prêts, montant net (145,5) (146,2) (7,7) 20,9 Créances à long terme et autres actifs 5,6 (2,0) (2,7) (8,1) Acquisition de magasins (2,1) (2,7) (2,7) (18,1) Autres (0,8) (1,0) (1,7) (1,9) Titrisation de créances sur prêts, montant net 1,2 0,5 1,5 622,4 Produit de la cession d'immobilisations corporelles 2,5 1,2 3,2 16,1 ------------------------------------------------------------------------- Flux de trésorerie liés aux activités d'investissement (371,8) (265,7) (388,3) 377,5 ------------------------------------------------------------------------- Financement Variation nette des dépôts 627,5 32,7 1 023,7 64,8 Emission de titres de créance à long terme (note 4) 200,0 0,1 200,1 0,2 Opérations sur actions de catégorie A sans droit de vote 2,4 1,1 2,5 1,5 Remboursement sur la dette à long terme (1,9) (151,7) (7,1) (152,7) Dividendes (17,3) (17,2) (34,4) (32,2) Papier commercial (81,9) (158,2) - - ------------------------------------------------------------------------- Flux de trésorerie liés aux activités de financement 728,8 (293,2) 1 184,8 (118,4) ------------------------------------------------------------------------- Flux de trésorerie au cours de la période 826,5 (260,1) 917,0 134,0 Trésorerie et équivalents de trésorerie, au début 519,5 288,6 429,0 (105,5) ------------------------------------------------------------------------- Trésorerie et équivalents de trésorerie, à la fin (note 9) 1 346,0 $ 28,5 $ 1 346,0 $ 28,5 $ ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Etats consolidés du résultat étendu (non vérifié) ------------------------------------------------------------------------- Périodes de Périodes de 13 semaines terminées 26 semaines terminées (en millions de le 4 juillet le 28 juin le 4 juillet le 28 juin dollars) 2009 2008 2009 2008 ------------------------------------------------------------------------- (retraité - (retraité - note 2) note 2) Bénéfice net 103,7 $ 97,7 $ 153,4 $ 164,8 $ Autres éléments du résultat étendu, déduction faite des impôts Gain (perte) sur les dérivés désignés comme couvertures des flux de trésorerie, déduction faite des impôts de 12,5 $ et de 5,1 $ (5,6 $ et 4,1 $ en 2008), respectivement (33,5) (11,8) (18,0) 8,0 Reclassement dans les actifs non financiers de la perte (du gain) lié(e) aux dérivés désignés comme couvertures des flux de trésorerie, déduction faite des impôts de 15,7 $ et de 41,0 $ (4,1 $ et 11,6 $ en 2008), respectivement (25,7) 8,5 (79,1) 24,0 Reclassement dans les résultats de la perte (du gain) lié(e) aux dérivés désignés comme couvertures des flux de trésorerie, déduction faite des impôts de 0,6 $ et de 0,7 $ (0,7 $ et 2,2 $ en 2008), respectivement (1,3) 1,7 (1,3) 4,7 ------------------------------------------------------------------------- Autres éléments du résultat étendu (60,5) (1,6) (98,4) 36,7 ------------------------------------------------------------------------- Résultat étendu 43,2 $ 96,1 $ 55,0 $ 201,5 $ ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Etats consolidés de la variation des capitaux propres (non vérifié) ------------------------------------------------------------------------- Périodes de 26 semaines terminées le 4 juillet le 28 juin (en millions de dollars) 2009 2008 ------------------------------------------------------------------------- (retraité - note 2) Capital-actions Solde au début 715,4 $ 700,7 $ Opérations, montant net (note 6) 8,5 4,2 ------------------------------------------------------------------------- Solde à la fin 723,9 $ 704,9 $ ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Surplus d'apport Solde au début - $ 2,3 $ Opérations, montant net - (2,3) ------------------------------------------------------------------------- Solde à la fin - $ - $ ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Bénéfices non répartis Solde au début, montant présenté antérieurement 2 755,5 $ 2 455,1 $ Ajustement transitoire lié à l'adoption de nouvelles normes comptables - Chapitres 1000 et 3064 (note 2) (3,1) (4,3) ------------------------------------------------------------------------- Solde au début, montant retraité 2 752,4 2 450,8 Ajustement transitoire lié à l'adoption de nouvelles normes comptables - CPN 173 (note 2) 1,1 - Bénéfice net de la période 153,4 164,8 Dividendes (34,4) (34,2) Rachat d'actions de catégorie A sans droit de vote (6,0) (0,4) ------------------------------------------------------------------------- Solde à la fin 2 866,5 $ 2 581,0 $ ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Cumul des autres éléments du résultat étendu Solde au début 97,2 $ (50,0)$ Ajustement transitoire lié à l'adoption de nouvelles normes comptables - CPN 173 (note 2) (2,5) - Autres éléments du résultat étendu pour la période (98,4) 36,7 ------------------------------------------------------------------------- Solde à la fin (3,7)$ (13,3)$ ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Bénéfices non répartis et cumul des autres éléments du résultat étendu 2 862,8 $ 2 567,7 $ ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Bilans consolidés (non vérifié) ------------------------------------------------------------------------- Au 4 juillet Au 28 juin Au 3 janvier (en millions de dollars) 2009 2008 2009 ------------------------------------------------------------------------- (retraité - (retraité - note 2) note 2) ACTIF Actif à court terme Trésorerie et équivalents de trésorerie (note 9) 1 346,0 $ 28,5 $ 429,0 $ Placements à court terme (note 9) 171,6 - - Débiteurs 478,7 362,5 824,1 Créances sur prêts (note 3) 1 688,0 877,0 1 683,4 Stocks de marchandises 991,2 996,6 917,5 Impôts à recouvrer 111,5 86,7 64,6 Charges payées d'avance et dépôts 72,8 62,4 40,2 Impôts futurs 58,9 58,8 20,2 ------------------------------------------------------------------------- Total de l'actif à court terme 4 918,7 2 472,5 3 979,0 ------------------------------------------------------------------------- Créances à long terme et autres actifs (note 3) 211,6 232,5 262,1 Autres placements à long terme, montant net (note 13) 75,1 6,6 25,2 Ecart d'acquisition 71,3 62,8 70,7 Actifs incorporels 262,7 226,4 247,9 Immobilisations corporelles, montant net 3 190,4 3 208,2 3 198,9 ------------------------------------------------------------------------- Total de l'actif 8 729,8 $ 6 209,0 $ 7 783,8 $ ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- PASSIF Passif à court terme Dépôts (note 10) 979,7 $ 155,8 $ 540,7 $ Créditeurs et autres 1 160,0 1 200,2 1 444,2 Tranche à court terme de la dette à long terme 159,5 6,1 14,8 ------------------------------------------------------------------------- Total du passif à court terme 2 299,2 1 362,1 1 999,7 ------------------------------------------------------------------------- Dette à long terme 1 422,9 1 361,9 1 373,5 Impôts futurs 45,2 70,5 44,7 Dépôts à long terme (note 10) 1 185,3 24,3 598,7 Autres passifs à long terme 190,5 117,6 202,2 ------------------------------------------------------------------------- Total du passif 5 143,1 2 936,4 4 218,8 ------------------------------------------------------------------------- CAPITAUX PROPRES Capital-actions (note 6) 723,9 704,9 715,4 Cumul des autres éléments du résultat étendu (3,7) (13,3) 97,2 Bénéfices non répartis 2 866,5 2 581,0 2 752,4 ------------------------------------------------------------------------- Total des capitaux propres 3 586,7 3 272,6 3 565,0 ------------------------------------------------------------------------- Total du passif et des capitaux propres 8 729,8 $ 6 209,0 $ 7 783,8 $ ------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------- Notes complémentaires (non vérifié) ------------------------------------------------------------------------- 1. Mode de présentation Les présents états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés (les "états financiers") ont été préparés par la direction conformément aux principes comptables généralement reconnus (les "PCGR") du Canada et englobent les comptes de La Société Canadian Tire Limitée et de ses filiales, désignées collectivement comme la "Société". Ces états financiers ne renferment pas toutes les informations requises en vertu des PCGR du Canada qui s'appliquent aux états financiers annuels; par conséquent, ils doivent être lus conjointement avec les états financiers annuels les plus récents publiés pour l'exercice de 53 semaines terminé le 3 janvier 2009 figurant dans notre Rapport annuel 2008. La préparation des états financiers selon les PCGR du Canada exige que la direction procède à des estimations et pose des hypothèses qui influent sur les montants présentés de l'actif et du passif, sur la présentation des actifs et des passifs éventuels à la date des états financiers ainsi que sur les montants présentés des produits et des charges pendant la période visée par les états financiers. Les résultats réels peuvent différer de ces estimations. Les estimations servent à comptabiliser plusieurs éléments comprenant, sans toutefois s'y limiter, les impôts sur les bénéfices, la perte de valeur d'actifs (y compris l'écart d'acquisition), les avantages sociaux, les garanties de produits, les provisions pour désuétude des stocks, l'amortissement, les prêts irrécouvrables, les provisions pour préservation de l'environnement, les obligations liées à la mise hors service d'immobilisations, les instruments financiers et l'obligation de la Société à l'égard de ses programmes de fidélisation. 2. Modifications de conventions comptables Ces états financiers sont préparés selon les mêmes conventions et méthodes comptables que celles utilisées pour les états financiers annuels les plus récents publiés pour l'exercice de 53 semaines terminé le 3 janvier 2009, à l'exception de ce qui suit. Fondements conceptuels des états financiers Avec prise d'effet le 4 janvier 2009, soit le premier jour de son exercice 2009, la Société a adopté les modifications apportées par l'Institut Canadien des Comptables Agréés (l'"ICCA") au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers", qui clarifie les critères de constatation des actifs et le moment où il convient de constater les charges, en particulier, ce qui a pour effet d'éliminer les lignes directrices permettant le report des coûts. Les nouvelles exigences s'appliquent aux états financiers intermédiaires et annuels des exercices ouverts à compter du 1er octobre 2008. La Société a appliqué les modifications apportées au chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA conjointement avec le chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels". Ecarts d'acquisition et actifs incorporels Avec prise d'effet le 4 janvier 2009, la Société a adopté, sur une base rétroactive avec retraitement des données antérieures, le chapitre 3064 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Ecarts d'acquisition et actifs incorporels", en vigueur pour les états financiers intermédiaires et annuels des exercices ouverts à compter du 1er octobre 2008. Cette nouvelle norme fournit des lignes directrices en matière de comptabilisation, d'évaluation, de présentation et d'information applicables aux écarts d'acquisition et aux actifs incorporels, y compris les actifs incorporels générés en interne, et est conforme à la définition d'un actif et aux critères de constatation révisés du chapitre 1000 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Fondements conceptuels des états financiers". Conformément à la nouvelle norme, les coûts liés aux projets de mise en valeur peuvent être comptabilisés à titre d'actifs seulement s'ils correspondent à la définition d'un actif incorporel. En outre, par le passé, les logiciels créés à l'interne qui ne font pas partie intégrante du matériel connexe étaient inclus dans les mmobilisations corporelles. Selon la nouvelle norme, ces coûts doivent figurer dans les actifs incorporels. Puisqu'ils ont une durée de vie limitée, ces coûts continuent d'être amortis sur cinq ans. Par suite de la mise en oeuvre rétroactive de ces normes, l'incidence cumulative de celle-ci sur les soldes présentés antérieurement aux dates suivantes se détaille comme suit : Augmentation (diminution) --------------------------------------- le 3 le 29 janvier le 28 juin décembre (en millions de dollars) 2009 2008 2007 --------------------------------------- Bénéfices non répartis (3,1)$ (3,9)$ (4,3)$ Créances à long terme et autres actifs (3,3) (4,6) (4,6) Actifs incorporels 189,5 174,0 174,0 Immobilisations corporelles (190,9) (175,1) (175,8) Impôts à recouvrer 0,4 0,1 0,4 Passifs d'impôts futurs (1,2) (1,7) (1,7) De plus, l'incidence de la mise en oeuvre rétroactive sur l'amortissement pour les périodes de 13 semaines et de 26 semaines terminées le 28 juin 2008 consiste en une diminution de 0,5 million de dollars et de 1,1 million de dollars, respectivement. L'incidence de la mise en oeuvre rétroactive sur le bénéfice net pour la période de 13 semaines terminée le 28 juin 2008 est peu importante, soit néant par action, et consiste en une augmentation de 0,4 million de dollars, soit néant par action, pour la période de 26 semaines terminée le 28 juin 2008. Risque de crédit et détermination de la juste valeur des actifs et des passifs financiers Avec prise d'effet le 4 janvier 2009, la Société a adopté, sur une base rétroactive sans retraitement des données antérieures, l'abrégé CPN-173 du Comité sur les problèmes nouveaux (le "CPN") de l'ICCA, intitulé "Risque de crédit et détermination de la juste valeur des actifs et des passifs financiers", en vigueur pour les états financiers intermédiaires et annuels des exercices se terminant le 20 janvier 2009 ou à une date ultérieure. Ce CPN précise qu'on doit prendre en compte le risque de crédit propre à une entité et le risque de crédit des contreparties dans la détermination de la juste valeur des actifs et des passifs financiers, y compris les instruments dérivés, plutôt que d'utiliser un taux sans risque. Les entités sont tenues de réévaluer les actifs et les passifs financiers, y compris les instruments dérivés, au début de la période de l'adoption du CPN-173 (c.-à-d. au début de l'exercice 2009) pour tenir compte du risque de crédit qui leur est propre ainsi que du risque de crédit des contreparties. Tout écart découlant de cette réévaluation serait comptabilisé en tant qu'ajustement aux bénéfices non répartis, sauf a) les dérivés inclus dans une relation de couverture de la juste valeur comptabilisés au moyen de la méthode "abrégée", auquel cas l'écart en résultant ajusterait la valeur comptable de l'élément couvert et b) les dérivés inclus dans une relation de couverture des flux de trésorerie, auquel cas l'écart en résultant serait comptabilisé dans le cumul des autres éléments du résultat étendu. Par suite de la mise en oeuvre sur une base rétroactive de cette nouvelle norme, le cumul des autres éléments du résultat étendu au début a diminué de 2,5 millions de dollars et les bénéfices non répartis au début ont augmenté de 1,1 million. Modifications comptables futures Normes internationales d'information financière (les "IFRS") En février 2008, l'ICCA a annoncé que les PCGR du Canada appliqués aux entreprises ayant une obligation publique de rendre des comptes seront remplacés par les Normes internationales d'information financière (les "IFRS") pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2011. Par conséquent, la convergence des PCGR du Canada vers les IFRS sera en vigueur pour le premier trimestre de 2011 de la Société; cette dernière préparera alors ses informations financières courantes et comparatives de 2010 selon les IFRS. La Société prévoit que le passage aux IFRS aura une incidence sur les méthodes de comptabilisation, la présentation de l'information financière, le contrôle interne à l'égard de l'information financière, l'imposition, les systèmes et processus liés à l'information, ainsi que sur certains engagements contractuels. La Société étudie actuellement l'incidence du passage aux IFRS sur les éléments susmentionnés. De plus, elle s'est dotée de personnel supplémentaire formé en la matière et a établi des pratiques de gestion de projet et des principes de gouvernance pour assurer la conversion aux IFRS en temps voulu. Regroupements d'entreprises En janvier 2009, l'ICCA a publié le chapitre 1582 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Regroupements d'entreprises", qui remplace le chapitre 1581 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Regroupements d'entreprises". L'ICCA a également publié les chapitres 1601 et 1602 du Manuel de l'ICCA, intitulés "Etats financiers consolidés" et "Participations sans contrôle" respectivement, qui remplaceront le chapitre 1600 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Etats financiers consolidés". Les nouvelles normes s'appliquent aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2011. Une adoption anticipée est autorisée. Ces nouvelles normes ont pour but d'harmoniser les PCGR du Canada en matière de regroupements d'entreprises et de présentation d'états financiers consolidés avec les normes comptables internationales et américaines. Les nouvelles normes doivent être appliquées à titre prospectif aux regroupements d'entreprises pour lesquels la date d'acquisition se situe dans un exercice ouvert à compter du 1er janvier 2011. Une application anticipée est autorisée. Les actifs et les passifs qui découlent des regroupements d'entreprises dont la date d'acquisition précède l'entrée en vigueur des nouvelles normes ne seront pas ajustés à la suite de l'application de ces normes. Instruments financiers - comptabilisation et évaluation En avril 2009, l'ICCA a modifié le chapitre 3855 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Instruments financiers - comptabilisation et évaluation", en ajoutant un paragraphe qui porte sur l'application de la méthode du taux d'intérêt effectif aux actifs financiers ayant fait l'objet d'une perte de valeur antérieurement. La modification prend effet à la date de publication. En outre, un paragraphe qui a trait aux options de règlement anticipé incorporées a été modifié. Cette modification s'applique aux états financiers intermédiaires et annuels des exercices ouverts à compter du 1er janvier 2011. Une adoption anticipée est autorisée. La Société évalue actuellement l'incidence éventuelle de la modification apportée à cette norme. Instruments financiers - informations à fournir En juin 2009, l'ICCA a modifié le chapitre 3862 du Manuel de l'ICCA, intitulé "Instruments financiers - informations à fournir", qui intègre les récentes modifications apportées à IFRS 7 - Instruments financiers : Informations à fournir que l'IASB a publiées en mars 2009. Ces modifications s'appliquent aux entreprises ayant l'obligation publique de rendre des comptes et aux entreprises privées, aux coopératives, aux entreprises à tarifs réglementés et aux organismes sans but lucratif qui choisissent d'appliquer le chapitre 3862. Les modifications exigent de présenter une information plus exhaustive sur l'évaluation de la juste valeur, y compris la fiabilité relative des données utilisées pour effectuer ces évaluations, sur le risque d'illiquidité et sur les instruments financiers. Les modifications s'appliquent aux états financiers annuels des exercices se terminant après le 30 septembre 2009. Une adoption anticipée est autorisée. Afin d'alléger les obligations des préparateurs des états financiers, et conformément à IFRS 7, l'ICCA a décidé de dispenser les entités, pour le premier exercice où elles appliqueront les modifications, de fournir de manière comparative les informations correspondant aux nouvelles obligations. La Société évalue actuellement l'incidence éventuelle de la modification apportée à cette norme. 3. Créances sur prêts La Société vend des regroupements de créances sur prêts (les "prêts") à des fiducies indépendantes (les "fiducies") dans le cadre d'opérations de titrisation. Les opérations sont comptabilisées à titre de ventes, conformément à la note d'orientation de l'ICCA concernant la comptabilité no 12 intitulée "Cession de créances" (la "NOC-12"), et les prêts ne figurent plus aux bilans consolidés. La Société conserve le coupon d'intérêt et, pour ce qui est de la titrisation des prêts personnels, elle conserve un droit subordonné dans les prêts vendus (la "participation du vendeur") en plus des espèces déposées auprès de l'une des fiducies (la "réserve au titre de la titrisation"), tous ces éléments constituant les droits conservés. Le coupon d'intérêt représente la valeur actualisée de l'écart prévu à réaliser sur la période de recouvrement des créances sur prêts vendues. L'écart prévu correspond au rendement réalisé, moins les radiations nettes et les intérêts débiteurs des créances sur prêts vendues. En ce qui concerne la titrisation des prêts personnels, la participation du vendeur et la réserve au titre de la titrisation confèrent à la fiducie une source de liquidités advenant le cas où les intérêts et le capital recouvrés sur les prêts ne suffiraient pas à rembourser les créanciers de la fiducie. Le droit de recours dont disposent les fiducies contre la Société se limite au coupon d'intérêt, à la participation du vendeur et à la réserve au titre de la titrisation et, dans le cas de la titrisation de prêts sur cartes de crédit, aux prêts supplémentaires devant être maintenus. Le produit de la vente est réputé correspondre aux sommes en espèces reçues, au coupon d'intérêt et à la réserve au titre de la titrisation, déduction faite de toute obligation de gestion prise en charge. Le passif de gestion représente les frais estimatifs de la Société pour assurer la gestion des prêts titrisés et il est amorti sur la durée de vie des prêts titrisés. Le produit est réparti entre les prêts, le coupon d'intérêt, la participation du vendeur et la réserve au titre de la titrisation en fonction de leur juste valeur relative à la date de la vente, et tout excédent ou insuffisance est comptabilisé à titre de gain ou de perte à la vente, respectivement. Les fiducies n'ont pas été consolidées dans les présents états financiers parce qu'elles satisfont aux critères d'une structure d'accueil admissible (qui n'a pas à être consolidée) ou parce que la Société n'en est pas le principal bénéficiaire. Les renseignements quantitatifs se rapportant aux prêts gérés et titrisés par la Société sont les suivants : Soldes moyens pour les périodes de (en millions Total du capital 26 semaines de dollars) des créances aux(1) terminées les ------------------------------- --------------------- 4 28 3 4 28 juillet juin janvier juillet juin 2009 2008 2009 2009 2008 --------- ---------- ---------- ---------- ---------- Total des créances sur cartes de crédit gérées, montant net 3 756,8 $ 3 619,4 $ 3 780,4 $ 3 675,8 $ 3 539,3 $ Créances sur cartes de crédit vendues (2 208,1) (2 848,8) (2 216,0) (2 213,7) (2 696,0) --------- ---------- ---------- ---------- ---------- Créances sur cartes de crédit détenues 1 548,7 770,6 1 564,4 1 462,1 843,3 Total des prêts personnels gérés, montant net(2) 54,8 119,4 83,8 68,5 127,1 Prêts personnels vendus - - - - (35,6) --------- ---------- ---------- ---------- ---------- Prêts personnels détenus 54,8 119,4 83,8 68,5 91,5 Total des prêts hypothécaires gérés, montant net(3) 167,1 66,9 138,8 157,7 49,4 --------- ---------- ---------- ---------- ---------- Total des prêts au titre de marges de crédit gérés, montant net 17,9 24,5 20,6 19,3 25,1 --------- ---------- ---------- ---------- ---------- Total des créances sur prêts 1 788,5 981,4 1 807,6 1 707,6 $ 1 009,3 $ Moins : tranche à ---------- ---------- long terme(4) (100,5) (104,4) (124,2) ---------- ---------- --------- ---------- ---------- Tranche à court terme des créances sur prêts 1 688,0 $ 877,0 $ 1 683,4 $ --------- ---------- ---------- --------- ---------- ---------- (1) Les montants sont présentés déduction faite des provisions pour pertes sur créances. (2) Les prêts personnels sont des prêts non garantis qui sont accordés aux titulaires de cartes de crédit admissibles pour des durées de trois à cinq ans. Les prêts personnels prévoient des mensualités fixes composées du capital et des intérêts; ils peuvent toutefois être remboursés en tout temps sans pénalité. (3) Les prêts hypothécaires sont accordés pour une durée maximale de dix ans, à des taux d'intérêt fixes ou variables, ils sont garantis et comprennent une combinaison de prêts à ratio élevé et de prêts à faible ratio. Les prêts à ratio élevé sont entièrement assurés, et les prêts à faible ratio sont partiellement assurés. (4) La tranche à long terme des prêts est comprise dans les créances à long terme et autres actifs. Les pertes nettes sur créances du portefeuille détenu en propriété pour les périodes de 13 semaines et de 26 semaines terminées le 4 juillet 2009 se sont élevées à 35,1 millions de dollars (12,9 millions en 2008) et à 73,4 millions (30,2 millions en 2008), respectivement. Les pertes nettes sur créances du total du portefeuille géré pour les périodes de 13 semaines et de 26 semaines terminées le 4 juillet 2009 se sont élevées à 82,4 millions de dollars (58,7 millions en 2008) et à 161,6 millions (121,0 millions en 2008), respectivement. Les pertes nettes sur créances représentent le total des radiations (y compris les radiations courantes, les radiations liées aux faillites et les propositions de consommateur), déduction faite des recouvrements et de tout changement relatif aux provisions. 4. Dette à long terme Le 1er juin 2009, la Société a émis des billets à moyen terme d'un montant de 200,0 millions de dollars, d'une durée de sept ans, qui viennent à échéance et sont remboursables le 1er juin 2016. Ces billets portent intérêt au taux de 5,65 pour cent, payable chaque semestre. 5. Avantages sociaux futurs La charge nette au titre des avantages sociaux futurs pour les périodes de 13 semaines et de 26 semaines terminées le 4 juillet 2009 s'est établie à 1,5 million de dollars (1,6 million en 2008) et à 3,0 millions (3,2 millions en 2008), respectivement. 6. Capital-actions 4 juillet 28 juin 3 janvier (en millions de dollars) 2009 2008 2009 ------------- ------------- ------------- Autorisées 3 423 366 actions ordinaires 100 000 000 d'actions de catégorie A sans droit de vote Emises 3 423 366 actions ordinaires (3 423 366 au 28 juin 2008) 0,2 $ 0,2 $ 0,2 $ 78 238 348 actions de catégorie A sans droit de vote (78 056 872 au 28 juin 2008) 723,7 704,7 715,2 ------------- ------------- ------------- 723,9 $ 704,9 $ 715,4 $ ------------- ------------- ------------- ------------- ------------- ------------- La Société émet et rachète des actions de catégorie A sans droit de vote. L'excédent net du prix d'émission sur le prix de rachat donne lieu à un surplus d'apport. L'excédent net du prix de rachat sur le prix d'émission est d'abord imputé au surplus d'apport, jusqu'à concurrence de tout excédent net antérieur du prix d'émission d'actions, le montant résiduel étant imputé aux bénéfices non répartis. Les opérations suivantes ont eu lieu à l'égard des actions de catégorie A sans droit de vote : Pour la période de Pour la période de (en millions 26 semaines terminée 26 semaines terminée de dollars) le 4 juillet 2009 le 28 juin 2008 -------------------------- -------------------------- Nombre Nombre d'actions $ d'actions $ ------------ ------------ ------------ ------------ Actions en circulation au début 78 178 066 715,2 78 048 062 700,5 Emises 500 482 23,1 359 610 22,8 Rachetées (440 200) (20,6) (350 800) (21,3) Excédent du prix de rachat sur le prix d'émission - 6,0 - 2,7 ------------ ------------ ------------ ------------ Actions en circulation à la fin 78 238 348 723,7 78 056 872 704,7 ------------ ------------ ------------ ------------ ------------ ------------ ------------ ------------ 7. Régimes de rémunération à base d'actions Tous les régimes de rémunération à base d'actions sont tels qu'ils ont été présentés dans les états financiers annuels les plus récents publiés pour l'exercice de 53 semaines terminé le 3 janvier 2009, à l'exception de ce qui suit : Régime d'octroi d'unités d'actions au rendement de 2009 La Société a attribué à certains de ses employés des unités d'actions au rendement de 2009. Pour chaque unité d'actions au rendement de 2009 qu'il détient, le participant peut choisir de recevoir un paiement en espèces équivalant au cours de clôture moyen pondéré des actions de catégorie A sans droit de vote négociées à la Bourse de Toronto, pour la période de 20 jours précédant et comprenant le dernier jour de la période de rendement, multiplié par un coefficient de multiplication établi selon des critères précis axés sur le rendement. La charge de rémunération se rapportant aux unités d'actions au rendement de 2009 est imputée aux résultats sur la durée de la période de rendement en fonction de la rémunération totale dont le versement est projeté à la fin de la période de rendement. La charge de rémunération comptabilisée pour les périodes de 13 semaines et de 26 semaines terminées le 4 juillet 2009 relativement aux unités d'actions au rendement de 2009 s'est élevée à 1,7 million de dollars et à 2,0 millions, respectivement. 8. Information sectorielle - Etat des résultats ------------------------------------------------------------------------- Pour la Pour la période de période de Pour la 13 semaines Pour la 26 semaines période de terminée le période de terminée le 13 semaines 28 juin 26 semaines 28 juin terminée le 2008 terminée le 2008 (en millions 4 juillet (retraité - 4 juillet (retraité - de dollars) 2009 note 2) 2009 note 2) ------------------------------------------------------------------------- Produits bruts d'exploitation Groupe détail 1 550,0 $ 1 562,1 $ 2 649,3 $ 2 633,4 $ Services Financiers 232,9 201,5 450,2 410,2 Division pétrolière 390,8 514,8 712,7 937,6 Mark's Work Wearhouse 182,2 200,6 329,3 348,1 Eliminations (31,1) (28,3) (58,6) (53,3) --------------------------------------------------- Total des produits bruts d'exploit- ation 2 324,8 $ 2 450,7 $ 4 082,9 $ 4 276,0 $ ------------------------------------------------------------------------- Bénéfice avant impôts sur les bénéfices Groupe détail 95,2 $ 85,1 $ 128,0 $ 128,7 $ Services Financiers 42,3 44,4 74,8 98,6 Division pétrolière 7,8 8,0 13,8 13,0 Mark's Work Wearhouse 7,1 7,3 2,2 3,9 --------------------------------------------------- Total du bénéfice avant impôts sur les bénéfices 152,4 144,8 218,8 244,2 Impôts sur les bénéfices 48,7 47,1 65,4 79,4 --------------------------------------------------- Bénéfice net 103,7 $ 97,7 $ 153,4 $ 164,8 $ ------------------------------------------------------------------------- Intérêts débiteurs, montant net(1) Groupe détail 20,8 $ 15,6 $ 38,9 $ 32,1 $ Services Financiers 15,5 (0,1) 27,2 3,5 Mark's Work Wearhouse 0,3 1,1 0,9 2,1 --------------------------------------------------- Total des intérêts débiteurs 36,6 $ 16,6 $ 67,0 $ 37,7 $ ------------------------------------------------------------------------- Charge d'amortissement Groupe détail 47,1 $ 42,5 $ 93,0 $ 84,5 $ Services Financiers 3,1 2,8 5,6 5,4 Division pétrolière 4,3 4,1 8,7 8,1 Mark's Work Wearhouse 6,6 5,8 13,1 11,2 --------------------------------------------------- Total de la charge d'amortissement 61,1 $ 55,2 $ 120,4 $ 109,2 $ ------------------------------------------------------------------------- (1) Le montant net des intérêts débiteurs comprend les intérêts sur la dette à court terme et sur la dette à long terme, contrebalancés par les revenus d'intérêts hors exploitation, y compris les revenus d'intérêts provenant des dépôts bancaires et des placements connexes et les revenus d'intérêts des activités intersociétés. Les intérêts sur la dette à long terme pour les périodes de 13 semaines et de 26 semaines terminées le 4 juillet 2009 se sont établis à 31,1 millions de dollars (18,3 millions en 2008) et à 58,5 millions (39,0 millions en 2008), respectivement. Information sectorielle - Actifs totaux --------------------------------------------------------------------- 28 juin 3 janvier 2008 2009 4 juillet (retraité - (retraité - (en millions de dollars) 2009 note 2) note 2) --------------------------------------------------------------------- Groupe détail 6 049,2 $ 5 515,5 $ 5 801,8 $ Services Financiers 3 631,8 1 658,6 2 550,6 Division pétrolière 274,8 274,3 352,9 Mark's Work Wearhouse 519,4 474,8 509,0 Eliminations (1 745,4) (1 714,2) (1 430,5) --------------------------------------- Total 8 729,8 $ 6 209,0 $ 7 783,8 $ --------------------------------------------------------------------- 9. Trésorerie et équivalents de trésorerie La trésorerie et les équivalents de trésorerie se composent des éléments suivants : 4 juillet 28 juin 3 janvier (en millions de dollars) 2009 2008 2009 ------------- ------------- ------------- Trésorerie (découvert bancaire) (57,7)$ (78,6)$ 59,2 $ Equivalents de trésorerie 1 403,7 107,1 369,8 ------------- ------------- ------------- Trésorerie et équivalents de trésorerie 1 346,0 $ 28,5 $ 429,0 $ ------------- ------------- ------------- ------------- ------------- ------------- Les équivalents de trésorerie sont des certificats de dépôt très liquides d'entités assorties de cotes élevées ou du papier commercial ayant une échéance de trois mois ou moins. Les placements dans des certificats de dépôt très liquides d'entités assorties de cotes élevées ou du papier commercial ayant une échéance de plus de trois mois et de moins de un an sont classés en tant que placements à court terme. 10. Dépôts Les dépôts se composent des dépôts auprès de courtiers et des dépôts de détail. Les dépôts auprès de courtiers permettent de générer des flux de trésorerie grâce à la vente de certificats de placement garantis (les "CPG") par l'entremise de courtiers plutôt que directement aux clients des services bancaires de détail et sont généralement assortis d'un taux d'intérêt plus élevé que celui des CPG offerts au détail. Les soldes individuels allant jusqu'à 100 000 $ sont assurés par la Société d'assurance-dépôts du Canada (la "SADC"). Les CPG offerts par les courtiers sont d'une durée allant de 30 jours à cinq ans et ne prévoient aucune disposition de remboursement par anticipation, sauf en certaines circonstances exceptionnelles. Au 4 juillet 2009, le total des dépôts à court terme et à long terme non encaissés auprès des courtiers s'élevait à 1 623,5 millions de dollars (néant en 2008). Les dépôts de détail se composent de dépôts dans les comptes d'épargne à intérêt élevé et de CPG de détail. Au 4 juillet 2009, le total des dépôts de détail non encaissés s'élevait à 541,5 millions de dollars (180,1 millions en 2008). 11. Informations à fournir concernant la gestion du capital Les objectifs de la Société en matière de gestion du capital sont les suivants : - réduction du coût du capital après impôts; - maintien de réserves de liquidités saines et d'un bon accès au capital; - maintien de la flexibilité de la structure du capital pour assurer la capacité de réaliser le plan stratégique. La conjoncture économique actuelle n'a pas eu d'incidence sur les objectifs de la Société en matière de gestion du capital. La direction inclut les éléments suivants dans la définition du capital : (en millions 4 juillet % du 28 juin % du de dollars) 2009 total 2008 total ----------------------- ---------------------- Tranche à court terme de la dette à long terme 159,5 $ 2,5 % 6,1 $ 0,1 % Dette à long terme 1 422,9 22,4 % 1 361,9 29,2 % Dépôts à long terme 1 185,3 18,6 % 24,3 0,5 % Autres passifs à long terme(1) - - % 0,1 0,0 % Capital-actions 723,9 11,4 % 704,9 15,1 % Surplus d'apport - - % - - % Composantes du cumul des autres éléments du résultat étendu(2) - - % (10,8) (0,2)% Bénéfices non répartis 2 866,5 45,1 % 2 581,0 55,3 % ----------------------- ---------------------- Capital net sous gestion 6 358,1 $ 100,0 % 4 667,5 $ 100,0 % ----------------------- ---------------------- ----------------------- ---------------------- (en millions 3 janvier % du de dollars) 2009 total ----------------------- Tranche à court terme de la dette à long terme 14,8 $ 0,3 % Dette à long terme 1 373,5 25,2 % Dépôts à long terme 598,7 11,0 % Autres passifs à long terme(1) 3,2 0,1 % Capital-actions 715,4 13,1 % Surplus d'apport - - % Composantes du cumul des autres éléments du résultat étendu(2) - - % Bénéfices non répartis 2 752,4 50,3 % ----------------------- Capital net sous gestion 5 458,0 $ 100,0 % ----------------------- ----------------------- (1) Passif à long terme qui correspond à des instruments dérivés ou à des instruments de couverture liés aux composantes du capital seulement. (2) Composantes des autres éléments du résultat étendu liées aux composantes du capital seulement. La Société a adopté diverses politiques qui lui permettent de gérer son capital, y compris une politique en matière de liquidité et de levier financier ainsi qu'une politique en matière de titres de capitaux propres et d'instruments dérivés. Dans le cadre de la gestion générale du capital, le Comité de gestion des risques financiers et le Comité de vérification du conseil s'assurent que la Société se conforme à ces politiques et que son rendement à cet égard est satisfaisant. De plus, le Comité de gestion des risques financiers et le Comité de vérification du conseil procèdent à des évaluations périodiques des politiques afin de s'assurer qu'elles demeurent conformes au niveau de tolérance au risque de la Société ainsi qu'aux tendances et aux conditions actuelles du marché. Pour évaluer l'efficacité avec laquelle elle gère son capital, la direction surveille certains ratios clés pour s'assurer qu'ils se situent dans les fourchettes cibles. En raison de la croissance des activités de la division des Services Financiers, des changements relatifs à la façon dont les Services Financiers obtiennent du financement et de l'incidence éventuelle des IFRS, les ratios présentés précédemment ne sont plus considérés comme pertinents par la direction. La direction effectue actuellement un examen en vue de déterminer les ratios les plus pertinents. Dans le cadre des ententes d'emprunt existantes, des clauses restrictives financières clés font l'objet d'une surveillance continue par la direction afin d'assurer la conformité à ces ententes. Les clauses restrictives principales sont les suivantes : - Le maintien d'une couverture minimale précise des immobilisations corporelles, établie en fonction du calcul suivant : - total de l'actif moins les actifs incorporels, le passif à court terme (à l'exclusion de la tranche à court terme de la dette à long terme) et le passif au titre des avantages sociaux futurs; - divisé par la dette à long terme (y compris la tranche à court terme de la dette à long terme). - Restrictions quant à l'excédent pouvant être versé aux actionnaires sous forme de dividendes. La Société est assujettie à des restrictions relativement aux distributions (y compris les dividendes et le remboursement ou le rachat d'actions) qui excèdent son bénéfice net cumulé sur une période donnée. Au cours de la période, la Société se conformait à ces clauses restrictives. La filiale en propriété exclusive de la Société, la Banque Canadian Tire (la "Banque"), gère son capital conformément aux lignes directrices établies par le Bureau du surintendant des institutions financières Canada (le "BSIF"). Les lignes directrices concernant le capital réglementaire mesurent le capital par rapport au risque de crédit, au risque de marché et au risque opérationnel. La Banque dispose de diverses politiques et procédures et de divers contrôles concernant le capital auxquels elle a recours pour atteindre ses objectifs. Les objectifs de la Banque sont les suivants : - disposer d'un capital suffisant pour garder la confiance des déposants; - posséder une structure du capital appropriée, selon les évaluations effectuées à l'interne, conformément aux définitions des organismes de réglementation et par rapport aux autres institutions financières; - obtenir le coût global du capital le plus bas tout en préservant une composition appropriée d'éléments de capital pour atteindre les niveaux de capitalisation cibles. Le capital total de la Banque se compose de deux catégories de capital, approuvées en vertu des actuelles lignes directrices concernant le capital réglementaire du BSIF. Au 30 juin 2009, soit la fin du trimestre de la Banque, le capital de première catégorie comprenait les actions ordinaires et les bénéfices non répartis, moins l'exposition nette découlant de la titrisation. A l'heure actuelle, la Banque ne détient aucun instrument dans le capital de deuxième catégorie. Les actifs pondérés en fonction des risques, dont il est fait mention dans les lignes directrices réglementaires, comprennent tous les actifs figurant au bilan, pondérés pour tenir compte du risque inhérent à chaque type d'actif, et une composante liée au risque opérationnel fondée sur un pourcentage des produits moyens pondérés en fonction des risques. Le ratio du capital de première catégorie et le ratio du capital total de la Banque se situent au-dessus de la cible minimale établie à l'interne, soit 12 pour cent. Le ratio actif/capital se situe en deçà de la cible maximale établie à l'interne, soit 11 fois. Les ratios minimaux du capital de première catégorie et du capital total du BSIF pour les banques canadiennes sont de sept pour cent et de dix pour cent, respectivement. Au cours du trimestre terminé le 30 juin 2009 et de la période correspondante, la Banque s'est conformée aux lignes directrices concernant le capital du BSIF en vertu des normes Bâle II énoncées dans le document intitulé "Convergence internationale de la mesure des normes de fonds propres : dispositif révisé" (l'"Accord de Bâle II"). 12. Informations à fournir sur les instruments financiers Provision pour pertes sur créances La provision relative aux créances de la Société est maintenue à un niveau considéré comme suffisant pour absorber les pertes sur créances futures. La continuité de la provision pour pertes sur créances de la Société se présente comme suit : Créances sur cartes de crédit Autres prêts(1) --------------------------------------------- 4 juillet 28 juin 4 juillet 28 juin (en millions de dollars) 2009 2008 2009 2008 --------------------------------------------- Solde au début 51,8 $ 51,5 $ 3,5 $ 2,7 $ Dotation à la provision pour pertes sur créances 70,4 24,0 3,0 6,2 Recouvrements 8,8 6,3 0,4 0,3 Radiations (68,0) (40,5) (4,0) (4,5) --------------------------------------------- Solde à la fin 63,0 $ 41,3 $ 2,9 $ 4,7 $ --------------------------------------------- --------------------------------------------- Débiteurs Total --------------------------------------------- 4 juillet 28 juin 4 juillet 28 juin (en millions de dollars) 2009 2008 2009 2008 --------------------------------------------- Solde au début 3,3 $ 5,0 $ 58,6 $ 59,2 $ Dotation à la provision pour pertes sur créances 1,1 0,8 74,5 31,0 Recouvrements 0,1 0,1 9,3 6,7 Radiations (2,1) (2,5) (74,1) (47,5) --------------------------------------------- Solde à la fin 2,4 $ 3,4 $ 68,3 $ 49,4 $ --------------------------------------------- --------------------------------------------- (1) Les autres prêts comprennent les prêts personnels, les prêts hypothécaires et les prêts au titre de marges de crédit. Risque de change La Société a un besoin considérable de devises, principalement des dollars américains, en raison de l'approvisionnement à l'étranger. Cependant, elle gère son exposition au risque de change au moyen d'une politique complète de gestion du risque de change qui comporte des lignes directrices et des paramètres précis, portant notamment sur le pourcentage de couverture minimal mensuel, en vue de la conclusion d'opérations de couverture de change relatives aux achats prévus en dollars américains. Toutefois, l'exposition de la Société aux fluctuations soutenues au sein du marché des changes subit l'incidence des forces concurrentielles et sera touchée par les conditions futures du marché. Risque d'illiquidité Le tableau suivant présente les échéances contractuelles de la Société quant à ses passifs financiers. Le tableau comprend l'intérêt et les principaux flux de trésorerie. (en millions de dollars) 1 an 2 ans 3 ans 4 ans ------------------------------------------- Dépôts 988,7 $ 211,9 $ 252,6 $ 175,3 $ Créditeurs et autres 1 140,1 - - - Dette à long terme 159,5 309,3 21,3 8,2 Versement des intérêts(1) 113,6 87,0 88,1 86,9 Autres - 0,3 - - ------------------------------------------- Total 2 401,9 $ 608,5 $ 362,0 $ 270,4 $ ------------------------------------------- ------------------------------------------- Par la (en millions de dollars) 5 ans suite Total -------------------------------- Dépôts 545,5 $ - $ 2 174,0 $ Créditeurs et autres - - 1 140,1 Dette à long terme 6,9 1 062,9 1 568,1 Versement des intérêts(1) 176,0 663,4 1 215,0 Autres 5,4 - 5,7 -------------------------------- Total 733,8 $ 1 726,3 $ 6 102,9 $ -------------------------------- -------------------------------- (1) Comprend les versements d'intérêts sur les dépôts et la dette à long terme. Risque de taux d'intérêt La Société est exposée au risque de taux d'intérêt, qu'elle gère au moyen de swaps de taux d'intérêt. La Société a adopté une politique selon laquelle au moins 75 pour cent de sa dette à long terme (dont l'échéance est supérieure à un an) doit être assortie d'un taux d'intérêt fixe plutôt que d'un taux d'intérêt variable. La Société se conforme à cette politique. 13. Autres placements à long terme La Société classe dans ses autres placements à long terme son investissement de 5,1 millions de dollars (6,6 millions en 2008) dans le PCAC de tiers canadien émis par plusieurs fiducies dont le coût initial s'élève à 8,9 millions. Le marché du PCAC de tiers canadien a fait l'objet d'une proposition officielle de restructuration. Le 21 janvier 2009, le dépositaire de la Banque a reçu du PCAC restructuré, tel qu'il est désigné dans l'accord de Montréal. La Société a reçu des billets de catégorie A ayant une valeur nominale de 7,7 millions de dollars et un taux d'intérêt variable estimé au taux des acceptations bancaires, moins 50 points de base. L'agence de notation DBRS a attribué la cote A aux billets de catégorie A. En outre, dans le cadre de la restructuration, la Société a reçu 1,2 million de dollars sous forme de divers billets de qualité inférieure. Le 21 janvier 2009, la Société a reçu le premier des deux versements des intérêts courus sur les billets initiaux de 0,3 million de dollars. Le second versement des intérêts courus de 0,1 million de dollars a été reçu le 14 mai 2009. La valeur de ces billets est ajustée à la juste valeur de marché tous les trimestres, les billets étant des instruments financiers détenus à des fins de transaction. Les billets ont fait l'objet d'une seule opération sur le marché libre jusqu'à ce jour au Canada en 2009 et, par conséquent, la juste valeur est déterminée à l'aide d'un modèle d'évaluation. Au deuxième trimestre de 2009, aucun changement n'a été apporté à la méthode d'évaluation. 14. Stocks de marchandises Le poste "Coût des marchandises vendues et autres charges d'exploitation à l'exception de ce qui suit" pour les périodes de 13 semaines et de 26 semaines terminées le 4 juillet 2009 comprend un montant de 1 573,8 millions de dollars (1 768,7 millions en 2008) et un montant de 2 711,5 millions (3 005,5 millions en 2008) au titre de stocks comptabilisés en charges, respectivement, dont un montant de 11,8 millions (16,1 millions en 2008) et de 25,4 millions (32,9 millions en 2008) au titre de réductions de valeurs des stocks, respectivement, puisque la valeur nette de réalisation est inférieure au coût. Les réductions de valeurs des stocks constatées au cours d'exercices antérieurs et reprises au cours du trimestre considéré et de la période correspondante n'ont pas été considérables. 15. Renseignements supplémentaires sur les flux de trésorerie Pour la période de 13 semaines terminée le 4 juillet 2009, la Société a payé 52,1 millions de dollars en impôts sur les bénéfices (57,7 millions en 2008) et 26,2 millions en intérêts (38,1 millions en 2008). Pour la période de 26 semaines terminée le 4 juillet 2009, la Société a payé 104,2 millions de dollars en impôts sur les bénéfices (113,5 millions en 2008) et 82,4 millions en intérêts (58,4 millions en 2008), y compris un montant de 31,8 millions lié au règlement de swaps de taux d'intérêt différés. Pour les périodes de 13 semaines et de 26 semaines terminées le 4 juillet 2009, des immobilisations corporelles ont été acquises au coût global de 30,2 millions de dollars (77,7 millions en 2008) et de 89,7 millions (177,2 millions en 2008), respectivement. Le montant lié aux immobilisations corporelles acquises compris dans les créditeurs et autres s'élevait à 9,9 millions de dollars au 4 juillet 2009 (16,0 millions en 2008). Pour les périodes de 13 semaines et de 26 semaines terminées le 4 juillet 2009, des actifs incorporels, qui consistent en des logiciels, ont été acquis au coût global de 18,1 millions de dollars (15,4 millions en 2008) et de 38,0 millions (28,6 millions en 2008), respectivement. Le montant de ces actifs incorporels acquis compris dans les créditeurs et autres s'élevait à 0,5 million de dollars au 4 juillet 2009 (0,6 million en 2008). 16. Questions juridiques La Société et certaines de ses filiales sont parties à un certain nombre de poursuites. De l'avis de la Société, une poursuite de ce type représente des questions juridiques courantes inhérentes à ses activités, et la résolution ultime de ces poursuites n'aura pas d'incidence importante sur ses résultats, sur ses flux de trésorerie ni sur sa situation financière consolidés. En octobre 2004, un groupe de consommateurs établi au Québec a déposé une requête en vue d'autoriser un recours collectif contre une filiale en propriété exclusive de la Société, la Banque Canadian Tire (la "Banque") et certaines autres banques. Les requérants allèguent que les frais que la Banque impute sur les opérations d'avance de fonds sont interdits en vertu de la Loi sur la protection du consommateur (Québec). Le recours collectif vise le remboursement de tous les frais qui ont été facturés aux titulaires de cartes pour les opérations d'avance de fonds, plus les intérêts, et le versement d'un montant pour dommages et intérêts à toutes les personnes inscrites au recours collectif. Le recours collectif contre la Banque a été autorisé le 1er novembre 2006. Le recours collectif regroupe toutes les personnes du Québec qui ont un contrat de carte de crédit avec la Banque et qui ont payé des frais pour les opérations d'avance de fonds effectuées au Canada ou à l'étranger depuis le 1er octobre 2001. La Société est d'avis qu'elle a une solide défense contre la réclamation du fait que les banques ne sont pas assujetties à la législation provinciale, les services bancaires et l'information sur les frais d'emprunt étant de compétence fédérale exclusive. Par conséquent, aucune provision n'a été constituée en prévision de montants, le cas échéant, que la Société devrait verser advenant un dénouement défavorable. En juin 2009, toutefois, une poursuite judiciaire semblable contre une autre institution financière, remettant en question la légalité des frais exigés pour des opérations de change effectuées par cartes de crédit, a été entendue par la Cour suprême du Québec. La Cour a rendu une décision en faveur du demandeur. Cependant, la décision a été portée en appel devant la Cour d'appel du Québec. La décision rendue pourrait avoir une incidence sur les autres poursuites en suspens, dont la demande liée au recours collectif contre la Banque mentionnée dans le paragraphe précédent. Si la décision est défavorable, le risque global total actuel de la Banque devrait s'élever à environ 15 millions de dollars 17. Questions fiscales Dans le cours normal de ses activités, la Société fait régulièrement l'objet de vérifications menées par l'administration fiscale. Bien que la Société estime que les déclarations fiscales qu'elle produit sont appropriées et justifiables, il existe toutefois la possibilité que certains éléments fassent l'objet d'une révision et soient contestés par l'administration fiscale. Les principales questions contestées par l'Agence du revenu du Canada (l'"ARC") ont trait au traitement fiscal des commissions versées à des filiales étrangères de la Société (pour les années d'imposition allant de 1995 à 2007) et aux dividendes reçus relativement à un placement réalisé par une filiale en propriété exclusive de la Société lié à la réassurance (pour les années d'imposition allant de 1999 à 2003). Les autorités fiscales provinciales compétentes ont établi de nouvelles cotisations et on s'attend à ce qu'elles en établissent d'autres à l'égard de ces questions pour ces mêmes années. La Société a convenu avec l'ARC de régler la question des commissions versées entre 1995 et 2003. Toutefois, certains renseignements fournis par la Société devront faire l'objet d'une vérification par l'ARC avant que ne soit déterminé le montant définitif des impôts à payer par suite du règlement. La Société est d'avis que les autorités fiscales provinciales établiront aussi de nouvelles cotisations selon les mêmes critères. La Société ne fait pas l'objet d'un risque important en ce qui concerne cette question pour les années d'imposition postérieures à 2003. Les nouvelles cotisations relatives à la question des dividendes reçus reposent sur plusieurs motifs, dont certains sont très inhabituels. La Société a porté en appel ces nouvelles cotisations, et la question est en instance devant la Cour canadienne de l'impôt. Si l'ARC et les autorités fiscales provinciales compétentes avaient gain de cause pour l'ensemble de ces nouvelles cotisations - un dénouement que la Société et ses conseillers fiscaux croient improbable - nous estimons que l'obligation totale de la Société quant aux impôts supplémentaires à payer, aux intérêts et aux pénalités pourrait s'établir à environ 192,5 millions de dollars. Bien que la Société ait porté en appel ces nouvelles cotisations, les lois fiscales actuelles exigent de la Société qu'elle verse à l'ARC et à ses homologues provinciaux un montant d'environ 119,7 millions de dollars lié à cette question, dont la totalité avait déjà été payée à la fin du trimestre. La Société examine périodiquement la possibilité de dénouements défavorables en matière de questions fiscales. La Société est d'avis que la décision finale relativement aux règlements, à la résolution de la question des commissions, à la résolution de la question des dividendes reçus et aux autres questions fiscales n'aura pas d'incidence défavorable importante sur ses liquidités, sur sa situation financière consolidée ni sur ses résultats d'exploitation consolidés, car elle croit qu'elle a établi des provisions adéquates à l'égard de ces questions fiscales. Si le passif fiscal définitif différait sensiblement des provisions établies, le taux d'imposition effectif de la Société et son bénéfice pourraient en subir les répercussions positives ou négatives dans la période au cours de laquelle les questions seront en fin de compte résolues. La provision pour charge d'impôts accumulée depuis le début de l'exercice a été diminuée de 4,6 millions de dollars en raison de l'application rétroactive d'un changement législatif relatif à l'imposition des gains réalisés à la cession d'actions en 2006 et en 2007. Annexe des états financiers consolidés portant sur la couverture des intérêts (non vérifié) -------------------------------------------------------------------------Les exigences de la Société en matière d'intérêts sur la dette à long terme pour la période de 53 semaines terminée le 4 juillet 2009, compte tenu des intérêts annualisés sur la dette à long terme émise et remboursée au cours de cette période, se sont élevées à 154,1 millions de dollars. Le bénéfice de la Société avant les intérêts sur la dette à long terme et les impôts pour la période de 53 semaines terminée le 4 juillet 2009 s'est chiffré à 654,0 millions de dollars, soit 4,2 fois les exigences de la Société en matière d'intérêts sur la dette à long terme pour cette période.
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