La Société Canadian Tire et la Banque Scotia ont conclu un partenariat stratégique dans le cadre duquel la Banque Scotia acquiert 20 % de la division des Services Financiers de Canadian Tire

L'entente vise à faire croître les activités de vente au détail et de services financiers, à offrir des avantages considérables aux clients et à encourager une collaboration plus étroite afin d'augmenter l'affinité des consommateurs pour les deux marques

TORONTO, le 8 mai 2014 /CNW/ - La Société Canadian Tire Limitée TSX:CTC, TSX:CTC.a) et la Banque Scotia (TSX: BNS, NYSE: BNS) ont annoncé aujourd'hui la conclusion d'un partenariat d'envergure créant des occasions sans précédent de marketing conjoint et de croissance. Dans le cadre de cette entente, la Banque Scotia acquerra 20 % des parts de la division des Services Financiers de Canadian Tire pour la somme de 500 millions en argent comptant. La Banque Scotia fournira un financement à la division des Services Financiers de Canadian Tire et ce jusqu'à 2,25 milliards de créances sur cartes de crédit.

« La réelle force de notre partenariat avec la Banque Scotia, c'est l'occasion de donner à nos clients de vente au détail plus de valeur et de stimuler la croissance de notre entreprise, estime Stephen Wetmore, chef de la direction de la Société Canadian Tire. En travaillant ensemble et en innovant, nous pourrons mieux servir nos clients, attirer de nouveaux clients et renforcer nos initiatives communautaires. »

La division des Services Financiers de Canadian Tire est la huitième plus importante émettrice de cartes de crédit au Canada, comptant des créances de 4,4 milliards, 1,8 million de comptes de clients actifs et un volume de dépenses annuel de 12 milliards. L'entente prévoit également une option permettant à Canadian Tire de vendre une participation supplémentaire de 29 % de sa division des Services Financiers à la Banque Scotia d'ici les 10 prochaines années, à la juste valeur de marché.

« Nous sommes ravis des possibilités qu'offre ce partenariat. Canadian Tire est une entreprise emblématique dotée d'une marque extrêmement solide et axée sur le client, note Brian Porter, président et chef de la direction de la Banque Scotia. Il s'agit d'un investissement stratégique dans un secteur à haut rendement, et un partenariat avec la famille d'entreprises Canadian Tire nous offrira des occasions d'augmenter notre clientèle et de lui proposer des solutions pertinentes. »

La Banque Scotia financera son investissement au sein de la division des Services Financiers grâce à ses ressources en argent comptant, et on s'attend à ce qu'il ait un effet relutif modeste sur les bénéfices de la Banque Scotia. L'entente est sujette aux modalités de conclusion et approbations réglementaires habituelles, et on la transaction devrait être conclue d'ici le 30 septembre 2014.

Entente de marketing

La Banque Scotia deviendra le partenaire exclusif concernant les nouveaux produits financiers offerts au portefeuille de clients de Canadian Tire. L'entente permet de mettre en œuvre des activités de marketing conjointes pour que les clients de chaque entreprise soient exposés à chacune des deux marques à l'aide d'offres exclusives. Proposées uniquement aux clients de la famille d'entreprises Canadian Tire et de la Banque Scotia, ces offres devraient attirer de nouveaux clients et fournir une valeur accrue aux clients fidèles.

Aujourd'hui, les entreprises ont annoncé deux offres inaugurales en vigueur du 9 mai au 31 août 2014 afin de souligner leur nouveau partenariat :

  • Les nouveaux clients qui adhéreront au programme BonDébut de la Banque Scotia, qui fournit aux néo-Canadiens un compte bancaire, une carte de crédit et d'autres services financiers, recevront une carte-cadeau de 50 $ de Canadian Tire et une autre carte-cadeau de 50 $ de Mark's / L'Équipeur afin de les aider à se procurer les articles indispensables pour la vie quotidienne au Canada.
  • Par l'intermédiaire de Canadian Tire, la Banque Scotia offrira 500 $ en « Argent » Canadian Tire à tous les détenteurs de carte MasterCard Options de Canadian Tire qui transfèrent leur hypothèque ou contractent une nouvelle hypothèque de cinq ans auprès de la Banque Scotia.

Canadian Tire et la Banque Scotia ont une excellente compréhension des besoins des clients et de ce qui motive leurs décisions d'achat. Vu l'évolution rapide du paysage numérique et des habitudes des consommateurs, la collaboration en vue de créer de nouvelles technologies de paiement en ligne et par téléphone mobile présente des avantages considérables dont profiteront les clients à la fois des magasins et de l'institution bancaire.

Les deux marques s'engagent également à redonner à leurs communautés en investissant dans des initiatives de hockey locales et en aidant les familles dans le besoin. Les entreprises partagent la conviction que les investissements locaux permettent de bâtir des communautés solides et collaboreront pour célébrer le sport et optimiser les activités de commandite d'un océan à l'autre.

ÉNONCÉS PROSPECTIFS DE LA SOCIÉTÉ CANADIAN TIRE

Ce document contient des prévisions qui reflètent les attentes de la direction en ce qui concerne le partenariat d'affaires avec la Banque Scotia. Ces énoncés prospectifs visent à vous informer des attentes et des plans actuels de la direction en vue de permettre aux investisseurs de mieux comprendre la position financière escomptée de la Société, ses résultats et l'environnement dans lequel elle évolue. Les lecteurs sont mis en garde que ces renseignements pourraient ne pas convenir à d'autres fins.

Dans le présent document, tous les énoncés qui ne sont pas des faits établis peuvent constituer un énoncé prospectif, ce qui comprend, sans toutefois s'y limiter, les énoncés sur les avantages escomptés du partenariat entre la Société et la Banque Scotia, comme la croissance des activités de vente au détail et des services financiers, les avantages considérables pour les clients, l'amélioration de l'affinité pour la marque parmi les clients, l'intégration d'activités de marketing, de commandite et de contribution aux communautés, la collaboration dans le cadre de la création de solutions technologiques et tout autre énoncé portant sur les attentes de la direction quant à nos résultats futurs possibles ou hypothétiques, les objectifs stratégiques et les priorités, les mesures prises et leurs résultats de même que les perspectives économiques et commerciales pour nous. Les énoncés prospectifs sont souvent, mais pas toujours, signalés par des mots tels que « pouvoir », « supposer », « attendre », « croire », « estimer », « planifier », « devrait », « pourrait » « perspective », « prévision », « anticiper », « prévoir », « continuer » ou la forme négative de ces mots ou par des variantes similaires. Les énoncés prospectifs reposent sur des hypothèses posées, des analyses ou des estimations faites et des opinions et avis donnés par la direction à la lumière de son expérience et selon sa perception des tendances, de la situation actuelle et des faits futurs prévus ainsi que d'autres facteurs qu'elle estime appropriés et raisonnables à la date à laquelle ces renseignements sont fournis.

De par leur nature, les énoncés prospectifs nous obligent à poser des hypothèses et comportent des risques et des incertitudes intrinsèques, ce qui pourrait faire en sorte que les hypothèses, analyses, estimations, opinions et avis de la Société soient incorrects et que les attentes et les plans de la Société ne se réalisent pas. Bien que la Société estime que les énoncés prospectifs dans ce document reposent sur des renseignements, des hypothèses et des opinions qui sont actuels, raisonnables et complets, ils sont nécessairement assujettis à un certain nombre de facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement des prévisions et des plans de la direction définis dans ces énoncés prospectifs pour une variété de raisons. Parmi ces facteurs, dont bon nombre sont hors de notre contrôle et dont les effets peuvent être difficiles à prévoir, on compte, sans toutefois s'y limiter, les changements à la conjoncture économique et aux conditions du marché, la possibilité que les avantages et synergies escomptés découlant du partenariat ne puissent être réalisés ou que leur réalisation nécessite plus de temps que prévu ainsi que les autres risques et incertitudes mentionnés dans les documents que la Société dépose auprès des autorités en valeurs mobilières canadiennes de temps à autre, y compris les facteurs abordés dans la rubrique « Facteurs de risque » de notre notice annuelle pour l'exercice 2013 et de notre rapport de gestion de 2013, ainsi que dans les autres documents publics déposés par la Société, disponibles à l'adresse http://corp.canadiantire.ca/.

Les investisseurs et les autres lecteurs sont priés de tenir compte des risques, incertitudes, facteurs et hypothèses susmentionnés au moment d'évaluer les énoncés prospectifs et sont mis en garde de ne pas se fier indûment à ceux-ci. Les énoncés prospectifs et les renseignements contenus dans le présent document sont fondés sur certains facteurs et hypothèses pris en considération à la date indiquée. La Société ne s'engage pas à mettre à jour quelque énoncé prospectif que ce soit, verbal ou écrit, qu'elle peut formuler à l'occasion ou qui peut être fait en son nom, pour tenir compte de nouveaux renseignements ou d'événements futurs ou pour un autre motif, sauf si les lois sur les valeurs mobilières en vigueur l'exigent.

ÉNONCÉS PROSPECTIFS DE LA BANQUE SCOTIA

Nos communications publiques comprennent souvent des énoncés prospectifs verbaux et écrits. Le présent document renferme ce genre d'énoncés, qui peuvent également être intégrés à d'autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières du Canada ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou à toute autre communication. De tels énoncés sont formulés aux termes des règles d'exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995 et de toute loi pertinente sur les valeurs mobilières en vigueur au Canada. Les énoncés prospectifs comprennent, notamment, les énoncés formulés dans le présent document, dans le rapport de gestion de la Banque figurant dans son rapport annuel 2013 à la rubrique «Survol - perspectives», à la rubrique «Perspectives» se rapportant à la performance financière du groupe et à la rubrique «Perspectives» de chaque secteur opérationnel, ainsi que dans tout autre énoncé concernant les objectifs de la Banque, les stratégies qu'elle emploie pour les atteindre, ses résultats financiers prévisionnels (y compris ceux relevant du domaine de la gestion du risque) et les perspectives à l'égard des activités de la Banque et de l'économie du Canada, des États-Unis et du monde entier. On reconnaît habituellement les énoncés prospectifs à l'emploi de termes ou d'expressions comme «croire», «prévoir», «s'attendre à», «avoir l'intention de», «estimer», «projeter», «pourrait augmenter» et «pourrait fluctuer» et autres expressions similaires ainsi que par la conjugaison des verbes au futur et au conditionnel comme «devrait» et «pourrait».

De par leur nature, les énoncés prospectifs comportent de nombreuses hypothèses, des incertitudes et des risques inhérents, tant généraux que spécifiques, ainsi que le risque que les prédictions et autres énoncés prospectifs se révèlent inexacts. La Banque conseille aux lecteurs de ne pas se fier indûment à ces énoncés étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des estimations et intentions exprimées dans ces énoncés prospectifs, en raison d'un certain nombre de facteurs importants dont plusieurs sont indépendants de sa volonté. Ces facteurs sont notamment la conjoncture économique et financière au Canada et dans le monde; les variations des taux d'intérêt et des cours du change; les liquidités; une volatilité importante et les interruptions des marchés; le défaut de tiers de respecter leurs obligations envers la Banque et envers les sociétés membres de son groupe; l'incidence des changements apportés à la politique monétaire; les modifications apportées aux lois et à la réglementation au Canada et ailleurs, notamment les changements apportés aux lois fiscales; l'incidence qu'aurait tout changement des notations de crédit attribuées à la Banque; les modifications apportées aux lignes directrices relatives au capital au titre des risques, aux nouvelles directives de présentation de l'information et aux directives réglementaires en matière de liquidités, ou les interprétations qui en sont faites; le risque opérationnel et le risque de réputation; le risque que les modèles de gestion du risque de la Banque ne tiennent pas compte de tous les facteurs pertinents; l'exactitude et l'exhaustivité de l'information que la Banque reçoit sur sa clientèle et ses contreparties; la mise au point et le lancement de nouveaux produits et services en temps opportun sur des marchés réceptifs; la capacité de la Banque à étendre ses canaux de distribution existants, à en mettre sur pied de nouveaux et à en tirer des revenus; la capacité de la Banque à mener à terme ses acquisitions et ses autres stratégies de croissance et à intégrer les établissements acquis; les modifications des conventions et des méthodes comptables dont la Banque se sert pour présenter sa situation et sa performance financières, y compris les incertitudes entourant les principales hypothèses et estimations comptables (se reporter à la rubrique «Contrôles et méthodes comptables - Principales estimations comptable» figurant dans le rapport annuel 2013 de la Banque, compte tenu des ajouts figurant dans le présent document); l'incidence de l'application de modifications comptables futures (se reporter à la rubrique «Contrôles et méthodes comptables - Prises de position futures en comptabilité» figurant dans le rapport annuel 2013 de la Banque, compte tenu des ajouts figurant dans le présent document); l'activité sur les marchés financiers mondiaux; la capacité de la Banque à recruter et à conserver des dirigeants clés; la confiance accordée aux tiers qui fournissent les composantes de l'infrastructure commerciale de la Banque; les changements imprévus aux habitudes de dépenses et d'épargne des consommateurs; les changements technologiques; la fraude perpétrée par des tiers en interne ou à l'extérieur de la Banque, notamment par l'utilisation inédite de nouvelles technologies pour commettre des fraudes à l'endroit de la Banque ou de ses clients; le regroupement du secteur canadien des services financiers; la présence de nouveaux concurrents et des concurrents établis; les procédures judiciaires et réglementaires; les cas de force majeure comme les tremblements de terre et les ouragans; l'incidence éventuelle de conflits internationaux et autres événements, y compris les actes terroristes et la guerre contre le terrorisme; les incidences de maladies ou d'épidémies sur les économies locales, nationales ou internationale; les perturbations des infrastructures publiques, notamment les transports, les communications, l'électricité et l'eau; de même que la capacité de la Banque à prévoir et à gérer les risques que comportent ces facteurs. Une grande partie des activités de la Banque consiste à consentir des prêts ou à affecter autrement ses ressources à certains secteurs, entreprises ou pays. Tout événement imprévu touchant ces emprunteurs, secteurs ou pays risque d'avoir une incidence défavorable importante sur les résultats financiers de la Banque, sur ses activités, sur sa situation financière ou sur ses liquidités. Ces facteurs, et d'autres encore, peuvent faire en sorte que la performance réelle de la Banque soit, dans une mesure importante, différente de celle envisagée par les énoncés prospectifs. Pour plus de renseignements, il y a lieu de se reporter à la rubrique «Gestion des risques» figurant à la page 60 du rapport annuel 2013 de la Banque.

Les hypothèses économiques importantes sous-jacentes aux énoncées prospectifs figurant dans le présent document sont présentées dans le rapport annuel 2013 à la rubrique «Survol - perspectives», compte tenu des ajouts figurant dans le présent document, ainsi qu'aux rubriques «Perspectives» de chaque secteur opérationnel. Ces rubriques «Perspectives» sont fondées sur les opinions de la Banque et leur réalisation est incertaine. Le lecteur est prié de tenir compte des facteurs susmentionnés à la lecture de ces rubriques.

La liste des facteurs importants énoncés ci-dessus n'est pas exhaustive. Lorsqu'ils se fient à des énoncés prospectifs pour prendre des décisions à l'égard de la Banque et de ses titres, les investisseurs et les autres personnes doivent se pencher diligemment sur ces facteurs, ainsi que sur d'autres incertitudes et éventualités. La Banque ne s'engage pas à mettre à jour les énoncés prospectifs verbaux ou écrits qui peuvent être faits de temps à autre par elle ou en son nom.

Le lecteur trouvera d'autres renseignements sur la Banque, y compris sa notice annuelle, sur le site Web de SEDAR, au www.sedar.com, ainsi que dans la section EDGAR du site Web de la SEC, au www.sec.gov.

À PROPOS DE CANADIAN TIRE

La Société Canadian Tire Limitée (TSX:CTC.A) (TSX:CTC) ou « la Société » est une famille d'entreprises qui comprend un secteur du détail, une division des Services Financiers, la Fiducie de placement CT REIT et la Fondation Bon départ de Canadian Tire, un organisme caritatif enregistré à l'échelle nationale dévoué à faire tomber les barrières financières pour que des enfants de partout au Canada puissent participer à des sports et à des activités physiques. À la tête de nos activités de détail se trouve Canadian Tire, fondée en 1922, qui offre aux Canadiens des articles pour la vie au Canada grâce à ses catégories Au foyer, Au jeu, À l'atelier, Au volant et Articles saisonniers. PartSource et Essence+ sont des entreprises clés du réseau Canadian Tire. Les activités de détail comprennent également Mark's / L'Équipeur, l'un des principaux détaillants de vêtements de travail et de loisirs du pays, et FGL Sports (Sport Chek, Hockey Experts, Sports Experts, National Sports, Intersport, Pro Hockey Life et Atmosphère), qui offre les meilleures marques de vêtements pour la vie active. Plus de 1 700 magasins de détail et postes d'essence sont soutenus et mis en valeur par notre division des Services Financiers et par des dizaines de milliers d'employés de la Société. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez visiter Corp.CanadianTire.ca.

À PROPOS DE LA BANQUE SCOTIA

La Banque Scotia est un leader parmi les fournisseurs de services financiers dans plus de 55 pays et la plus internationale des banques canadiennes. Grâce à un effectif de plus de 83 000 employés, la Banque Scotia et ses sociétés affiliées offrent une vaste gamme de produits et de services, dont des services bancaires aux particuliers, aux entreprises et aux sociétés ainsi que des services de gestion de patrimoine et de banque d'investissement à plus de 21 millions de clients. L'actif de la Banque Scotia s'établit à 783 milliards de dollars (au 31 janvier 2014). Les actions de la Banque Scotia sont cotées en bourse à Toronto (BNS) et à New York (BNS). La Banque Scotia a recours à Marketwired pour publier ses communiqués de presse. Pour en savoir davantage, veuillez consulter www.banquescotia.com.

SOURCE SOCIETE CANADIAN TIRE LIMITEE

Pour plus de renseignements: Renseignements :

Médias : Amy Cole, Canadian Tire, 416 544-7655, amy.cole@cantire.com
Médias : Diane Flanagan, Banque Scotia, 416 933-2176, diane.flanagan@scotiabank.com

Investisseurs : Lisa Greatrix, 416 480-8725, Lisa.Greatrix@cantire.com
Investisseurs : Peter Slan, 416 933-1273, peter.slan@scotiabank.com